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Sujet: Casting des saisons précédentes Lun 15 Juil - 17:19
J'ai cru comprendre que plusieurs d'entre nous avaient déjà pensé à s'échanger leur casting à la fin des saisons, comme d'hab je pense en retard ! Mais du coup je me suis dit qu'un sujet où on pourrait mettre nos anciens castings ça pourrait être cool, parce qu'au final on ne connait jamais l'histoire des autres, et les éléments buzz (qu'on galère tous à inventer), et puis tout le reste. Parce que après tout, pourquoi il n'y aurait que La Voix qui aurait le droit de tout voir ? DONC, si l'envie vous prend de poster vos anciennes fiches (si vous les avez toujours...), FAITES VOUS PLAISIR, ça nous fera encore plus plaisir !
Dernière édition par Ana le Lun 15 Juil - 17:19, édité 1 fois
Ana
Voix de Secours
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Sujet: saison 6 - Sam Lun 15 Juil - 17:19
-Je commence avec le petit Sam, qui a pas vraiment été présent sur la saison 6, mais bon il a quand même existé.-
x All of these lines across my face tell you the story of who I am.(histoire)
Donc là, je m’allonge sur le divan et je raconte toute ma vie, de ma naissance à aujourd’hui, c’est ça ? C’est bon j’ai l’habitude, des psychologues j’en ai vu défiler. Ou plutôt c’est eux qui m’ont vu défiler. Avec leur « cher confrère, je vous adresse cet enfant, visiblement perturbé » blablabla. Je n’ai jamais été très bavard, j’ai toujours préféré écrire, mais je crois que je dois faire un effort, étant donné les circonstances. Alors voilà, avant de faire les tours des psychologues de France à l’âge de 13 ans, j’étais plutôt banal. Mais je suppose que je n’ai pas la même définition de la banalité que mes parents, mes professeurs… Jugez donc par vous-même. -Flashback-
- Samuel, il s’appelle Samuel. - Ok si tu veux, mais on l’appellera Sam.
Cette femme qui tient un bébé tout rouge dans ses bras, c’est ma mère, et à coté, celui qui trouve que ‘Samuel’ n’est pas assez hype pour un bébé né en 1990, c’est mon père. Nous sommes le 18 octobre, dans une maternité de la région des Alpes. C’est ici que commence ma vie. Cet ado qui attend dans le couloir, c’est Mael mon grand frère. Il a 14 ans, et si tout était normal dans notre famille, il devrait avoir un casque sur les oreilles, probablement des cheveux longs, et il ne devrait pas être si aimable avec les adultes. Mais je ne suis pas né dans une famille complètement normale. C’est l’heure du départ, je vais bientôt découvrir notre maison, notre village, nos voisins, notre chien peut-être. Il y a bien plus de deux heures qu’on roule, il pleut, et autour de nous on ne voit plus rien que des arbres, des montagnes, des rochers parfois, et encore des arbres, aux couleurs de l’Automne. On se dirige sur un petit chemin, au milieu de nulle part, et je découvre notre maison. Oui, cette ‘cabane’, c’est là que je vais vivre. Et il n’y a rien d’autre à découvrir. Pas de village, pas de voisin, pas de chien.
C’est ici que je vais grandir, que je ferai mes premiers pas, que je prononcerai mes premiers mots, que je ferai mon premier gouter d’anniversaire. Auquel personne ne viendra. Parce que vivre si loin de toute civilisation m’a rendu un peu trop solitaire. Mon frère s’en est mieux sorti que moi, il a son groupe d’amis, avec qui il a formé un groupe de pop-rock. A son âge, je serais déjà passé devant plus d’un psy… J’ai donc grandi dans cette cabane de luxe, avec mes parents, et Mael. Je n’ai pas eu tellement le choix, c’était le rêve de mes parents, ils l’ont réalisé grâce à un héritage généreux avant même que j’apparaisse dans leur vie, alors je me suis adapté. Je n’ai pas été malheureux, contrairement à ce que mes professeurs ont pu penser. J’ai juste vécu différemment. Quand je suis entré au collège, j’ai découvert que mon surnom était Tarzan. Je ne peux pas leur en vouloir, et j’en étais même plutôt fier. Dès que j’ai pu sortir sans que ma mère ne me tienne la main, j’ai passé la plupart de mon temps dans les bois. J’ai appris à monter aux arbres. J’ai découvert toute la vie qui bouillonnait si près de chez nous. Et j’ai rencontré mon premier véritable ami, Jake, un loup. J’avais 7 ans. Pendant deux ans, je lui rendais visite tous les soirs après l’école. Je me confiais à lui, je lui racontais mes longues journées passées à supporter les moqueries de mes camarades, et toutes les façons originales qu’ils trouvaient pour me rejeter. J’ai fini par ne plus essayer de parler avec mes camarades de classe, et Jake est devenu mon seul ami. J’ai découvert sa meute un peu plus loin, et cet endroit est toujours mon refuge aujourd’hui.
Et puis cette fille est entrée dans ma vie. Anaelle a été la première personne à oser m’approcher à l’école. On venait d’entrer en 6ème. Je ne sais toujours pas ce qui l’a poussé vers moi, mais grâce à elle, j’ai appris que je pouvais apprécier la compagnie humaine. J’ai pris le risque de lui présenter Jake. Et elle a su garder le secret. Un soir après les cours, c’est ensemble que l’on a retrouvé Jake la patte broyée, coincée dans ce foutu piège. On l’a libéré, et nous n’avons pas trouvé d’autres solutions que de l’emmener chez moi. Erreur. Ma mère n’était pas assez cruelle pour le laisser mourir, elle a donc appelé le vétérinaire, en prenant soin de m’enfermer dans ma chambre avec Anaelle pour que je reste le plus loin possible de cette « bête dangereuse ». Je ne l’ai plus jamais revu. Et j’ai commencé à dire bonjour aux psychologues.
Anaelle et moi sommes entrés au lycée ensemble, et l’amitié s’est naturellement transformé en histoire d’amour. Aux yeux de tous j’étais toujours Tarzan, et je suppose que je le resterai. On a eu notre bac, et Anaelle voulait faire ses études en Australie… Ses parents l’ont accompagné, elle est partie, et je suis parti dans ses valises ! J’ai tout quitté, mais mon tout se résumait à si peu de choses que je n’ai rien ressenti. Une nouvelle vie nous attendait. A Sydney, j’ai commencé des études pour devenir vétérinaire. J’en avais bien pour plus de 7 ans, mais même si j’ai réussi à m’ouvrir un peu plus c’est auprès des animaux que je me sentais le mieux. Avec Anaelle, on a fait le pari fou de devenir des surfeurs, histoire de se fondre dans la masse. On a pris des cours, j’ai aimé le surf, Anaelle a préféré le prof. Elle m’a quitté, je suis rentré en France, et bye bye la belle vie australienne. J’ai comme l’impression d’entendre raisonner les cris de ces kookaburra rieurs, des oiseaux qui imitent à la perfection le rire humain. Je l’entendais parfois quand je montais dans les eucalyptus, comme s’ils se moquaient de moi.
Me revoilà donc en France, mais cette fois à Paris. J’ai pris une petite chambre étudiante, que mes parents me font l’honneur de me payer, et j’ai repris mes études, toujours aussi déterminé. J’ai perdu la seule personne avec qui j’ai eu une vraie relation humaine, ma mère a voulu que je recommence les séances de psy, je lui ai bien fait comprendre qu’il en était hors de question. Je ne sais même pas comment mon père a pu cautionner le fait de perdre autant d’argent inutilement. Je n’ai pas changé, ou presque. Notre cabane me manque, la nature me manque, j’ai beaucoup de mal à supporter la ville. Passer des bois à Paris ne m’a pas réussi. J’ai fait une folie que mes parents m’ont toujours interdit : je me suis acheté une télé ! Je passe mes soirées avec elle, souvent en trio avec une pèche melba. Et soudain, je découvre Secret Story.
x So many stories of where I’ve been, and how I got to where I am.(caractère + physique)
Si mes très chers camarades de classe me surnommaient Tarzan, c’est que ma personnalité colle plutôt bien au personnage. Je préfère penser ça, plutôt que me dire que c’est la ressemblance physique qui me vaut ce surnom. Mais je ne pense vraiment pas avoir un physique particulier, ni dans un sens ni dans l’autre. Je serais incapable de me qualifier de «beau gosse», mais rien ne me permet de dire que je suis moche. Je sais rester lucide. Pas très grand, brun, les yeux marron-vert, pas gros mais pas bodybuildé. Enfin si j’étais complètement objectif, on pourrait dire que je suis -un peu- musclé, je grimpe aux arbres aussi facilement qu’un chimpanzé. Et d’une manière générale, je suis plutôt adroit. Je peux vous tailler un éléphant dans un tronc d’arbre en trois minutes ! Je sais reconnaître toute sorte de feuilles, d’arbres, de fleurs, de fruits… En un mot : Tarzan. J’ai quand même une particularité physique : mon tatouage. Une ancre au niveau des côtes, à gauche.
Inutile de dire que je n’ai jamais usé de mes éventuels charmes, Jake m’a accepté comme tel, je n’ai pas eu besoin de le draguer. Quant à Anaelle… Je suppose que le ‘bizarre’ l’attrayait particulièrement ! Elle a été la première à me découvrir, à tester ma fidélité et ma loyauté. Enfin non, la deuxième, mais Jake n’aurait pas pu l’exprimer… Je ne sais pas ce que mon physique inspire aux gens pour qu’ils sentent le besoin de garder leurs distances avec moi. C’est probablement ce que je souhaite aussi au fond. La vie dans les bois m’a rendu solitaire, réservé, et même un peu timide et hésitant. Cependant, je ne pousse pas le cliché de Tarzan jusqu’au point de choisir les mêmes vêtements que lui ! Je ne suis pas vraiment branché mode, j’essaye de faire des efforts, mais mes tenues restent banales, en accord avec l’image que j’ai de moi. Jean’s + t-shirt, la combinaison parfaite. J’essaye de passer inaperçu, de faire oublier aux gens que je suis l’enfant qui était ami avec un loup, l’enfant qui vivait dans les arbres. Mais j’ai du mal à perdre ma fâcheuse habitude à marcher pieds nus, où que je sois…
J’essaye de faire des efforts, je ne pense pas être une mauvaise personne. Je suis plus ouvert d’esprit que n’importe qui, et ça je le dois à mes parents qui m’ont permis de vivre loin de tous les clichés. En bref, je réunis à peu près tous les atouts pour que les gens m’apprécient. Avec un peu d’entrainement, je saurais faire la conversation pendant des heures, je peux devenir une personne très intéressante, avec tout ce que j’ai vécu dans la forêt… Je suis sûr que l’histoire de Jake plairait beaucoup aux spectateurs, et encore plus aux candidats. Et mon atout ultime : je fais les meilleurs fairy breads de toute la France ! Facile puisque c’est une spécialité australienne me direz-vous. Il n’empêche que je les réussis toujours à merveille ! Et je suis persuadé que toute la Maison des Secrets va en raffoler ! Finalement, l’aventure Secret Story va être une véritable thérapie pour moi. Je n’ai jamais vécu dans une maison avec autant de personnes, inconnues qui plus est. C’est le moment ou jamais de me créer une personnalité adaptée au monde actuel.
x Eléments buzz :
1. J’ai déjà tété une chèvre. Oui je suis un vrai Mowgli. 2. J’ai sauvé un dauphin. En Australie, pendant un cours de surf. 3. Je suis entomovore = Je mange des insectes. Grillons, sauterelles, vers, tarentules… 4. J’ai passé le casting de The Voice en Australie. Je voulais que Mael soit fier de son frère. 5. Je suis né avec 6 orteils à chaque pied. Mais grâce à la chirurgie, mes pieds sont devenus normaux. Moi par contre…
x Secret : Je vis/J'ai vécu dans les bois.
x Rp :
Spoiler:
Ce matin, j’avais eu la mauvaise surprise de trouver mon pot de beurre de cacahuète VIDE sur la table de la cuisine. Non seulement quelqu’un avait osé terminer mon pot, et en plus ce quelqu’un l’avait laissé sur la table, bien en évidence, histoire de me dire « va te faire Rapha, j’ai tout bouffé ». Je ne chercherai pas à trouver ce quelqu’un, mais je peux vous assurer que si je découvre son identité, il va m’entendre ! La journée commençait mal, sans beurre de cacahuète. En plus Cox n’était pas encore réveillée, donc évidemment personne n’avait pensé à mettre la cafetière en route. Cette fille m’est -un peu- indispensable quand même. Le filtre était bon à changer, je savais pas où se trouvait le paquet. J’ai dû ouvrir tous les placards, que je fis claquer les uns après les autres, histoire de me venger du pot vide sur la table ! Je vous le donne en mille, lorsque je mets enfin la main sur le paquet, il est vide ! Pas de café, pas de beurre de cacahuète. C’est juste pas possible ! Là, j’avais deux solutions. Soit je retournais me coucher, de mauvaise humeur, soit … Non, je ne peux pas aller me recoucher, de toute façon je dormirais pas ! Et puis la situation serait la même à mon réveil. Bon, deuxième solution, LET’S GO comme on dit chez moi.
D’abord, je prépare tout le matos. Comment je pourrais faire pour… Bon je vais prendre des fourchettes, ça fera sans doute l’affaire. Au pire j’irais à coup de pied ! Je pose les fourchettes sur la table, à côté du pot VIDE, et me dirige vers le dressing. James, Carwyn, Aless’… Ah voilà, les affaires d’Alix. J’ai besoin d’un collant, il doit bien y avoir ça là-dedans. Celui-là fera l’affaire. Un peu trop foncé quand même, et en plus y a des trucs dessus… Oh tant pis. Je retourne dans la cuisine, m’enfile le collant sur la tête et fourre les fourchettes dans les poches de mon peignoir ouvert. Ça pèse un peu lourd, j’en retire deux que je laisse sur la table. Je jette un dernier coup d’œil sur mon pot VIDE et me dirige vers le jardin.
Non mais je rêve ! Y PLEUT ! Si ça c’est pas de la journée de merde… Bon tant pis, j’ai pas le choix, il faut que je fasse quelque chose pour faire en sorte que cette journée ne soit pas si pourrie. Je cours vers la supérette, les fourchettes tintent dans ma poche. On dirait un troupeau de vaches. Me voilà arrivé devant la grille. Je fais tomber mes outils sur le sol et essaye de forcer la serrure. C’est plus compliqué que ce que je pensais. Je regarde rapidement à l’intérieur, et je vois mon pot de beurre de cacahuète tout près de l’entrée. Si seulement mon bras pouvait passer dans un trou de la grille… Si seulement je n’étais pas aussi musclé. Je donne un coup de pied dans la serrure, au cas où. Mais non, ça bouge pas. Je désespère, cette journée n’aurait même pas dû commencer. Vivement qu’elle se termine… De toute façon je sais très bien que si je ne commence pas par mon petit déjeuner habituel, ça s’annonce très mal pour le reste de la journée. C’est prouvé. Si seulement quelqu’un pouvait venir m’aider… Je tente encore de trouver un super mécanisme avec mes fourchettes, mais ça me semble vraiment mal parti. Fait chier.
Dernière édition par Ana le Lun 15 Juil - 20:24, édité 1 fois
Barbara
Pizza en pleine croissance !
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Je me demande vraiment quel est le secret d'Ana maintenant XDD
Ana
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Sujet: saison 5 - Raphael Lun 15 Juil - 20:04
-Ahah, mais Ana n'a rien à voir avec Sam xD ni avec aucun autre de mes perso d'ailleurs. Je poste le casting de Raph, en espérant que les autres me suivront, j'ai hâte de lire les histoires de mes anciens colocataires -
❖ NOM:Copper ❖ PRENOM(S): Raphael Jackson ❖ AGE: 22 ans ❖ ORIGINE:french americano ❖ STATUT CIVIL:célibataire ❖ MÉTIER:mannequin ❖ SECRET:j’ai gagné X Factor USA avec Cox ❖ AVATAR:Andrew Cooper
Caractère et Physique ...
« Ce n’est jamais facile de parler de soi-même. » Ça c’est ce que tout le monde dit, ou presque. Je pourrais commencer comme ça moi aussi, mais à quoi bon perdre du temps avec des évidences ? Evidemment que c’est difficile de se décrire, on préfère toujours critiquer les autres. Et pourtant je reste intimement convaincu qu’il n’y a pas de juge plus approprié que soi-même. C’est pourquoi je préfère écrire ma description moi-même. Je crois que si je laissais cette tâche à n’importe qui d’autre, les gens ne voudraient plus m’approcher après l’avoir lue. C’est vrai que mon humour noir et mon sarcasme habituel ne plaisent pas à tous. Mais vous savez ce qu’on dit « chassez le naturel il revient au galop ». Je n’ai jamais cherché à chasser mon naturel, à quoi bon se fatiguer inutilement. Je reconnais être toujours à la limite du « il va trop loin », et pour me comprendre et m’apprécier il ne faut rien ignorer du second degré. Et il y a finalement beaucoup de gens assez intelligents pour comprendre que je ne suis ni raciste, ni homophobe, et tout ce que l’on pourrait croire à cause de mes vannes. Mon côté extraverti me permet d’avoir un bon entourage et de faire pas mal de rencontres. Je suis plutôt du genre à aller vers les gens en soirée, à me mettre à danser et chanter sur les tables. Du coup, les gens aiment bien passer du temps avec moi. Mon physique y est sans doute pour quelque chose aussi. Sans me vanter, je suis plutôt bien foutu. La simplicité consiste à montrer ce que l’on est, la modestie à le cacher. Je dois quand même beaucoup à mon physique, c’est ce qui me fait travailler, alors inutile de vouloir être modeste. Je suis capable de déstabiliser une fille, ou un mec d’ailleurs, en un regard. On se noie dans le bleu de mes yeux, et ça c’est pas moi qui le dis. Comme je dois beaucoup à mon physique, j’en prends soin. En résumé, j’ai une bonne hygiène de vie, je fais attention à mon look, et je suis plutôt sportif. Bien que je sois né aux USA, je ne suis pas fan de ce fameux fast-food dont tout le monde raffole et qui fait passer les américains pour des grosses-bouffes ; ce qui n’est pas totalement faux. Oui, je dis les choses comme elles sont, ma franchise est un autre point de ma personnalité qui ne fait pas l’unanimité. La vérité est parfois difficile à entendre, mais heureusement que certaines personnes sont assez courageuses pour la dire. Je pourrais bien sur la dire avec un peu plus de douceur, mais je suis plutôt de nature radical. Ça fait partie de mon naturel, et je ne vais pas vous refaire le speech du naturel et du galop.
Grace à l’éducation que j’ai reçue, je suis plutôt soigneux et ordonné. Un peu comme avec mon corps. Je suis le mec qui va passer l’aspirateur deux fois par semaine, faire les poussières, faire son lit tous les matins. C’est plutôt bien tombé, parce que Michael n’est pas du genre à ranger ou nettoyer. Heureusement il fait la cuisine, ça me manque un peu d’ailleurs. J’ai vécu avec Michael pendant deux ans, en toute amitié, je tiens à le préciser. Evidemment quand on le voit c’est pas flagrant ; quelle grande folle. Bref, mon éducation m’a aussi habitué au luxe, mais sachez que je ne suis pas méprisant. Je respecte les gens qui peuvent dormir dans la chambre d’un hôtel Formule 1, j’en serais incapable. Non, je ne suis pas méprisant, et je suis même généreux. Enfin, juste ce qu’il faut. Je n’ai pas une générosité sans limite, si vous avez besoin d’un pigeon je vous conseille de chercher ailleurs. Comme tous les gens généreux, je me suis fait avoir il y a quelques années, rien de très important, mais je crois que je suis plutôt rancunier, alors forcément... Ça ne m’empêche pas d’être attentionné envers les gens, enfin plutôt ceux que je connais déjà et que j’apprécie plus ou moins. Mais étant donné que je suis très ouvert et que j’ai l’appréciation facile, on peut dire que je suis très attentionné. Quand je dis attentionné, j’entends attentif, présent quand il faut, du genre à vous apporter votre doliprane en lendemain de soirée ; mais pas du genre à vous servir d’esclave.
Je n’ai pas vraiment de rêve à exaucer, je suis satisfait de ce que j’ai. Difficile de ne pas l’être me direz-vous. Je suis d’accord, mais l’homme en veut toujours plus, c’est comme ça. Alors il m’est arrivé de penser à ce que serait ma vie si je me lançais dans l’écriture d’un one man show. Les gens me disent que je suis sympathique, que j’ai de la répartie, que je les fais rire, que je suis plutôt bon comédien ; mais ils ajoutent que mon humour peut choquer, et que je risquerais la censure. Personnellement, je ne pense pas aller trop loin. Je teste parfois, j’essaye de repousser les limites, mais même si ça ne se voit pas, je fais toujours attention. Je fais partie de ceux qui pensent qu’on peut rire de tout, mais pas n’importe comment. Finalement, la maison des secrets pourra peut-être m’apporter des réponses. Être enfermé 24h/24 avec des inconnus, ce sera un public permanent. Et je suis persuadé que leurs critiques ne se feront pas attendre…
Il était une fois ...
« C’est à New York que Raphael vit le jour, au printemps 1989, pour le plus grand bonheur de ses parents, fraichement mariés, heureux comme le sont tous les nouveaux couples. Bien sur cela ne durera pas, et bien sur ils finiront par divorcer trois ans plus tard. » Si je devais écrire ma biographie, je commencerai probablement comme ça. Je n’ai aucune amertume face au divorce de mes parents, ils sont simplement dans l’air du temps, le divorce est à la mode, ils ont eu raison de se mettre à la page. Ce que je trouve beaucoup moins drôle, c’est qu’ils ne se soient pas séparés. Dans tous les esprits communs, divorce = séparation. Mes parents ont accepté de divorcer pour ne pas être has been, mais ont strictement refusé de se séparer. Ils s’aiment, disent-ils. Alors voilà, mon père et ma mère ne se sont plus quittés depuis 23 ans. Quelle belle preuve d’amour, n’est ce pas ? Je n’ai donc pas eu la chance d’avoir un double noël, un double anniversaire, et tous ces avantages qu’ont les enfants de parents divorcés. Enfin assez parlé de mes parents.
Je suis donc né à New York. Mes parents sont français, venus s’installer aux Etats Unis quelques mois après leur mariage, heureux, en bonne santé, ne manquant de rien. Mais j’ai dit ‘assez parlé d’eux’. Mon enfance n’a rien d’extraordinaire. Je n’ai pas fait de séjour à l’hôpital après une chute terrible sur le plongeoir de la piscine. Je ne suis pas passé devant le tribunal pour enfants pour avoir poignardé ma maitresse. J’ai commencé les cours de guitare à 7 ans, dans une grande école de New York City, dont je tairais les tarifs. Bref, j’ai été un enfant sage, sans difficulté, dont mes parents pouvaient être fiers. Certains diraient que le fait que je sois bilingue est une particularité. Peut-être, mais une particularité banale alors. Savoir parler français ne m’a pas vraiment été utile, jusqu’à mes 17 ans. C’est à cet âge que j’ai vraiment commencé à m’investir dans ma vocation pour le mannequinat. J’ai eu la chance de pouvoir prendre des cours, grâce à mes parents qui me payaient tout ce dont j’avais besoin. J’ai suivi mon chemin, doucement mais surement comme on dit. Inutile de préciser que j’ai fait beaucoup de rencontres. Dans ce milieu, c’est inévitable. Je me suis créé un petit cercle d’amis, autour duquel gravitaient quelques connaissances sans réelle importance, mais avec qui je pouvais passer de très agréables moments. J’ai évidemment eu quelques aventures, rien de sérieux. Mine de rien, j’ai progressé dans le métier, et j’ai décroché quelques bons contrats. Au côté de Michael, un jeune français qui a préféré les USA pour se lancer dans le mannequinat, j’ai défilé sur une petite centaine de podiums. A 19 ans, je me décide enfin à prendre mon envol et me séparer de mes parents - sans divorce - pour découvrir un nouveau pays : la France. Michael, ersatz de frère que je n’ai jamais eu, m’accompagne, pris d’une envie soudaine de retrouver ses origines. C’est donc ensemble que nous embarquons pour Paris.
Une fois bien installés dans notre petit appartement, c’est encore ensemble que nous parcourons Paris à la recherche d’une agence. Contrat décroché, la vie ne pouvait pas être plus belle. Je décide de reprendre les cours de guitare, que j’avais arrêtés en quittant les USA, et je m’inscris alors dans une petite école de musique. J’ai toujours préféré les petites écoles aux grands conservatoires. L’ambiance y est beaucoup plus chaleureuse, les élèves ne sont pas en compétition, bref tout est plus cool et sans stress, c’est tout ce que je recherche. Cette école fait maintenant partie de ma vie, et elle y joue un rôle des plus importants. C’est dans cette école que j’ai rencontré Cox. A première vue, je ne me serais jamais imaginé lier une amitié avec cette fille. Je n’avais rien contre elle, d’ailleurs je pense qu’elle est irréprochable. C’est plutôt elle qui avait quelque chose contre moi. Il faut dire que mon humour noir ne fait pas l’unanimité. La pauvre, je l’ai choqué tant de fois qu’elle en aurait presque la mâchoire déboitée. Et pourtant, on a fini par s’entendre, et même très bien s’entendre. La preuve, trois ans plus tard, on décide de s’associer et de former un duo. Notre professeur commun nous propose alors de partir aux USA faire un stage pour nous perfectionner et faire de notre duo le plus grand de notre génération. Le stage est un succès, notre duo prend forme et nous sommes plutôt fiers de notre musique. Au hasard d’une petite virée en ville, on se retrouve face à une affiche « casting X Factor : it’s YOUR chance ». C’est surement un pari fou, mais Cox et moi décidons de nous lancer dans cette grande aventure ! Et effectivement, c’était NOTRE chance. On profite de chaque moment de l’émission, et sans vraiment réaliser ce qui nous arrivait, notre duo devient the winner of the X Factor 2010. Les propositions s’enchainent, notre succès est considérable… aux Etats Unis. Ce n’est évidemment pas le cas en France, du moins pas pour le moment. Presque un an après notre victoire, on décide de faire un petit voyage en France, ne serait-ce que pour reprendre un peu nos repères et raconter notre incroyable histoire à notre cher professeur. J’en profite pour revoir quelques amis, dont Michael, mon ami rencontré sur les podiums. Celui-ci me propose de participer à Secret Story. Coïncidence, on a vu l’annonce de l’ouverture du casting avec Cox dans l’avion. Michael me confirme que l’émission est idéale pour faire le buzz et faire connaître notre duo en France. Here we are.
Remuons le passé ...
à 15 ans, j’ai volé $5.000 à mes parents, que j’ai donnés au premier passant que j’ai croisé en sortant dans la rue.
j’ai tenté d’avoir une relation sexuelle avec Michael.
je collectionne les canards.
j’ai été à l’école avec lady gaga.
j’ai tué le chat de ma mère à coups de batte de baseball l’année dernière, elle ne le sait toujours pas.
un rp:
UN CONSEIL : SI VOUS VOUS SENTEZ SUIVI, NE VOUS RETOURNEZ PAS.
Petit footing matinal à Central Park, sous un ciel bleu sans nuage à l’horizon. J’aurais sans doute dû rester chez moi finalement.
« Non monsieur le commissaire, je vous assure que je ne comprends pas de quoi vous parlez ! Vous vous trompez de personne, et il serait temps que vous trouviez la bonne et que vous me laissiez partir ! S’il vous plait, poliment, évidemment ! » Très sincèrement, je commençais à perdre patience. Quoi de plus normal, après deux heures passées à répéter la même chose au moins cinq fois à six personnes différentes. Et le pire, c’est que je ne savais pas de quoi ils m’accusaient, ou plutôt de quoi ils accusaient la personne qu’ils recherchaient, et qui devait me ressembler, à en croire la situation actuelle. Si seulement je ne m’étais pas laissé tenter par ce magnifique ciel bleu ce matin, et que j’avais suivi l’exemple de mes parents qui devaient encore dormir à l’heure actuelle… Je sais, avec des si on pourrait refaire le monde. Mais là je voudrais juste refaire ma journée.
Je m’étais levé de bon matin, et plutôt en forme pour un dimanche. Habituellement, mes dimanches sont hostiles. Celui-ci n’allait finalement pas échappé à la règle, mais je ne le savais pas encore. C’est donc tranquillement que j’avalai mon café accompagné de deux toasts tartinés au beurre de cacahuète. J’ai d’ailleurs fini le pot, et pour éviter les jérémiades de mon père lorsqu’il s’en apercevrait en se réveillant plus tard dans la matinée, je décidai de sortir courir quelques kilomètres afin de commencer la journée avec entrain. J’enfile donc rapidement un jogging, j’attrape mon iPod, je saute dans mes chaussures et me voilà dehors. La température avoisinait déjà les 20°C selon moi, et il n’était que 8h30. Arrivé à Central Park, je constate que quelques personnes ont eu la même idée que moi, des dizaines de pots de beurre de cacahuète devaient être restés vides sur les tables. J’appuie sur play et commence ma course sans plus tarder.
Central Park est un lieu convoité par les joggeurs. C’est un grand parc, plutôt calme, il est effectivement très agréable de s’y promener, que ce soit en courant ou en marchant, seul ou à plusieurs. Je courrais à bonne allure, chantonnant joyeusement. Je sais que chanter en courant n’est pas recommandé, il faut se concentrer sur la respiration, mais j’avais cette chanson dans la tête depuis maintenant plus d’une semaine et je ne pouvais m’empêcher de la chanter chaque fois que je l’écoutais. Connaissez-vous ce conseil qui dit que lorsque vous avez une chanson en tête, il faut l’écouter jusqu’à vous en lasser ? Je devais en être à plus de cent écoutes, et je ne m’en lassais toujours pas. Nevermind I’ll find someone like youuuu - I wish nothing but the best for youuuu too. Rien à faire, la chanson d’Adele tournait en boucle dans ma tête et me servait de fond sonore dans tout ce que je faisais en ce moment. J’avais déjà fini un tour de parc, et j’entamais sans fatigue le deuxième. J’aime ces petits moments simples mais tellement bons. Une petite brise soufflait sur mon torse nu, je fermai les yeux pour l’apprécier jusqu’à ce qu’elle passe son chemin et aille souffler sur le visage de ceux et celles qui courraient derrière moi. Je regardai les écureuils courir dans tous les sens, monter et descendre aux arbres en deux secondes. Ces petites bêtes sont incroyables. Je m’accordai un bref arrêt devant l’une d’entre elles qui semblait me fixer au bord du chemin. Ce moment ne dura pas longtemps, à peine me suis-je posté devant l’écureuil qu’il s’enfuit avant même que j’ai cligné des yeux. Je repris donc ma course, le sourire aux lèvres.
Aussi étrange que cela puisse paraître, l’impression que quelqu’un ou quelque chose me fixait ne m’avait pas quitté. Aucun écureuil en vue, je mis mon iPod sur pause et écoutai plus attentivement. Après une bonne minute d’écoute attentive, j’en déduis que ce regard que je sentais posé sur moi provenait très certainement de la personne qui me suivait et qui avait accordé ses foulées sur les miennes. J’hésitais à me retourner soudainement pour la surprendre ou continuer comme si de rien n’était. Je me faisais peut-être des idées. Et puis me vint alors à l’esprit l’hypothèse suivante : cela pouvait être une jeune femme qui m’avait remarqué depuis quelques semaines, qui venait elle-aussi courir dès qu’elle le pouvait dans ce parc. Elle ne savait probablement pas comment m’aborder et n’avait rien trouvé de mieux que me suivre. Convaincu par cette supposition, je me retournai d’un coup sec. Imaginez ma surprise lorsque je constatai qu’effectivement j’étais suivi, pas par une jolie jeune femme, mais par un agent de police qui pointa immédiatement son arme vers moi. Je levai aussi rapidement les mains en l’air, et commençai déjà à réfléchir à une raison plausible de cette arrestation. L’écoute prolongée de la même chanson est-elle punie par la loi ? Mis à part ça, je ne voyais pas ce que j’avais bien pu faire récemment.
Je savais qu’il était inutile de résister, je fus alors des plus coopératifs lorsque ce monsieur me passa les menottes. Je trouvais vraiment ça excessif, mais j’espérais que tout rentrerait dans l’ordre rapidement après quelques explications. Bien sur, ce ne fut pas le cas. Il était 9h35 lorsque j’entrai dans le commissariat. J’enchainai interrogatoire sur interrogatoire, sans que jamais personne ne prenne la peine de m’expliquer ce que je faisais là. Voilà comment j’en suis arrivé là, devant le commissaire, lui répétant pour la quatrième fois que je n’y comprenais rien. Il était 11h20.
« COUPÉ » Bon, ce petit essai en tant qu’acteur n’a pas été déplaisant. Une grande carrière m’attend peut-être.
Dernière édition par Ana le Lun 15 Juil - 22:46, édité 1 fois
Jena
My Strength is my Family
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- Mon tout premier vrai personnage, Jessica... en dehors de Ana et la Voix sinon personne n'a jamais connu ce personnage Il faut savoir qu'à ce moment là, le formulaire comme maintenant n'existait pas lol!
Jessica a écrit:
Nom du candidat : Jessica Age du candidat : 21 ans Qualités : Gentille - Sociale Défauts : Prend des décisions sans réfléchir Caractère : Jessica est gentille et sociale, mais prend souvent des décisions sans réfléchir. Elle a aussi un fort esprit de rivalité. Elle n'est pas du tout sentimentale au niveau de l'amour. Elle adore aider ses amis. Si on lui cherche des ennuis, elle s'est très bien régler ses problèmes sans violences, elle se venge juste. Elle est aussi très gourmande. Elle n'aime pas qu'on se croit supérieur à elle et elle n'aime pas être supérieur aux autres, même si elle doit diriger. Motivations/Histoire : Jessica est née dans des quartiers durs, où elle a était élevée par sa tante et pratique la danse de rue depuis très jeune. Pour sa passion, elle a arrêté les cours juste après avoir eu son bac. Aujourd'hui elle vient en colocation avec quelques uns de ces amis avec qui elle pratique la dance. Elle adore la musique de Break Dance, c'est d'ailleur sur ce style de musique qu'elle danse. Quand il sagit de tenue vestimentaire, elle refléte très bien métier puis qu'elle après au plus jeune le hip-hop. Très souvent elle porte un haut très court (voir avatar) et donc on peut apercevoir, sur son ventre musclé d'abdos, qu'elle a un percing au nombril. Si elle s'est présentée au casting de Secret Story se n'est pas pour l'argent mais tout simplemnt pour s'amuser et rencontrer de nouvelle personne. Avez-vous un avatar ? : Oui
Fred'
Sweety Dreamy
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_ Carwyn retrouvé dans un vieux dossier et dépoussiéré! Je sais plus si c'était la version définitive ou pas, mais c'est tout ce qu'il me reste de lui _
Citation :
Nom. Pederson Prénom. Carwyn Age. 21 ans Histoire. Se définissant lui même comme un « produit multiculturel », Carwyn est du genre touche à tout. C'est au pays de Galles qu'il a vu le jour, d'un père danois qui lui donne ce nom de famille nordique et d'une mère galloise, qui lui choisit son prénom. Toute sa jeunesse, c'est dans la magnifique ville d'Aberystwyth qu'il la passe. Ville particulièrement culturelle, contenant notamment la bibliothèque nationale, un centre d'art, un ancien château, c'est tout naturellement que Carwyn s'intéresse à la vie culturelle de son pays. Il rêve depuis toujours de se spécialiser dans une carrière touchant à l'international, mais changera bien vite d'avis. Ses études sont brillantes, du moins à la maternelle et au primaire. Mais dès le collège, les difficultés apparaissent et il se désintéresse totalement des cours. Il sèche de plus en plus régulièrement les cours pour se rendre à la bibliothèque ou au centre d'art, où il faut de nombreuses rencontres artistiques. C'est ça qu'il veut faire dans sa vie. Mais bien évidement ce n'est pas du goût de ses parents, qui ne cessent de lui faire la morale pour qu'il arrête enfin de sécher les cours. Rapidement on le compare à son grand frère, devenu ingénieur, ou aux petites sœurs, qui elles adorent l'école. Carwyn se cherche, on l'inscrit à toutes sortes de sport: le rugby, le baseball, le cricket, mais aussi la danse. Carwyn essayera un peu toute sorte de sport, et deviendra un grand sportif, ne pouvant pas passer une journée sans pratiquer un sport quelconque. La plupart de ses journées se déclinent donc de la manière suivante pendant un moment: lever, bibliothèque, sport, centre d'arts. Il sèche de plus en plus souvent les cours, malgré le fait que ses parents cherchent à le pousser à continuer à faire des études, histoire de lui assurer un bon travail plus tard. Lui trouve ça ridicule, d'autant qu'il se cultive de son côté. Pour faire plaisir à ses parents, il retourne à l'école, du moins au début. Ça ne dure pas, il finit par en avoir rapidement marre et demande à ses parents d'arrêter. Ses derniers refusent car il n'a aucun autre projet en tête. Ils lui disent qu'ils seraient d'accord, à condition qu'il trouve un projet. En attendant il doit retourner en cours. Lorsqu'il atteint ses 14ans, son père est muté en France, dans la ville jumelée à la sienne, en France: Saint-Brieuc en Bretagne. C'est la catastrophe. Le jeune Carwyn se retrouve complètement chamboulé, ne connaissant pas un mot de français, rejeté au collège, subissant des moqueries à cause de son prénom. Il est d'autant plus chamboulé que c'est à cette époque qu'il découvre sa particularité: Carwyn découvre qu'il est attiré autant par les garçons que par les filles. Au départ, cela le perturbe complètement, il ne sait pas comment réagir ni comment se comporter par rapport à cela. Il hésite à le dire à ses parents. Il apprend le français sur le tas, bien obligé de se débrouiller, mais redouble son année, n'ayant pas un niveau suffisant pour comprendre les cours. Le jeune homme se replie complètement sur lui-même, ne supportant pas cet échec, regrettant son pays, et se sentant mal dans sa peau vis-à-vis de sa sexualité. Il sombre petit à petit dans la dépression sous l'incompréhension de ses parents, qui cherchent par tous les moyens à l'aider. Il a 15ans et décroche complètement de l'école, passant ses journées dans la rue à se balader. C'est là qu'il rencontrera Jason, jeune homme d'origine anglaise, vivant en France depuis quelques années. Jason devient une sorte de confident, de grand frère, qui le comprend. C'est le premier à qui Carwyn parle de sa sexualité. Jason le comprend et l'aide petit à petit à s'en sortir, en lui prouvant qu'il n'est pas un monstre. Jason l'emmène dans un bar gay, où Carwyn rencontre beaucoup de personnes qui l'aident à se sentir bien dans sa tête. Carwyn sort de sa dépression petit à petit et reprend goût à l'école. Tout aurait pu s'arranger à ce moment-là. Mais Jason décide de couper tout contact avec lui, sans prévenir. Et là c'est le drame pour le jeune homme, qui pète complètement les plombs, se sentant abandonné de tous. Il replonge dans la dépression, encore une fois, ses parents ne comprennent pas et ne parviennent pas à l'aider. A cette époque, la famille déménage à Paris. Le jeune homme refuse de parler, et rencontre les mauvaises personnes au mauvais moment, et sombre dans la drogue. Cocaïnomane à seize ans, il ne sait plus qui il est, ne sait plus rien, baisse les bras à l'école. Ses parents le surprennent en train de se droguer, et l'aident à s'en sortir comme ils peuvent. Les psy, les rendez-vous médicaux, tout y passe. Ils acceptent que Carwyn arrête l'école, le temps de se soigner. C'est une discussion qui va tout déclencher. Son père vient le voir et ils se mettent à discuter, une discussion durant laquelle Carwyn raconte ce qu'il a sur le cœur, il lui avoue qu'il est attiré par les hommes. Son père l'accepte et c'est un premier pas vers la guérison pour le jeune homme. Sa mère l'apprend peu de temps après, et encore une fois, elle l'accepte parfaitement. Carwyn réussit à se sevrer, avec difficulté, mais il tire définitivement un trait sur la drogue. Il a alors 18ans. Il reprends l'école, et cette fois, c'est une réussite, vu qu'il est plus motivé que jamais. Ses connaissances en langue (danois, gallois et anglais) lui sont très utiles, les professeurs décident de l'orienter vers le commerce international. Il s'épanouit parfaitement dans ce domaine. A 19ans, Carwyn est un jeune homme épanoui, fier de ses origines et de ce qu'il est. Il recroise la route de Jason par hasard. Jason s'excuse d'être parti sans laisser de nouvelles, il n'a pas eu le choix, ses parents quittaient le pays, il a du les suivre. Les deux jeunes hommes reprennent contact, et Carwyn et lui se mettent en couple peu de temps après. Ils fréquentent de nombreux clubs ensembles, et notamment un bar de Drag Queen. Et là, pour le jeune homme c'est le coup de foudre, il n'a plus qu'une idée en tête: devenir une Drag Queen à son tour. Il commence petit à petit à se maquiller chez lui, à faire des essais, à essayer les vêtements de ses deux sœurs. Non seulement il s'éclate mais en plus ça lui va bien! Le couple formé par Jason et Carwyn se sépare en bon terme après un an de relation. Après cette rupture, Carwyn décide de se lancer, et se présente dans le club où il a l'habitude d'aller. On accepte de lui faire faire un essai, juste histoire de... C'est une réussite, le jeune homme est ravi de faire cela et le club l'a trouvé doué. Carwyn devient alors une Drag Queen à ses heures perdues, tout en continuant ses études de commerce à Paris. Il finit d'en parler à ses parents, leur présentant cela comme une forme d'art. Ses parents l'acceptent, heureux de voir que leur fils s'est définitivement sorti de ses problèmes de jeunesse. Actuellement, il continue ses études de commerce sur Paris, et de faire des spectacles de Drag Queen plusieurs soirs par semaine.
Caractère : Carwyn est très fier de ses origines multiples, et ne supporte pas qu'on lui fasse des remarques négatives là-dessus. Comme tous les Gallois, c'est un caractère bien trempé et très fier. Dans l'aventure, il pourra être le pire des enfoirés avec les personnes qu'il n'aime pas. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds, même s'il est très calme en temps normal. Capable du pire comme du meilleur, il sera autant celui qui créera des embrouilles, que celui qui évite les conflits. Il sera le plus fidèle des amis s'il apprécie quelqu'un. En temps normal Carwyn est quelqu'un de très calme, mais il a tendance, étant très extraverti, à sortir de ses gonds n'importe quand, n'importe comment. Il peut tout à coup décider de crier sans raison, de se jeter sur quelqu'un, ou décider de faire la pire des conneries sans réfléchir. C'est une vraie boule d'énergie, tout le temps prêt à suivre les idées les plus délirantes, prêt à motiver les troupes. Cela est dû en partie au fait qu'il soit hyper-actif. En gros, Carwyn est le genre de personne qu'il ne faut pas se mettre à dos, parce qu'un Gallois en colère, ça peut être violent. Lorsqu'il pique une crise, c'est quelque chose de très violent à voir, puisque Carwyn est souvent à deux doigts de tout balancer par terre. En temps normal, c'est quelqu'un qui est fier de sa sexualité, mais pour garder son secret dans l'aventure, il se fera passé pour un hétérosexuel bien rangé. Son histoire l'a profondément marquée et changée. Les personnes qu'il n'aime pas et qui ne l'aime pas seront tout simplement comme mortes pour lui. Il n'y prêtera pas attention. Un petit diablotin en puissance se cache dans le jeune homme, qui ne se laissera pas marcher sur les pieds, et n'hésitera pas à manipuler, trahir pour arriver à ses fins!
Physique : Une gueule d'ange est le meilleur moyen de décrire Carwyn. Cheveux courts ou mi-longs selon son humeur, brun foncé, il fait très attention à son apparence et veut tout le temps être au top du top. Lié à son secret, son corps est très important à ses yeux, même s'il ne fait pas de culte du corps. Grand, mince voire maigre, mais il ne prête pas attention à ce détail. Plutôt musclé, enfin « là où il faut » comme il le dit lui-même, Il fait très attention à son hygiène corporelle, se rase de près (de très près) la plupart du temps. Il calcule chaque petit détail de son apparence, afin de toujours être au top. Des petits yeux bruns très profonds, Carwyn est obligé de porter des lentilles de contact, étant myope. Il met parfois des lentilles de couleur, très étranges, du style bleu ciel, rouge sang, vert fluo ou jaune, simplement pour s'amuser. Au niveau du reste du corps, il a un corps tout à fait normal, plutôt bien bâti, et met parfois quelques bijoux, mais juste pour le plaisir, lors de ses spectacles. Au niveau vestimentaire, il porte toutes sortes de choses, passant de la simple chemise, aux tee-shirts les plus étranges possibles.
Avatar : Milo Ventimiglia
Elements Buzz : -Carwyn est un ancien cocaïnomane. - Carwyn a posé pour des photos de charme. - Carwyn a fait une dépression sévère. - Carwyn est lacto-végétarien - Carwyn est hyper-actif
Secret du personnage : Je suis une Drag Queen (je fais des spectacles déguisé en femme).
Un bon rp:
Citation :
Un besoin de s'élever. Un besoin de se sentir vivant, de se sentir humain. Eliott tenta de se remémorer ce qui avait bien pu se passer. Il venait de lire le message laissé par son père dans son journal intime, et là, c'était le trou noir. Il s'était réveillé ici. Ici, oui, mais où? Où était-il? Dans un centre avait écrit son père. Quel genre de centre? Dans quel pays? Était-il encore dans son pays de Galle natal? En se réveillant, il n'avait eu qu'une envie: hurler, hurler pour éliminer tout ce qui s'était passé ces derniers jours. La haine dans le regard de son père, les mots qu'il avait employé. Sa souffrance, il voulait tout éliminer en criant, mais il n'avait pas pu. Il avait crié, crié, mais aucun son n'était sorti. Une envie de vomir l'avait prit rapidement à la gorge. Était-il un monstre pour que son père le méprise à ce point? Un monstre, un rejeté de la société... Voilà ce que son père avait décidé pour lui. Le qu'en dira-t-on aura été plus fort que l'amour de son propre fils...
Le jeune homme s'assit difficilement sur le sol de cette pièce (quelle pièce?) dans laquelle il s'était réveillé. Il faisait sombre, tellement sombre, et froid. Il savait ce que cela signifiait. Il se trouvait dans un centre, un centre de quoi au juste, il ne savait pas, mais dans un centre... Un centre pour fous? Mais il n'était pas fou. Il n'était ni un fou, ni un monstre, ni un cas désespéré. Que foutait-il ici? Eliott tenta de se lever, mais ses jambes eurent du mal à le tenir debout. Il prit appui sur le mur le plus proche de lui quelques secondes, le temps d'assurer sa démarche. Sa tête lui tournait. Le fait de ne pas savoir où il était le paniquait totalement. Il avait besoin de sortir, de voir le ciel, de respirer. Petit à petit il s'habitua à la pénombre, et distingua une porte. Qu'y avait-il derrière cette porte? Un piège, quelqu'un qui l'attendait?... Peu importait, il voulait sortir... Il avait encore un peu d'espoir que dehors, il y aurait les rues de Cardiff, le ciel du pays de Galle..
Eliott se dirigea à pas lents vers la porte, son cœur battait vite, qu'allait-il trouver au dehors? Il posa sa main sur la poignée de porte. Le contact avec le métal froid le ramena sur terre: il devait sortir d'ici, coute que coute! Il ouvrit la porte rapidement, et regarda ce qui se trouvait devant lui. Un couloir. Un simple petit couloir, trop éclairé pour être honnête. Et ce qui le choqua surtout, c'est le fait qu'il n'y avait strictement personne. Peut-être était-ce une maladresse, un oubli, peut-être cela lui permettrait de sortir d'ici... Il avança dans le couloir et se mit à courir en direction d'une porte qui semblait donner sur l'extérieur. Seul le bruit de ses pas résonner dans le couloir. Des pas légers. Son cœur battait vite, il voulait sortir, il en avait besoin. Il arriva à la porte bien trop lentement à son goût et essaya de l'ouvrir. A son grand étonnement, elle n'était pas verrouillée, et il put sortir facilement. Il se retrouva dehors, dans un grand jardin, et tous ses espoirs s'envolèrent. Il n'était plus au pays de Galles, l'air qu'il respirait n'était pas celui de Cardiff. Il n'avait aucune idée de l'endroit où il pouvait être, ni de ce qu'il devait faire.
*Sortir de cet endroit, il faut que je sorte de ce foutu endroit.... Sortir... Il faut que je sorte*
Eliott avança à pas prudents dans le jardin avant de se mettre à courir. Dans n'importe quelle direction, dans n'importe quel sens, il devait courir. Courir le plus loin et le plus vite possible. Trouver un moyen d'échapper à cet endroit, de rentrer chez lui, de retrouver Isaac, de rentrer, de partir. Il le devait. Il devait partir. La panique le submergea, son cœur battait tellement vite qu'il avait peur qu'il ne s'arrête. Ses jambes continuaient toutes seules, son cerveau ne contrôlait plus rien. La peur en lui avait prit le contrôle. Des larmes coulèrent sur ses joues sans qu'il ne s'en rende compte. Sa vue embrouilla, il ne voyait plus où il allait, sil ferma les yeux et continua à courir. Sa vie lui semblait si ridicule, si injuste, il ne méritait pas de se retrouver ici.
- Laissez moi sortir d'ici bordel! Laissez moi partiiiiir!!!!
Sa course semblait sans fin, il continuerait à courir jusqu'à ce qu'il s'écroule, il devait partir d'ici, sortir, retrouver sa ville, son pays, ses amis... Isaac. Son prénom résonnait à ses oreilles. Comment son père avait-il pu l'envoyer ici, gâcher sa vie de cette façon? Comment?! Ses pas se faisaient de plus en plus rapides, il n'entendait plus rien autour de lui. Seule une chose comptait à es yeux: courir. Mais sa course fut bientôt interrompue puisqu'il se cogna violemment contre quelque chose, ou peut-être quelqu'un. Il se retrouva par terre sans comprendre, et ouvrit les yeux rapidement, cherchant à comprendre une explication. Devant lui se tenait une personne, un homme. Un homme avec un visage marqué par les années, ou... par la souffrance? Eliott le fixa, cherchant à savoir s'il devait se méfier ou non. Qui était-il? Que cachait sa beauté? Eliott resta assis par terre, fixant cette personne contre qui il venait de se cogner. Devait-il s'excuser? Surement... Sans se lever, il bafouilla des mots d'excuse:
- Euh... pardon...je...
Il laissa rapidement tomber, les mots ne venaient pas. Il était en nage, sa course l'avait fatigué. Et le regard de cet homme qui le fixait, ce regard si profond. Ce regard...
Dernière édition par Fred' le Lun 15 Juil - 23:10, édité 1 fois
Fred'
Sweety Dreamy
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_ Et Gaël, lui y'a pas de doute, il était encore dans mes mps envoyés! La progression est énormissime n'empêche! On grandit avec le forum c'est trop cool*
Gaël Martins
« Je ne suis coupable de rien, sinon d'avoir toujours été innocent. »
Informations
Age:23 ans Date de naissance : 14juillet 1988 Nom de la célébrité: Marlon Teixeira
Histoire
Bonsoir, Mon nom est Gaël et voici mon histoire. Ouais, mon histoire commence comme un film en fait, donc on peut la commencer de cette manière non? Au début de mon histoire, il y a un homme. Une femme. Une rencontre. Deux cœurs qui battent à l'unisson, l'amour fou blablabla... ouais bon je vous passe les détails chiants de leur niaiserie de couple, ils ont eu une pulsion purement animale, et je suis le résultat de cette pulsion. C'est triste de se dire que si les hormones n'existaient pas, on serait pas sur cette foutue terre. Mais les hormones existent, et je suis là. Quand je dis que mon histoire commence comme dans un film, c'est parce que c'est vrai. Cette histoire d'amour, de sexe, et le bébé qui arrive. Le couple parfait, le bébé parfait. Ou presque. Ben ouais, déjà quand j'étais qu'un tas de chair sanguinolent je faisais chier! Et c'est là que le film à l'eau de rose s'arrête, pour donner place au roman-fleuve qu'est ma vie. A l'âge de six mois, j'ai dû retourner à l'hôpital, j'avais la bouche en sang. La raison? Mes dents commençaient à pousser. Jusque là, rien d'anormal. Sauf qu'un môme, quand ses dents poussent, il hurle, geint, gémit. Moi non. Je me mordais l'intérieur des joues, la langue et je ne disais rien. Le diagnostic est rapidement posé: Gaël Martins ne ressent pas la douleur. Ou pour les scientifiques, je suis atteint d'insensibilité congénitale à la douleur, aussi appelée analgésie congénitale, analgie congénitale, indifférence congénitale à la douleur, ou encore algoataraxie. Voilà pour la partie chiante remplie de noms incompréhensibles. Dans la pratique ça donne ceci: je ne ressens pas la douleur, dans aucune partie de mon corps. On pourrait croire que c'est le paradis, mais ça a fait de ma vie un enfer. Replaçons le contexte un instant. Mes parents venaient d'avoir leur premier enfant, qui s'avère être malade. Comment réagissent deux jeunes parents dans ce cas-là? Deux solutions: ou ils se séparent, car l'un en veut à l'autre de la maladie de l'enfant; ou ils se rapprochent encore plus. Mes parents ont choisi la troisième voie. Il faisait nuit, mon père me ramenait de l'hôpital, j'avais trois ans, et je m'étais cassé une jambe en jouant au foot avec le petit voisin. J'avais rien senti mais j'étais tombé et ma jambe faisait un angle de 90° mais dans le sens inverse de l'habituel. Sur le chemin du retour, j'étais en train de chanter à l'arrière. Je chantais le tube de l'année-là. C'était en plein été, il faisait chaud et lourd, mais l'orage avait éclaté. La pluie tombait sur la fenêtre et je chantais à tue-tête à l'arrière. Mon père m'a demandé de chanter moins fort, il était fatigué, à cause du boulot, et de la chaleur, et m'avoir emmené à l'hôpital ne l'avait pas arrangé. Il roulait avec une main sur le cœur, et il grimaçait. J'ai continué à chanter quand même. Il s'est tourné pour me demander d'arrêter encore une fois. Il s'est énervé, il était tout rouge. Je me suis tu jusqu'à la maison. Il est descendu de voiture, il a pris les béquilles dans le coffre pour me les donner, et a contourné la voiture. Je m'étais remis à chanter. Je l'attendais dans la voiture. J'ai attendu. J'ai entendu du bruit de l'extérieur et j'ai regardé par la fenêtre, mon père était au sol. J'ai pas compris, je croyais qu'il jouait, ça m'a fait rire. J'ai attendu. Il ne s'est jamais relevé. Quelques minutes plus tard, ma mère est sortie de chez nous, elle avait entendu la voiture arriver. Elle venait nous accueillir. Elle a vu mon père par terre et s'est jetée sur lui. Elle, elle a compris tout de suite, et elle s'est mise à hurler dans la nuit. Il venait de faire un arrêt cardiaque. Une mort bête. Il est mort sur le rythme de ma voix enfantine à l'arrière de la voiture. Je n'ai presque pas conservé de souvenirs de mon père. Je me rappelle seulement qu'il avait un pull blanc le soir-là. Et ma voix qui résonnait dans la nuit, chantant cet air de l'époque. On est retourné à l'hôpital, ils ont voulu le sauver, en vain, ma mère m'a ramené et après je sais plus. J'étais môme, j'ai dû chialer, mais je comprenais pas. A trois ans, la mort c'est quoi? Surtout pour quelqu'un qui est déjà incapable de comprendre ce que c'est la douleur, comment vous voulez expliquer la mort? Suite à ça on a déménagé. On est allé vivre chez les parents de ma mère. Fallait trouver un truc, parce que niveau financier on s'en sortait pas avec le salaire de ma mère. C'était un petit village de merde. Ça s'appelait Tromborn. Un truc dans l'Est de la France. Plus de vaches que d'habitants, voyez le genre? Je m'emmerdais au possible. Et je réclamais mon père. Ça les a tous emmerdés mes questions à la con du genre quand est-ce qu'il rentre papa? Je suis devenu aigri à force de le réclamer. Et de contempler les vaches. On me surprotégeait, je vivais dans un cocon, j'avais pas le droit de sortir, sinon j'allais me blesser. C'était la pire période de ma vie. Je crois que c'est à cette période que je suis devenu ce que je suis actuellement: un petit con. Soyons honnête, je suis une peste. J'en ai eu marre d'être enfermé. J'avais environ cinq ans la première fois que j'ai escaladé la fenêtre pour aller me promener dans le village. On ne me laissait pas sortir tout seul, je l'ai fait quand même. De toute façon, j'étais invincible. Rien ne pouvait me blesser. Je me rappelle du sentiment de liberté ce jour-là, le vent dans mes cheveux, les oiseaux qui chantaient au-dessus de moi, les bestioles et insectes en tout genre que j'avais observés. Le soir, quand je suis rentré, je me suis fait engueulé, ils avaient remarqué mon absence. J'ai quand même recommencé le lendemain, et j'ai passé tout mon été dehors. On a finit par me laisser sortir, de toute façon, ils n'arrivaient pas à freiner mon envie de liberté et de gambader. J'ai grandi de cette manière, je n'aimais pas l'école, mais j'adorais aller dehors. Ma mère, seule, et célibataire, mes grands-parents qui ne comprenaient pas ma maladie, je les menais tous par le bout du nez. Je suis devenu un enfant-roi. Le peu de fric qu'on avait, c'était pour m'offrir des trucs et des machins en tout genre, je sais même plus ce que c'était. Finalement, je m'accommodais de cette vie dans ce village, c'était devenu mon royaume, j'étais le petit prince. Mais chaque bonne chose a une fin...
Ma mère a rencontré quelqu'un. Jean-Frédéric, avocat, pété de tune, qui ne rêvait que d'une chose: fonder une famille. Alors entre lui et ma mère, je sais pas si c'était de l'amour ou du sexe à la base, mais c'est devenu sérieux. Ils ont acheté une grande maison ensemble en Bretagne, et Jean-Frédéric se comportait comme un père pour moi. Mais c'était pas mon père, et je ne le supportais pas. J'ai commencé à m'engueuler avec ma mère, je n'acceptais pas qu'elle se remette avec quelqu'un. Elle m'a fait comprendre que c'était sa vie et que cela ne me regardait pas. J'avais plus qu'une envie: foutre le camp. Mais j'avais six ans. Et à six ans, on est tout sauf indépendant. J'étais le petit con prétentieux, qui rêvait de liberté, et qui passait ses journées à emmerder son beau-père qui, lui, faisait tout pour se faire accepter. Des caprices, j'en ai fait, des colères, j'en ai fait. J'avais tout ce que je voulais, mais je n'étais pas heureux. Ils ont fini par se marier et m'ont donné une flopée de frères et sœurs. J'ai arrêté de compter au bout de deux. Ça hurle, ça crie, ça couine, c'est moche et ça a de la morve au nez. Bref, le bonheur absolu! Et je n'étais plus l'enfant chéri. J-F, le mec de ma mère, a arrêté de chercher à se faire aimer de moi, il avait ses gosses à lui, mes crises de nerfs commençaient à l'emmerder. Je le comprends, à sa place, je me serais pas supporté. Mais j'étais jeune et con. J'ai grandi dans cette famille recomposée. Les trucs hurlants qui me servaient de frères et sœurs étaient tous blonds aux yeux bleus. Moi je suis plutôt du genre teint mat, cheveux foncés, yeux quasi noirs, voyez le genre? J'étais le p'tit batard, le vilain petit canard de la bande. J'en avais marre, tout me soulait à cette époque. J'avais quatorze ans, l'école me faisait royalement chier, mon beau-père aussi, les mioches aussi, et ma mère n'en parlons pas. Mes rêves de môme ne m'ont jamais quittés. J'avais envie de voir l'horizon. J'ai longtemps voulu fuguer, mais je crois qu'au fond j'avais pas les couilles pour. Ma prison dorée, même si c'est une prison, n'en était pas moins dorée... et le fric, ça m'avait plu. Après toutes ces années de galère avec ma mère, on était devenu des bourges. Ceux que je regardais dans la rue avant, en rêvant. Alors je suis resté. J'ai lâché l'école, je continuais à y aller je veux dire, mais je foutais plus rien. Ça ne m'intéressait pas. Ce que j'aimais, moi, c'était les machines. Les ordis, les appareils ménagers, bref tout ce genre de machines. J'adorais les démonter pour voir comment ça fonctionnait. JF me disait que j'avais aucun avenir là-dedans, et je me suis juré d'un jour lui prouver le contraire. Entre seize et dix-huit ans, j'ai eu une période dont je ne préfère pas parler. Résumons-la donc en deux mots: alcool à profusion dans des soirées, avec beaucoup de filles, et de mecs plein d'hormones, et prêts à tout. Je faisais partie de ces gars plein d'hormones et prêts à tout. C'est tout ce que vous saurez sur cette période, le reste se passe au-dessous de la ceinture et c'est du privé. J'avais mon brevet et j'ai passé un CAP pour devenir mécano... ma mère a pas trop apprécié. Son mec était avocat et son môme voulait devenir mécano? Elle supportait pas... je lui ai ressorti ce qu'elle m'avait dit en se mettant avec JF: ce n'était pas sa vie, elle n'avait rien à dire. Je suis devenu mécano et un petit garage de quartier m'a embauché assez rapidement. C'était pas mon rêve, je savais que je valais plus, j'étais très intelligent, même si j'aimais pas l'école et je me sentais une âme de conquérant. J'ai mis mon salaire de côté. Pendant trois ans. Je bossais comme un dératé, mon patron était super fier de moi, et m'a même financé des stages, afin de me perfectionner dans le métier. À côté de ça, je réparais des ordis, et des appareils ménagers pour des amis, voisins etc. c'était du taff au black, mais je m'en foutais, je voulais juste des tunes. Je mettais tout de côté, et je me suis assagi. Du moins en ce qui concerne les soirées et leurs dérives en alcool. Je sortais plus de chez moi, que pour aller bosser. Tous les soirs, je faisais des plans dans ma tête. Mon avenir se traçait petit à petit. Je ne resterai pas mécano toute ma vie, je me le jurais. Au bout de trois ans de ce régime, c'était bon, j'avais l'argent nécessaire. J'ai monté une boîte. Pas grand chose. Je réparais. Truc inédit dans mon coin. Qu'on m'amène voiture, ordinateurs ou appareil ménager, je réparais. Ça a plutôt bien marché. Au début, ca a eu du mal à décoller, mais le bouche à oreille a bien fonctionné. J'avais à peine 20ans, et j'étais chef d'entreprise. Au bout d'un an, ça marchait vraiment bien. Les gens venaient souvent, j'avais une clientèle fidèle. J'ai même pu embaucher quelqu'un pour m'aider. Je ne vivais plus que pour mon métier et pour montrer à JF et à ma mère que je pouvais me démerder seul. J'ai acheté un appart et j'ai quitté la prison dorée de mon adolescence. Ca a un peu apaisé les tensions entre moi et ma famille, on devait plus se supporter toute la journée, et je pouvais faire la peste avec mon employé sans me mettre ma famille à dos. Je suis un beau salopard je sais, mon employé en voit de toutes les couleurs. Il s'en prend plein la gueule s'il fait pas les trucs comme il faut... mais faut pas croire, on est quand même ami. Je crois même que c'est mon seul vrai ami. Les autres personnes qui traînent avec moi, ils traînent avec moi pour mon fric. Mon employé est mon seul ami. On se comprend par le biais des machines et ça suffit. Depuis que j'ai créé cette boîte, elle a prospéré, et très bien évolué. J'ai pu ouvrir une succursale dans une ville voisine de la mienne, et j'ai désormais dix employés sous mes ordres. Je gagne très bien ma vie, et j'ai prouvé à mon beau-père que j'avais de l'avenir dans ce métier. Que demander de plus? Ben Secret Story. Histoire de faire connaître ma maladie. Et puis, j'adore jouer...
Caractère
Je suis parfait, ou tout du moins intimement persuadé de l'être. Est-ce un défaut ou simplement une vérité? J'ai encore du mal à me fixer sur ce point. Sinon à part ça je suis quelqu'un de profondément narcissique, et du coup j'en deviens vite insupportable. Je suis persuadé que tout m'est dû. J'ai quand même des défauts, je vous rassure hein. Pour faire court: je suis vulgaire, insolent, narcissique, imbu de moi-même, ultra-perfectionniste, misanthrope, renfrogné, insupportable, méchant, j'adore m'acharner sur les faibles, persuadé de ma supériorité, impulsif, j'aime avoir le dernier mot, je fume trop, je bois trop, je suis têtu, buté, intolérable, j'aime trop les uns et pas assez les autres... je suis chieur, j'arrête pas de râler tout le temps! une vraie peste en fait. Oui donc en gros, je ne suis pas parfait, mais à mes yeux je le suis. J'aime ce que je suis, ce que je suis devenu. Même si j'ai un tas de défauts, j'en suis conscient et du coup, ça ne me dérange pas, je ne cherche pas à changer là-dessus. Je suis une forte tête que voulez vous, mon père était d'origine méditerranéenne, ça se ressent dans mon caractère. Donc oui, si j'entre dans la maison, je serai le type chiant, qui cherche la merde. C'est pas mon but de chercher la merde, mais j'aime pas les cons, c'est pas de ma faute quand même? Si ils ne viennent pas me chercher, je dirai rien et je les laisserai tranquille, mais si ils viennent me chercher des noises, je vais m'acharner sur eux, je vous préviens. Je n'aime pas me plier aux règles, donc ça risque de poser problème dans une communauté. Il suffit de voir, je m'embrouillais tout le temps dans ma famille. Dans tout ce que je fais, je dois être le meilleur, et pour ça, deux solutions: ou je me donne à fond et ça suffit. Ou alors je dois éliminer les autres de la compétition. Par tous les moyens. Je suis ultra maniaque, j'aime faire les choses proprement, sinon je préfère autant ne pas les faire. En fait je me rends compte que je suis un mec super contradictoire, parce qu'autant je peux être un gros flemmard de première, autant je peux me donner à 200% dans quelque chose. J'ai des fois une logique qui m'étonne, mais c'est ce qui fait mon charme (ai-je précisé que j'étais narcissique et j'aimais me lancer des compliments?). J'ai énormément d'ambition et je me donne à fond pour réaliser mes rêves de gosse. Ma maladie me prend beaucoup de temps et d'énergie, mais à côté de ça, elle m'a ouvert les yeux sur le fait qu'il fallait vivre à deux cent pour cent. J'aime prendre le bon côté de la maladie et me dire que je suis invincible, que rien ne peut m'atteindre, et donc je me donne les moyens de réaliser mes rêves. J'ai de l'énergie à revendre et je suis super dynamique, toujours là pour faire ce qui doit être fait. Dans un groupe, je suis plutôt le fonceur, le mec qui adore rigoler, et sortir des conneries, voyez le genre? On me propose une idée stupide, je fonce! J'essaye de me calmer, mais généralement, je fonce quand même. Je vis les choses à cent à l'heure, parce qu'on risque de mourir n'importe quand, et puis vu que je ne ressens pas la douleur, je ne risque pas de me blesser en faisant une connerie. J'ai toujours rêvé d'être un super-héros, surement pour ça qu'il faut toujours que je fonce. Un peu hyperactif sur les bords! Mais ça c'est avec mes amis... et ils sont très restreints. Pour eux, je serai toujours fidèle... L'une de mes principales qualités (une de mes nombreuses qualités) c'est le pragmatisme. Et je peux vous dire qu'à l'heure actuelle, il en faut. Surtout dans mon milieu. Au fait, mon milieu, parlons-en. Dans les garages, vous croisez généralement des grosses brutes et des imbéciles. Je sais, je fais des généralisations à la con, mais je parle de mon expérience, après y'a pas que ça, j'en suis conscient (quoi que...). A côté de ça, moi, je suis quelqu'un qui prend énormément soin de mon apparence, donc les grosses brutes ont souvent voulu se la jouer devant moi, allant jusqu'à faire des insinuations sur ma sexualité. Ben ouais, vous comprenez, un mécano qui aime les fringues de marque, ça fait suspect pour des esprits étriqués comme les leurs... Généralement, je leur faisais fermer leur grande gueule en trois phrases bien trop intelligentes pour qu'ils n'en comprennent ne serait-ce que deux mots. Si ils continuaient leurs petits jeux, je devenais plus cash et ils me laissaient tranquille après ça. J'ai pas peur d'utiliser mes poings s'il le faut, même si je préfère éviter et utiliser la rhétorique. J'ai peur des imbéciles, on sait jamais, ils sont peut-être contagieux...
Au fond j'aimerai bien parfois, ne serait-ce que pour une journée, ne plus avoir cette putain de maladie à la con, je pourrais enfin arrêter de vérifier mon corps non stop... mais je crois que c'est en même temps ma plus grande peur. Je suis sérieux, avoir mal est une vraie phobie, je sais pas ce que ça fait. Donc imaginez si je me pince et que je ressens de la douleur, je crois que je hurle tellement je ne serai pas habitué. L'autre chose qui me fait peur c'est la mort. J'ai peur de la mort et peur de la vie en même temps, vu que ça mène à la mort. Parfois ça m'angoisse vraiment, je sais pas trop pourquoi. J'ai comme une sensation d'absurdité qui me prend. Comme si tout cela ne servait à rien. Comme si je me battais tous les jours en vain. Dieu seul me jugera, et lui seul décidera si tout cela avait un sens. Je sais qu'il va me punir d'être un enfoiré, quand j'arriverais là-haut, mais je continue de prier. Je ne crois pas vraiment en Dieu, mais sait-on jamais, dans le doute, je préfère assurer mes arrières, pragmatisme quand tu nous tiens...
Physique
Physiquement, je suis ce que j'appelle habituellement un beau gosse. Sans vouloir me vanter bien sur. Non c'est juste que parfois, il faut reconnaître la vérité. Quand on est mignon, on est mignon. Généralement, je plais, physiquement, en tout cas. J'aime jouer de mon physique, pour avancer dans la vie. Si il faut charmer quelqu'un pour parvenir à mes fins, je n'hésiterai pas le moins du monde. Mon physique est un don de Dieu, donc autant l'utiliser non? Plus concrètement, je mesure 1m88, mais je tairais mon poids, cela ne se fait pas. 1M88 de muscles. Je suis pas un body-building non plus, faut pas déconner, mais j'ai fait du sport suffisamment pour être bien taillé. Des abdos bien dessinés, sur un torse quasiment glabre, ça fait un effet d'enfer. De mon visage on dit souvent que j'ai celui d'un ange. Un visage innocent mais avec des yeux diaboliques. C'est ce que l'on me dit souvent. Allez savoir pourquoi? Peut-être que mon comportement insupportable se voit dans mon regard? Après tout, mes yeux ont la couleur du diable: ils sont noirs comme la nuit. On dit merci papa pour les origines méditerranéennes, qui m'ont donné ça. Le métissage est parvenu à son apogée avec moi: des ancêtres japonais, indiens et portugais ont donné un mélange parfait. J'aime ce que je suis, et je ne changerai pour rien au monde. Mes cheveux, c'est la partie la plus changeante en moi. Mais c'est aussi celle que je préfère. Autant parfois, ils vont être mi-longs, et bouclés (ça, ça change généralement pas) autant parfois je les coupe plus courts. Mais jamais! Oh grand jamais je ne tomberai dans une coupe militaire! Mes cheveux ne me quitteront pas et ne descendront pas au-dessous de 5cm. Mon style vestimentaire se veut sobre et classe quand je suis patron de ma boîte. Pour bosser, pas le choix, c'est bleu de travail, ou jean déchiré. Je vais pas foutre en l'air mes costumes Dior et Channel quand même. Ça je les réserve quand je veux être plus classe, quand je rend visite à mes parents par exemple, ou que je vais chez des représentants divers et variés. Vous avez compris: je m'adapte à toutes les situations. Mais dans la vie de tous les jours, quand je ne bosse pas, je m'habille simplement, mais tout en restant classe. Chemises ou tee-shirts plus originaux, je tente tout!
Secret
Je suis atteint d'insensibilité congénitale à la douleur.(comme intitulé, ça pourrait être: Je ne ressens pas la douleur.) Explication du secret: C'est une maladie génétique rare, dont le fonctionnement est encore peu connu. Les patients ne ressentent pas la douleur, leur cerveau est incapable de décoder les messages envoyés par les transmetteurs. Ce qui contraint les malades à vérifier continuellement s'ils ne se sont pas blessés, pour éviter des blessures graves, qu'ils ne sentiraient pas (type infection grave). Aucun traitement n'existe pour cette maladie, à part la prévention.
Éléments buzz
* Au cours des soirées qu'il fréquentait à la fin de son adolescence, Gaël a été pris en photo, portant des tenues de super-héros (notamment Spider-Man et Robin). Photos qu'il a depuis cherché à supprimer, en vain, l'un de ses amis de l'époque les a conservées, sait-on jamais, ce genre de photos compromettantes, ça peut toujours être drôle. *les photos sont ici et ici* * Il y a un quelques mois, lors d'une dispute avec un de ses frères, Gaël est serait venu aux mains, et aurait eu des propos très violents. Il aurait cassé le nez de son frère, qui a finit à l'hôpital. Son frère a finit par porter plainte contre lui pour coups et blessures, avant de retirer sa plainte après que Gaël lui ait fait un versement d'argent sur son compte. * Alors qu'il avait dix-sept ans, Gaël a mis une de ses relations enceinte. Courageux et généreux comme il l'est, il a plaqué la fille en question après une bonne dispute en règle. Il a prétendu qu'elle l'avait trompé et que l'enfant n'était pas de lui. La fille a disparu, sans laisser de nouvelle au jeune homme, qui n'a jamais cherché à en avoir. * Gaël n'a plus eu de relations sérieuses depuis ses dix-huit ans. Certains de ses proches se demandent même s'il ne serait pas devenu asexuel, mais il refuse de s'exprimer à ce sujet. * Durant son enfance, sa maladie a fait qu'il devait souvent se rendre à l'hôpital, et présentait de nombreux bleus et blessures semblables à ceux des enfants battus, si bien que des voisins l'ont signalé aux services sociaux, qui ont mené une enquête sur sa famille pendant deux mois. Gaël a été placé durant un mois chez ses grands-parents avant la mort de son père, au sein de cette enquête.
Photos:
Photos!
Si certaines ne conviennent pas, n'hésites pas à me le dire, j'en fournirai d'autres.
RPs:
N'ayant pas de Rps récents, compréhensibles sans connaître le contexte du forum, j'en ai fait avec Gaël, comme ça, j'apprivoise le personnage en même temps. Le premier est à la première personne, le deuxième à la troisième, histoire de varier les plaisirs
I'm coming home...
Le bruit de mes pas sur les gravillons qui bordent l'allée résonne. Mes chaussures fraîchement cirées reflètent le soleil encore bas dans le ciel à cette heure-ci du jour. Je connais ce chemin par cœur, à tel point que je serai capable de le faire les yeux fermés. Je salue de la main Julian, notre jardinier. Il me salue en retour, respectueusement. Il me regarde des pieds à la tête, j'ignore son regard et je continue d'avancer. Mes pas résonnent, et je soulève un peu de poussière au passage. Arrivé devant la porte, j'enlève mes lunettes de soleil, et je remets ma veste de costume en place, avant d'actionner la sonnette. J'attends patiemment que quelqu'un vienne m'ouvrir. J'entends des bruits de pas précipités dans les escaliers, je sens que ce sont les marmots qui vont venir m'ouvrir. Je remets ma veste en place, au moment où la porte s'ouvre et que deux poids me sautent dessus en brayant un truc ressemblant vaguement à Graaaaaaaaaaaaaaaaaand frèèèèèèèèèère... j'avais raison c'est les deux plus jeunes marmots qui sont venus m'ouvrir. Purée, ils vont dégueulasser mon nouveau costume. Je les repousse de moi, comme d'habitude. Je comprends pas, j'ai beau leur réserver un accueil exécrable, il faut quand même qu'ils me sautent dessus à chaque fois. Je ne leur réponds même pas, en les décollant de mes jambes. Leurs mèches blondes volent un peut partout devant leurs yeux. J'essaie de voir ce qui peut les lier à moi, mais rien... rien, ils ne font pas partie de la même famille que moi, ce sont des petits bâtards. Dans quelques années, peut-être que le dialogue sera envisageable avec eux, lorsqu'ils arrêteront de baver, et qu'ils arriveront à se moucher et à lacer leurs chaussures tous seuls. Pour le moment, moins ils s'approchent de moi, mieux c'est.
Lâchez moi les morveux, laissez moi passer... allez me chercher Jean-Frédéric, faut que je lui parle...
Ils partent en courant. Leur bêtise m'étonnera toujours. J'entre à mon tour dans la maison et je ferme la porte après moi. Je reste dans le hall, à regarder les tableaux au mur. Ils n'ont pas changés, depuis que je suis parti. Toujours les vieilles fleurs immondes, et les paysages de forêts... pendant que je contemple la beauté très contestée de ces tableaux, j'entends à nouveau des bruits de pas. Cette fois, ils sont moins précipités, et je reconnais la démarche de mon beau-père. Je ne prends pas la peine de me retourner, j'attends qu'il vienne à moi. Après tout, c'est sa maison, c'est à lui de m'accueillir. Il me met la main sur l'épaule et me dit que j'aurai pu prévenir que je comptais passer. Je souris amèrement et je lui lance:
Désolé de te déranger beau-papa... j'aime me sentir désiré dans cette maison haha!.
Je vois à sa grimace que ma remarque le met mal à l'aise, tant mieux. Les mioches se remettent à me courir dessus. Manquait plus que ça. Ils me tirent les manches de ma veste, en hurlant des trucs que je comprends pas.
Nan mais sérieux, vous avez pas du QI à attraper au lieu de me briser les noix là??! Sérieux Jean-Frédéric, éduque un peu tes gosses merde, c'est du Armani cette veste!
Il me regarde, avec un air calme. Je me demande comment il arrive à rester calme avec des gosses comme les siens...les mômes sont toujours collés à ma jambe. Saloperie de famille...
Just wanna be alone..
Le nez penché dans le capot d'une voiture, Gaël a les cheveux attachés en arrière, un vieux jean délavé, et un tee-shirt gris. Tenue de travail, cigarette en main, le tout au-dessus d'un moteur qui refuse de démarrer. Le tout est très professionnel, au détail de la cigarette près. Le jeune homme est en train de râler, pour changer, aucun moteur ne lui a jamais résister, c'est pas aujourd'hui que ça va changer. Pas celui-là. Surtout que c'est une voiture de merde. Un jeune homme un peu plus jeune que Gaël s'approche de lui et lui demande ce qu'il se passe. Gaël se tourne vers son employé et fume un grand coup.
Ce qu'il y a? Ce qu'il y a? Tu veux que je te dise ce qui se passe Jimmy? Cette putain de bagnole refuse de démarrer et son connard de proprio la veut dans une heure... une heure, tu comprends ça Jimmy? Moi ça fait une putain d'heure que j'essaye de faire démarrer ce putain de moteur et toi tu me demandes ce qu'il y a?! Alors tu sais quoi Jimmy... ce foutu moteur, tu vas me le faire démarrer, ok?
Il éteint sa cigarette contre le mur et laisse son employé en plan. La crise a été calme pour une fois, deux trois vulgarités par ci par là, mais rien de bien méchant. La vraie crise, elle allait pas tarder à venir. Alors que Gaël vient de rejoindre son bureau, la porte s'ouvre et laisse place à un client un peu particulier. Un jeune homme, blond, aux yeux bleus, entre dans le bureau, un grand sourire sur le visage. Salut Gaël! Gaël a le temps de tourner la tête vers lui, et reconnaît directement son frère, ou plutôt un de ses frères: Pierre. Il marmonne dans sa barbe mais va s'assoir derrière son bureau, tentant de se calmer. Son frère se met à lui parler, mais il n'écoute pas vraiment, il se fiche de savoir ce que ce guignol raconte. Il se masse les temps, aucune migraine en vue, mais simplement un ras-le-bol de devoir écouter Pierre parler.
Okkkkayyyyyyyyyy... on va se calmer d'accord? Je crois que y'a des trucs que tu as tendance à oublier petit frère. Donc on va récapituler...ici, ce n'est pas chez toi... ici ce n'est pas ta maison... je ne suis pas ton ami, et encore moins quelqu'un qui a envie d'écouter tes jérémiades. Soit tu as un truc à me faire réparer, et tu me le donnes, je te le répare, tu me payes et tu dégages... soit, et écoute bien, tu ne fous pas les pieds ici, ok? Cet endroit est un lieu de travail merde! Donc quand tu viens ici c'est pour me parler de boulot et pas de tes petites misères qui ne m'intéressent absolument pas! Alors tu vas fermer ta grande gueule et retourner pleurer dans les jupes de ton père, parce que mon petit con de frère, j'en veux pas ici, c'est clair?
Gaël relève la tête et regarde son petit frère dans les yeux. Celui-ci a les larmes aux yeux, il sait qu'il a dit des choses qu'il devrait regretter, mais il ne regrette pas le moins du monde. C'était pas le jour où il fallait venir l'emmerder et surtout pour des conneries. Ne jamais mélanger vie privée et vie professionnelle, voilà la règle qu'il venait d'appliquer, et peu lui importaient les conséquences. Au fond, il était même plutôt fier d'avoir fait taire cette pipelette.
Dernière édition par Fred' le Lun 15 Juil - 22:41, édité 1 fois
Jena
My Strength is my Family
Messages : 1509 Date d'inscription : 08/08/2008 Age : 29 Localisation : Aix-en-Provence
Feuille de personnage Âge du Perso: ✿ 26 ans Côté coeur: Célibataire ツ Etat du secret: Charlie ✖ Nous avons été échangées à la naissance.
Allez, à mon tour ! Je suis en train de chercher Alix, mais je viens de tomber sur Khaleb donc voilà l'histoire du monsieur (au départ j'avais pris mgg, donc pour les photos c'est normal que ce ne soit pas Andrew Garfield ^^)
Khaleb Kostan
Il n'y a qu'un Dieu, la mort. Et tu sais ce qu'on lui dit ? Pas aujourd'hui.
Nom du personnage : Kostan Prénom du personnage : Khaleb Âge du personnage : 26 ans Avatar : Andrew Garfield
Histoire du personnage : Khaleb est née en Egypte lors du voyage de noce de ses parents originaires de France, d'Alsace plus précisément. Le petit garçon poussa son premier cri alors que le bateau de croisière entamait son voyage le long du Nil. Sa mère, Hazel, s'aimait à lui raconter qu'un petit groupe d'oiseau originaires de ce pays s'envolèrent lorsque Khaleb vint au monde. Un bébé vif et attentif, voilà ce qu'il était et ce qu'il aura été durant les premières années de sa vie. Ayant de la famille en Russie le petit garçon eut très vite l'envie d'apprendre à parler Russe, chose qu'il maîtrisa rapidement à la stupéfaction de ses proches. A neuf ans il savait faire des phrases corrects et avait un vocabulaire assez conséquent. Ses premières années de collèges débutèrent alors qu'il commença à être vu comme le petit intelligent de la classe, celui qui n'a pas le physique qui plait aux filles de la classe, celui qui sait comment écrire anticonstitutionnellement sans fautes. Au début Khaleb ne compris pas cette façon de le voir, de le traiter de "monsieur je sais mieux que tout le monde" alors il ignorait les remarques durant les deux premières années. Il ignorait, tentait d'oublier lorsqu'un mot le touchait plus qu'un autre. Ses parents étaient là et pour un enfant de son âge c'est tout ce qui comptait. Les années passèrent et les effets de l'adolescence sur Khaleb lui donnèrent l'envie de se faire voir différemment, d'arrêter de se poser en tant que victime face aux autres et d'enfin s'affirmer. Mais quatre années de réputation ne s'écroulent pas en un claquement de doigt, arrivé au lycée Khaleb mis toute son énergie à changer l'image qu'avaient les gens de lui.
Après un rendez vous chez le coiffeur ce fut au tour du test de QI de recevoir la présence du jeune homme. Les résultats tombèrent, Khaleb était neuro-droitier, cela signifiait que la partie droite de son cerveau était beaucoup, beaucoup plus active que son hémisphère gauche. Créatif et aimant la comédie il intégra la troupe de théâtre du lycée, ce qui l'aida à échapper à cette réputation battis par ses anciens bourreaux. Alors que Khaleb entamait son année de première il rencontra d'Hazel, une terminale réputé pour changer de petit ami comme de paire de chaussure. Un soir, alors qu'ils étaient tout deux invités à la même ennuyeuse fête ils firent plus ample connaissance et finirent par froisser les draps ensemble. La sentence sonna quelques semaines plus tard alors qu'Hazel apprit sa grossesse et pris Khaleb en responsable. Ce dernier tomba des nues et essaya de rattraper tant bien que mal son erreur mais en vain. Le délai étant passé Hazel ne pu pas avorter et pris la décision de placer l'enfant en orphelinat une fois ce dernier née. Khaleb se plia à cette règle, incapable de contredire celle qui changeait de petit ami comme de paire de chaussure. Dû à cela Khaleb commença à se sentir mal dans sa peau, il retrouva les regards moqueurs de ses camarades, entendant à nouveau des remarques qu'il n'avait plus écouté depuis quelques temps déjà. Il n'était pas le plus beau de la classe, ce serait même le contraire et il ne cessa de se comparer à ceux qui accueillaient les regards des demoiselles dès lors de leurs passages. Alors il commença à faire attention à ce qu'il mangeait, refusant plusieurs fois le dessert, le petit déjeuner, le repas de midi, le repas du soir, le repas, les goûters, la nourriture. Mais il avait beau faire de son mieux il n'était jamais assez beau, assez musclé et assez mince que les garçons pour qui Hazel aurait eut un béguin. Alors il continua...il continua. Ses jeans finirent par être beaucoup trop grands, il termina son année de bac en flottant dans ses T-shirt, des cernes présentes constamment sous ses yeux.
Il fallut deux ans de plus à Khaleb pour admettre son anorexie. Maladie souvent connu envers les femmes, ces dernières ainsi que bon nombre de gens ne virent pas tout de suite en Khaleb la maladie qui avait commencé à sérieusement le ronger. Alors un jour, dans un dernier élan de son père, Khaleb rencontra son fils âgé d'environs quatre ans. Khaleb se prit en pleine figure cette rencontre, son fils était là, devant lui et au lieu de se battre pour pouvoir plus tard avoir sa garde il se laissait dépérir comme une loque pas assez bonne pour se battre pour ceux qu'il aimait. Il se contentait de vouloir être parfait pour les femmes alors qu'il voulait être juste parfait pour son fils qu'il avait sous les yeux. Il fallut deux ans à Khaleb pour aller mieux mais des signes sont toujours distincts de son anorexie. Pendant ce temps il a fait des études de psychologie, sa mémoire eidétique aidant il a eu son diplôme à 25 ans au lieu de 28. Quand il obtint son diplôme son père l'emmena passer une après sous terre pour de la spéléologie. Cette après-midi et les deux jours qui suivirent furent les pires que Khaleb n'eut jamais connus. Trois heures après être descendus dans les entrailles de la Terre il y eu un éboulement et ils furent quatre à rester coincés alors que le reste de l'expédition purent remonter à la surface. Khaleb avait la jambe coincé dans une faille et le dos totalement courbé alors que son père se tenait à quelques mètres à peine. Ils ne savaient pas s'ils allaient survivre ou mourir comme des oubliés ici. Khaleb pria, il pensa à son fils et ce fut pour lui qu'il se maintenait en vie, pour lui. Son père mourus à la 45 heure, une dame les accompagnant était tombé dans l'inconscient et le petit garçon qui était toujours éveillé avec Khaleb chantait des chansons pour ne pas avoir peur. Au bout de 55 heures les secours réussirent à les sortir, Khaleb devint claustrophobe à l'excès et pleura son père pendant plusieurs mois. Aujourd'hui Khaleb vit toujours dans l'Est de la France, il a été embauché comme psychiatre dans un cabinet et a entamé une procédure pour pouvoir avoir la garde de son fils. Khaleb a voulu intégrer secret story pour pouvoir passer à autre chose et pour pouvoir amener deux messages. Le premier est en rapport avec l'anorexie masculine, le dernier est qu'il faut vraiment dire à ceux que l'on aime qu'on les aime, avant qu'il ne soit trop tard. Caractère du personnage : Khaleb est quelqu'un de très lunatique, il peut se réveiller un matin du pied gauche et il en faudra beaucoup pour le faire sourire ou paraître de bonne humeur. Le jeune homme est très peu confiant en lui et préférera se réfugier derrières de bonnes blagues ou une attitude décontracté plutôt que de devenir sérieux et de se rendre compte que la situation est dès plus critique. D'ailleurs il plaisante souvent et aime faire la fête,adorant particulièrement raconter aux autres dans quel état pathétique ils étaient au matin. D'un naturel très loyal il restera fidèle aux gens qu'il apprécie et aime, il n'est pas du genre à trahir pour un intérêt personnel, préférant l'esprit de meute plutôt que de faire cavalier seul. Assez observateur et calculateur il ne sera pas impossible de le voir vous observer longuement pour essayer de vous décrypter, c'est ce qu'il aime faire, il adore ça. Décrypter, additionner des indices sur vous pour pouvoir en résulter une profonde certitude sur qui vous êtes. D'ailleurs il se trompe rarement mais comme tout humains il a des failles et certaines personnes sont plus difficiles que d'autres à décrypter. Claustrophobe à l'excès il ne supportera pas d'être dans une pièce confiné, un couloir ou encore une pièce sombre sans fenêtres, surtout s'il est tout seul. Khaleb est également le genre d'homme assez tactile qui adore prendre dans ses bras et qui a besoin de montrer avec des gestes son affection. Impulsif, celà lui à souvent joué des tours mais il n'arrive pas à contrôler ses faits et gestes quand quelque chose se passe en imprévue. Neuro-droitier et légèrement plus intelligent que la moyenne il peut rester des heures devant une image d'indice ou devant une phrase pour essayer de la déchiffrer. Créatif il est capable de monter de belles arnaques comme la meilleure soirée d'étudiant.
Description physique du personnage : Khaleb n'est pas le stéréotype du bel homme, ce serait même le contraire, des cernes sous les yeux, ces derniers sont sombres et il est plutot maigre et même si son physique à été un boulet durant son adolescence aujourd'hui il s'accepte comme il est et a même gagné du charme avec les années.. Khaleb est assez grand, environ un mètre soixante-quinze mais n'a certainement pas la musculature qui va avec lorsqu'on voit sa silhouette on peut très aisément deviner qu'il a eu un problème de poids. Ses cheveux sont d'un brun banal et sont souvent mal coiffés ou totalement laissés à la ramasse. , Khaleb a des yeux sombres d'une couleur noisette pénétrante, souligné de cernes ils donnent l'impression d'être fatigué alors que c'est juste dû au symptôme des yeux noirs. La chose que l'on ne peut cependant lui ôter c'est ce que produit son sourire, sincère et rempli de dents blanches il ne se prive jamais de sourire lorsque la situation le permet, c'est même souvent ce dernier qui fait oublier le reste de ses défauts comme ses bras pas si musclé et sa pomme d'Adam plutôt voyante. Côté vestimentaire Khaleb mets souvent des jeans et évite d'enfiler des shorts ou bermuda, il n'aime pas que l'on vois ses jambes suite à son anorexie. Pour ce qui est du haut, il mets de tout, polo, chemises ou T-shirt en V il aime varier.
Secret du personnage : "Je suis resté coincé 55 heures à huit cent mètres sous terre"
Elements de buzz -Il a été anorexique de ses 18 a 20 ans -Père à 17 ans -Allergique au café et au chocolat -Diplômé de psychiatrie à 25 ans -Il a été marié trois ans sans le savoir
LE RP
Spoiler:
«Alex...» comme une coulé de fer chaud, de métal brûlant en fusion. J'avais l'impression que sa voix venait me percuter de plein fouet, me sortant d'une solitude que je savais mienne et que je ne voulais pas partager. Pour ne pas l’empoisonner, ne pas l'obliger à pourrir en même temps que moi. C'est ce que je faisais, ce que j'étais, un morceau de chair en pleine putréfaction, bonne à jeter, même plus capable de rendre heureux l'être aimé. Pourquoi était-il toujours là ? Pourquoi ? Je n'avais rien d’exceptionnel, rien de plus qu'un autre. J'étais devenu con, borné et froid. Ce n'était pas ainsi que je voulais être, j'aurais voulu rester le même, rester un semblant fort face à tout ces évènements. Mais non...je n'avais fais rien d'autre que couler, plonger dans une marée de nostalgie, de douleur. Comme m'enfoncer dans la vase, une vase qui s'accroche, qui glisse le long de votre peau et qui s'engouffre partout, dans mon yeux, vos oreilles, votre bouche. J'aurais beau eu crier, personne ne m'aurait écouté. Entendu, surement, mais pas écouté. Je ne pouvais pas avancer tout seul, qui le pouvait ? C'était vouloir effacer la misère dans le monde avec pour seul arme sa motivation. Je n'en pouvais plus de ces voix dans ma tête qui continuaient de m'agacer, de m'harceler toute la nuit, quand était-ce, la dernière nuit tranquille ? Je ne parle pas des nuits forcés, de mon corps puant l'alcool et la clope. Non, je parlais d'une nuit sobre, une nuit où je me serais endormi contre Liam et où j'aurais fermé les yeux naturellement. Mais qu'est-ce qui n'allait pas chez moi ? Je voulais à nouveau ressentir l'absence de voix, et pour cela, il fallait que je me cherche une autre bouteille. Ou que le verre a terre se peigne de rouge carmin...Rien ne se passait jamais comme prévue, tout finissait par se briser, les gens disparaissaient parfois sans même un adieu. Tout ce qui semblait me laisser en paix la journée me pourchassait à la nuit tombée, comme un venin dans mes veines, un venin mortel. Comme si ces cauchemars purulents de violence, d'agonie, de pertes, de sexe, d'utopies, de pauvres cris effrayés, de souvenirs, comme si tout cela coulait dans mes veines, comme si je ne pouvais même plus espérer l'en sortir et m'en débarrasser pour de bon.
Pourquoi ne partait il pas au loin ? Très loin, loin de moi et de tout ce que je pourrais lui faire subir. Je ne voulais pas qu'il souffre, je ne voulais pas son malheur, je voulais qu'il soit heureux, plus heureux que jamais et plus les jours passaient, plus j'avais l'impression de le voir dépérir en même temps que moi. Nous aurions dû être forts ensemble, traverser les obstacles, ne jamais se laisser marcher dessus, remonter la pente. Tout ça, nous aurions dû le faire ensemble et contre tous. Comme si la seule chose qui nous empêchait de tomber était l'autre. Au lieu de ça ma négligence, ma faiblesse après la mort de Kassandre avait tout éclaté en milles morceaux. Tout était de ma faute, à moi, le parasite. Tout changeait, rien ne restait identique à ce que nous pouvions avoir vécu auparavant. Nous étions tous en train d'évoluer dans un environnement pourris et pollué de choses négatives. Comment j'aurais pu prétendre garder notre couple au top de sa forme ? Dieu, s'il existait belle et bien encore, pouvait m'en être témoin je ne voulais rien de plus que son bonheur et sa présence à mes côtés. Personne n'étais parfait mais dans cette histoire nous étions tous à blâmer, à critiquer. Pourquoi ? Je ne savais pas, une impression comme si c'était de notre faute à tous si les Crot" avaient détruits nos vies. Mes mains étaient crispés contre mon front, je me serais frappé à coeur joie si seulement cela aurait fait taire les voix mais rien, juste la douleur le long de ma peau et l'impression grandissante de m'enfoncer les poings dans le front et le crâne. Un léger sursaut me pris lorsque je sentis une main se poser sur les miennes brûlantes. D'un geste crispé mais que je voulais non douloureux je pris sa main dans la mienne, comme si le tenir près de moi, ne serait-ce que sa main pouvait m'aider à aller mieux. Mon cou commençait à me faire mal, comme si lui aussi été assailli d'une multitude de cris, d'étouffements et de tortures. Je respirais difficilement alors que subitement tout s'intensifia avant de disparaître presque instantanément. «s'il te pl'ait Alex.... je t'aime...» je reprenais mon souffle alors que j'ouvrais mes yeux après des minutes insoutenables. La personne venait de se réveiller, c'était souvent comme ça. Monté en crescendo puis disparition presque total. Avant que ça ne recommence encore. Je reprenais conscience de se qui m'entourait et cette main dans la mienne, je l'a lâchais vivement, mes jointures me firent mal et j'eux envie de me frapper, de me cogner le visage contre les murs. Je lui avais fais mal, c'était presque certain. J'avais honte...tellement honte. Je sentais son front contre le mien et venait entourer l'arrière de sa tête de ma main gauche pour pouvoir garder son visage contre le mien. Je t'aime...Je suis désolé Désolé de ne pas être à la hauteur, désolé d'être un piètre petit ami, de ne pas savoir te protéger...
Je dégageais mon visage du sien, embrasant son regard du mien, morne, gris, sans grand réconfort. Ses yeux bleus me firent déglutir, je ne le méritais pas. Ma main glissa jusqu'à sa joue que je caressais doucement, oubliant la poussière sur mon corps, mon air de débris sur patte. Je remarquais alors ses lèvres légèrement fendus en une grimace caché vainement. Je fronçais les sourcils "Qu'est-ce qui ne va pas ?"
Ana
Voix de Secours
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Sujet: saison 4 - Greg Lun 15 Juil - 22:32
- ce que j'aime ce topic ! c'est tellement bon de lire vos histoires, la façon dont vous décrivez vos personnages. Et vos exemples de rp ** bref j'adore. Merci de prendre le temps de les partager :') et moi je remonte dans le temps et j'arrive à Greg, saison 4, un semblant de bad boy -
Nom : Heels Prénom : Gregory Âge : 24 ans
Histoire : Né à Montpellier, sous le soleil, un 21 août, Greg était le premier enfant d’un jeune couple qui vivait des jours heureux dans le sud de la France. Enfin… Le premier, pas tout à fait, car il fut précédé de quelques minutes par sa sœur jumelle, Emma. Son enfance se passa tranquillement, la petite famille ne connaissait que le bonheur. Greg et sa sœur étaient très proches. Ils étaient inséparables. Greg suivait Emma lorsqu’elle se déguisait ou se maquillait, ce qui était sans doute à l’origine de son goût pour se travestir. Mais ils pouvaient tout aussi bien passer leur journée à jouer aux voitures télécommandées que Greg adorait ou à s’amuser sur la plage. Ils passèrent la majorité de leur scolarité ensemble, et restèrent très proches jusqu'à ce que Greg devienne ce qu’il est encore aujourd’hui. Il ne supportait pas l’autorité mal utilisée des professeurs et l’hypocrisie de ses camarades l’agaçait au plus haut point. Sa franchise lui valut alors de nombreuses heures de colles d’une part, et un cercle d’amis très restreint voire inexistant d’autre part. Le lien qui l’unissait à sa sœur se fragilisait de plus en plus, jusqu’à se briser. Pourtant, il garde une certaine affection pour elle, ce qui est assez exceptionnel de la part de Greg. Contrairement à sa sœur qui était une élève studieuse, Greg devina très tôt qu’il n’était pas fait pour les études. A 16 ans, il apprenait déjà son futur métier : cuisinier ! Derrière les fourneaux, inutile d’être poli et gentil, les casseroles se moquaient bien du caractère de celui qui les manipulait. Il pouvait être lui-même, et laisser aller son imagination, inventant toute sorte de recette, ce qui fit de lui le plus apprécié des apprentis. Par la suite, son talent innovateur lui permit de seconder le chef du restaurant, une place qu’il occupe encore aujourd’hui. Coté cœur, on pourrait même se demander si Greg connaît le sens du mot « amour ». Son caractère ne s’est en rien amélioré, bien au contraire, il s’est affirmé. Mis à part pour leur anniversaire, Greg et sa sœur ne se voyaient que très rarement, Emma ne supportait plus cet air « hautain » que son frère affiche naturellement. Son unique ami, James, se demande comment il peut encore le supporter. Pourtant, cela fait sept ans qu’ils vivent ensemble dans un appartement à Paris, et leur amitié ne semble pas se fragiliser. Ce coté misanthrope semblait incompatible avec l’aventure Secret Story. Pourtant, Greg n’a pas hésité une seconde lorsque son ami lui a lancé le défi d’y participer. James n’y croyait pas, et pourtant. Celui-ci est impatient de voir comment son ami va évoluer enfermé avec des inconnus, qu’il trouvera probablement stupides et sans intérêt, comme toujours. Alors, Greg entrera-t-il dans la Maison Des Secrets ? Et surtout, y restera-t-il ?
Caractère : Le caractère est ce qui qualifie une personne, bien plus que le physique. On définit souvent un caractère par une suite d’adjectifs. D’un point de vue extérieur, Greg serait plutôt qualifié de sans cœur. Il est vrai qu’il ne montre pas vraiment ses sentiments ou ses émotions, si toutefois il en a… Mais Greg n’a jamais vraiment su trouver les adjectifs qui lui correspondraient, mais s’il devait en choisir un, ce serait… spécial. S’il a tellement de mal à se qualifier, c’est que les mots sont toujours trop catégoriques. Greg n’est pas vraiment philanthrope, mais il n’est pas non plus misanthrope, auquel cas il n’aurait jamais participé à une émission telle que Secret Story. Il apprécie le contact de certaines personnes, peu nombreuses certes, et fait bien comprendre aux personnes qu’il juge ridicules, sans intérêt ou même complètement stupides ce qu’il pense, ce qui peut, et c’est d’ailleurs souvent le cas, le faire passer pour un être odieux, sans scrupule et méchant. Cela dit, ce n’est pas totalement faux. Greg se permet beaucoup de choses, et surement trop de choses. D’un tempérament très calme, en toute circonstance, il ne lui arrive que très rarement de s’énerver ou de stresser. Il dispose d’un talent d’acteur si exceptionnel qu’il parvient à dissimuler sa véritable personnalité lorsque cela est nécessaire. Enfin, nécessaire est un bien grand mot. Il serait plus exact de dire lorsque cela va dans ses intérêts, qu’ils soient justifié ou non. Ainsi, il est capable de remplir les chaussures d’une jolie fille avec de la mayonnaise, uniquement pour la voir s’énerver et observer tous les détails de sa réaction. Ou bien il peut endosser le rôle du parfait gentleman, simplement pour passer la nuit avec un mec qu’il aurait repéré sur la piste de danse tandis qu’il était au bar. En effet, Greg aime observer. Il observe parfois plus qu’il n’agit. Mais lorsqu’il agit, il ne le fait pas à moitié.
Physique : Dans l’aventure Secret Story, rares sont les personnes au physique peu avantageux. Greg ne sera pas l’une de ces rares personnes dans cette saison. En effet, Greg peut être qualifié de « beau-gosse » bien qu’il n’approuve pas totalement cette expression. De la tête aux pieds, il aime son apparence, mais ne joue pas tellement avec contrairement à ce que l’on pourrait penser. Ses cheveux très courts, autant pour le coté pratique qu’esthétique, alliés à son visage loin d’être une gueule d’ange, lui donne un air de bad boy. Sa silhouette bien sculptée, avec des muscles qu’il n’hésite pas à exhiber quand l’occasion se présente, sans pour autant s’en vanter, renforce ce coté mauvais garçon sorti de prison. Quant à son style vestimentaire, il alterne entre classe et décontract. Sa garde-robe comporte probablement autant de chemises que de t-shirts en tout genre, autant de jeans que de shorts ou de jogging.
[x] Je suis bisexuel. Déclaration : « J’ai toujours prôné la liberté, et j’aime avoir du choix. »
Secret du personnage : Je suis le faux-jumeau d’Emma.
rp:
Greg attendait devant la porte de la Maison Des Secrets, impatient de découvrir enfin ce qui serait son lieu de vie pour au moins une semaine, bien qu’il ait la conviction d’y rester beaucoup plus longtemps. Après avoir passé une semaine coupé du monde, contrairement à ce que l’on pourrait penser, Greg n’était pas vraiment anxieux, il avait simplement hâte de voir un nouveau lieu, de découvrir de nouvelles choses. Et qui n’aurait pas envie de visiter la Maison Des Secrets, avec sa déco toujours si moderne et originale ? Il se demandait quelles surprises la Maison leur réservait, à lui et aux autres candidats. Il n’était d’ailleurs peut-être pas le premier à entrer. Le temps semblait ne plus vouloir passer. Il attendait le signal de Benjamin qui lui autoriserait enfin l’accès à la Maison. Il se dit que c’était dommage qu’il soit seul à attendre devant cette porte. Il aurait pu analyser le candidat, ou la candidate, qui l’aurait accompagné. Mais le signal lui parvint enfin dans l’oreillette. Il poussa la porte, qui s’ouvrit non sans difficulté sur le jardin.
- Wow, quand même !
Comme prévu, la déco de la Maison était spectaculaire. Le jardin était assemblé comme les pièces d’un puzzle, la piscine était l’une de ces pièces. Les couleurs étaient vives, et cela semblait être le cas pour toute la Maison. En effet, du jardin on pouvait apercevoir l’intérieur de la maison. « Ici l’intérieur est à l’extérieur et l’extérieur ressemble à l’intérieur. Ici, tout est apparent dans ce royaume des apparences. » Cet atmosphère correspondait assez bien à Greg, et il se dit qu’il allait passer un très bon séjour dans la Maison Des Secrets. Ce décor renforça sa motivation. Il avait bien l’intention de parvenir à la finale. Il s’aventura dans le jardin, et voyant que personne ne venait l’accueillir, il devina alors qu’il était le premier candidat à entrer. Il continua alors sa visite, faisant le tour du jardin, laissant pour l’instant les recoins qu’il explorerait plus tard, se méfiant du regard de la Joconde, très présente...
Ana
Voix de Secours
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Sujet: saison 3 - Diego Lun 15 Juil - 22:45
- tant qu'à faire je termine et je mets Diego. ok ça fait un peu tâche là mais bon... le forum a évolué en même temps que nous ! -
Citation :
Prénom : Diego
Secret : Je suis devenu millionnaire en épousant une vieille riche alors que j’étais SDF.
Qualités : Diego connaît les véritables valeurs de la vie. C’est un battant, il fait tout pour atteindre le but qu’il s’est fixé et n’est pas du genre à abandonner ses projets à la première difficulté. Particulièrement attentionné et à l’écoute, les gens le qualifient de « bon garçon sympathique ». Il sait venir en aide à ceux qui en ont besoin. Il ne se fie qu’à lui-même, déteste les préjugés et va chercher plus loin que les apparences. Sa principale qualité pour le jeu : observateur.
Défauts : Diego est impitoyable. Il déteste les pleurnichard(e)s et le leur fait savoir. Solitaire, il est … peu expressif, oui on peut le dire, et préfère garder ses sentiments, pensées et tout ce qui le concerne pour lui. Difficile à cerner, parce que lunatique. Il sait également user de son charme et de son talent d’acteur pour parvenir à ses fins. Mais est-ce un défaut que d’être manipulateur dans ce jeu ?
Histoire/ Motivations : Après avoir vécu une enfance tout à fait banale et heureuse avec ses parents et sa grande sœur Sarah, Diego passe une adolescence plus agitée. En effet, après la mort de sa mère dans un tragique accident de voiture alors que son père était au volant, ce dernier devient alcoolique, ne travaille plus. Le faible salaire de Sarah permet aux deux jeunes frère et sœur de se nourrir. Mais les dettes s’accumulent. Bien vite, Sarah s’installe avec son fiancé, laissant Diego seul face a son père. Un soir d’hiver, Diego avait 17 ans, son père, ivre, s’énerve, le tabasse et finit par le jeter dehors. Ne voulant plus risquer de revivre un tel moment, Diego décide de faire sa vie. Il va alors demander de l’aide à sa sœur, qui acceptera. Il traversera des moments difficiles durant de longs mois. Mais la roue tourne. Aujourd’hui, Diego a 19 ans et vit une vie paisible. Secret Story, c’est pour lui l’occasion de s’amuser avant tout, mais c’est aussi l’occasion de tester ses capacités, notamment son talent de manipulateur, qui a pourtant déjà fait ses preuves …
La Voix
This is the, this is THE VOICE !
Messages : 5001 Date d'inscription : 12/08/2007
Feuille de personnage Âge du Perso: ∞ ans Côté coeur: Les voies de La Voix sont impérissables Etat du secret: Les voies de La Voix sont (toujours) impérissables
Je me souviens, c'était 3 lignes de caractère et 5 lignes d'histoire/motivation, j'avoue qu'on a évolué !
Priam
PRIAM ۞ lion of the sun
Messages : 358 Date d'inscription : 27/06/2012 Age : 34
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Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Jeu 18 Juil - 17:40
Comment vous faites pour les retrouver ? Moi il est pas dans mes messages envoyés.
Jena
My Strength is my Family
Messages : 1509 Date d'inscription : 08/08/2008 Age : 29 Localisation : Aix-en-Provence
Feuille de personnage Âge du Perso: ✿ 26 ans Côté coeur: Célibataire ツ Etat du secret: Charlie ✖ Nous avons été échangées à la naissance.
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Jeu 18 Juil - 17:58
Sur nos ordis lol ! Du moins moi il m'en manque justement parce que je ne les ai pas conservés ^^"
La Voix
This is the, this is THE VOICE !
Messages : 5001 Date d'inscription : 12/08/2007
Feuille de personnage Âge du Perso: ∞ ans Côté coeur: Les voies de La Voix sont impérissables Etat du secret: Les voies de La Voix sont (toujours) impérissables
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Jeu 18 Juil - 19:57
J'ai encore tous ceux de l'année dernière, si ça vous intéresse
Fred'
Sweety Dreamy
Messages : 3060 Date d'inscription : 24/07/2010
Feuille de personnage Âge du Perso: 28 yo Côté coeur: Elle. Etat du secret: Révélé. J'ai vaincu la boulimie.
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Jeu 18 Juil - 21:45
Han voui voui vouii!!
Peter
PETER ۞ open your mind
Messages : 456 Date d'inscription : 04/07/2013 Age : 32
Feuille de personnage Âge du Perso: 22 ans Côté coeur: Célibataire Etat du secret: Non dévoilé
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Ven 19 Juil - 8:45
Moi je veux bien celui de Priam la voix.
Peter
PETER ۞ open your mind
Messages : 456 Date d'inscription : 04/07/2013 Age : 32
Feuille de personnage Âge du Perso: 22 ans Côté coeur: Célibataire Etat du secret: Non dévoilé
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Ven 19 Juil - 18:36
Nom du personnage : Morrison
Prénom du personnage : Priam
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Photos de votre personnage :
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Histoire du personnage : C'est souvent comme ça dans le milieu de l'éducation, les profs se marient avec les profs. C'est comme ça que vint au monde Priam Morrison, fils de Mary Morrison, professeur de littérature et Georges Morrison, professeur d'histoire à l'université de Paris. Une famille avec un revenu plutôt modeste, mais leur permettant de vivre bien, de ne manquer de rien, même si ils n'avaient pas de ferrari dans leur garage. Ce n'était pas le but des Morrison. Les Morrison étaient un peu bohèmes, restes de la période hippie pendant laquelle ses parents s'étaient rencontrés. Forcément, cela déteint sur le petit garçon. Il était différent des autres, ses parents lui laissaient les cheveux longs, le laissaient choisir ses vêtements tout seul, à l'école il était vu comme un petit sauvage, une sorte de Mowgli de Los Angeles. C'est pour cette raison que Priam avait peu d'amis. Personne n'osait venir lui parler. Mais lui, il s'en fichait un peu, il devint un enfant solitaire. La maitresse convoqua ses parents pour les informer de ce problème. Monsieur et madame Morrison en furent très étonné car à la maison c'était un enfant plein d'energie, jovial, sans arrêt en train de sauter partout. Au Noël suivant, Priam reçut un chien, une petite boule de poils marron, un gentil labrador qu'il nomma Hadès. Le chien devint son meilleur ami. Quelque chose d'autre débarqua dans sa vie l'année suivant, son père lui offrit une guitare. Le garçon se mit à la musique, apprenant tout seul comme un grand, il avait trouvé quelque chose dans lequel il était doué. La musique devint sa grand passion, il pouvait s'évader, plus besoin d'amis... Le collège et le lycée passèrent, Priam avait de bonnes notes, c'était important pour ses parents, et il voulait leur faire plaisir. Quelques amis par ci pas là, quelques amourettes sans grande importance, Priam restait la bête noir, celui qu'il ne fallait pas approcher, heureusement certains dérogeaient à la règle et lui adressaient la parole. Mais le groupe de stars du lycée, vous savez tous ceux qui se pensent supérieurs aux autres, lui menèrent la vie dure, c'était leur cible favorite. Priam ne se laissait jamais faire, il y en eut des bagarres... Mais il était seul, ils étaient en surnombre, il pouvait se défendre, mais pas les vaincre. Un jour, le garçon le plus populaire du lycée cracha sur Priam, celui-ci lui envoya une droite et le mit K.O. Honteux, blessé dans sa fierté, son ennemi décida de se venger. Le lendemain matin, Priam retrouva Hadès mort dans le jardin. Il entra dans une fureur incroyable, et s'acharna sur le garçon jusqu'à ce que les surveillants arrivent à le détacher de sa proie. Il finit à l'hôpital, pas très beau à voir. Depuis ce jour, plus personne n'osait l'approcher de peur de subir le même sort. Heureusement l'année d'après, Priam eut son bac et partit à l'université en études de musicothérapie. Il en est aujourd'hui à sa cinquième année. Pour payer ses études, il a un petit travail de serveur dans un café du centre ville. Aujourd'hui il a changé bien qu'il garde un style un peu différend des autres, il a plein d'amis car à la fac les gens sont plus ouverts. Il a décidé de rentrer à Secret Story pour montrer à tous qu'il ne faut pas mettre un petit garçon à part à cause de ses différences. Il compte bien par la même occasion s'amuser et gagner de le jackpot pour payer ses études.
Caractère du personnage : Au niveau caractère Priam est quelqu'un de très gentil, attentif, sociable. C'est une vraie crème, simplement, il ne faut pas aller trop loin, il ne faut pas le chercher parce qu'il est très impulsif, si on lui fait quelque chose il le rendra en cent fois pire, et il est très rancunier. Il ne faut pas toucher aux gens qu'il aime sinon il pète un câble. C'est quelqu'un de bien, de généreux, de drôle et qui ferait tout pour ses amis. En bref, il vaut mieux être son ami que son ennemi et ne pas se le mettre à dos si on ne veut pas se prendre un pain dans la gueule. Il a une violence incroyable en lui qui ressort dans les cas extrêmes. Il prend bien la plupart des choses et prend la vie du côté positif. En amour, il est fidèle et attentionné, tendre et romantique, plutôt jaloux, il n'hésitera pas à remettre en place avec un coup bien placé ceux qui tenteront de charmer sa belle. Dans Secret Story attention à ceux qui voudront lui faire des coups dans le dos, à ceux qui joueront un double jeu avec lui parce que la vengeance est un plat qui se mange froid... Ce qu'il préfère chez lui c'est son humour, et ce qu'il déteste c'est cette incapacité à rester calme face à certaines situations.
Description physique du personnage : Priam est grand, environ 1m85, ça fait un moment qu'il ne s'est pas mesuré à vrai dire. Il est loin d'être gros, on peut même dire que c'est quelqu'un de fin et assez musclé, ho bien sûr il n'a pas l'allure d'un rugbyman ou d'un bodybuilder, mais ça lui va très bien comme ça. Pourtant il ne pratique pas de sport, mais il bouge beaucoup ce qui lui permet de rester en forme. Il a des cheveux châtains foncés. De grands yeux chocolats hypnotiques. Un sourire amical et réel, il n'arrive pas à sourire par politesse ou manipulation. Il a la peau plutôt claire mais il bronze facilement. Ce qui plait le plus aux filles chez lui c'est sa bouille de gamin adorable. Au niveau vestimentaire, il s'habille entre les babs, les rockeurs et le style classe. Il aime mélanger les styles pour s'habiller avec une tenue qui lui plait et dont il sera sûr de ne voir personne avec la même. Il apporte plus d'importance qu'avant à son physique, il aime se sentir bien dans ses vêtements et bien dans sa peau. Il use de ses charmes pour obtenir ce qu'il veut, c'est normal non ? Enfin bref, il ne pètera pas un câble si quelqu'un le décoiffe mais disons qu'il aime bien être bien habillé et bien coiffé, ce n'est pas le genre de garçon qu'on verra toute la journée en caleçon ou qui demandera à sa petite amie de lui choisir ses vêtements parce qu'il a la flemme.
Vos disponibilités : Je peux me connecter tous les jours. Par contre ça sera uniquement le soir puisque je vais bosser la journée. Je finis entre 17h et 18h et je suis direct chez moi. J'ai des semaines de vacances mais je ne compte pas partir. Et enfin j'ai le samedi et le dimanche entièrement libres chaque semaine.
Elements buzz :il a fait des photos nus:
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il joue au mec gentil mais il a trompé son ex avec sa soeur:
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il a frappé quelqu'un jusqu'à l'envoyer à l'hopital (raconté dans l'histoire) il ne chante pas si bien qu'il le prétend ! https://www.youtube.com/watch?v=Fp-Rd2n7sGA il a déjà couché avec un homme
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Secret du personnage : Je suis atteint de schizophrénie (il peut devenir très violent d'un coup et être une toute autre personne, c'est à un degré faible mais cela le rend très différent de qui il est réellement à certains moments)
Un bon RP :
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La visite de William chez Alana ne s’était pas passée réellement comme il l’espérait. Quoi que, ça aurait pu être pire étant donné les circonstances. Disons que c’était une continuité des catastrophes précédentes, leur première rencontre, le bal, aujourd’hui. En fait ils n’étaient pas vraiment fait pour s’entendre, tout les séparait, jusqu’à leur nature même d’être humain et de vampire. Pourtant ça n’empêchait pas Will de continuer à vouloir la voir. Il y avait réfléchit, longuement, c’est pour ça que quoi que dise Alana, il ne changerait pas d’avis. Il savait très bien ce qu’il voulait, il savait que c’était mal, qu’il aurait dû renoncer, il savait qu’elle était la créature qu’il haïssait le plus au monde, qu’il ne gagnerait certainement rien de bon à la côtoyer, que c’était dangereux et inutile. Il le savait, il n’avait pas besoin qu’elle le lui rappelle. Il n’avait pas besoin qu’elle montre qu’elle était forte. Il l’avait bien compris, autant au niveau physique qu’au niveau caractériel. Elle était loin d’être méchante, au contraire Will était persuadé qu’elle avait un cœur en or, il l’avait bien vu au bal, très peu de vampires sont capables de se retenir avec autant de sang sous le nez, c’est que sa force de caractère surpassait ses instincts. Et justement, ça aussi il l’avait vu, qu’elle avait beaucoup de caractère, et c’était surtout ça qui lui plaisait chez elle. Si elle avait été adorable avec lui dès le début, ou qu’elle avait essayé de le charmer, elle ne l’aurait pas intéressé. Si il voulait la revoir, c’est parce qu’elle était comme elle était, Alana tout simplement. Il l’avait perturbé à lui dire qu’il voulait qu’elle tombe amoureuse de lui, et à se rapprocher d’elle. C’était un peu le but. Et aussi lui prouver qu’il n’avait pas peur d’elle, contrairement à ce qu’elle pensait, il avait peur de s’attacher surtout. Sauf qu’il s’était rendu compte que c’était trop tard. C’était ça la bataille dans sa tête depuis le début. Il allait vers elle, et en même temps il refusait de s’attacher. Mais aujourd’hui elle avait fait tomber les dernières barrières de résistance qui criaient à son cœur de ne pas approcher d’elle. C’était ça l’histoire, pas avoir peur de se faire tuer par un vampire. Sa confiance, il lui avait accordé en l’invitant au bal. Il n’était pas du genre à amener un vampire au milieu de repas potentiels. Si il avait fait ça, c’est parce qu’il savait qu’elle ne ferait rien, la preuve, même avec le terrible incident, elle avait réussi à s’en sortir. Bon, pas très bien… Mais il ne pouvait pas prévoir que Yaëzell pèterait un câble de la sorte. Elle avait balbutié, et maintenant elle avait l’air de réfléchir. Lui avait fait ses choix, lui savait ce qu’il voulait, elle pas encore. Il l’invitait à sortir de nouveau. Finalement, elle accepta, mais avec pour condition d’éviter les lieux publics. William hocha la tête. Il se demandait quand même pourquoi elle acceptait… Chacune de leurs rencontres étaient un désastre, et il avait un certain don pour l’exaspérer à ce qu’il avait crut comprendre. Mais peu importe, elle acceptait, et c’était tout ce qui comptait pour lui. Il fit un grand sourire. « C’est d’accord, je t’enverrai un hibou pour fixer la date et le lieu du rendez-vous. » Il se dirigea ensuite vers la porte, et se tourna vers elle, il fit une révérence. « Alors, à bientôt. » Il sortit et transplana.
Et voilà pour Priam
Peter
PETER ۞ open your mind
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Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Sam 24 Aoû - 18:16
Et pour Aarya
Nom du personnage : Delrieu
Prénom du personnage : Aarya
Âge du personnage : 22 ans
Avatar : Chloe Norgaard
Histoire du personnage : J'étais née lors d'une douce soirée de printemps. Mes parents étaient deux personnes adorables, la famille parfaite. Mon père était gendarme et ma mère professeur des écoles. Je grandissais en étant choyée et aimée. Petite j'étais une enfant modèle, proche de mes parents, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. J'étais sociable, j'avais beaucoup d'amis, les maîtresses ne tarissaient pas d'éloges à mon sujet vis-à-vis de mon intelligence. J'avais 12 ans lorsque ma mère découvrit que mon père le trompait. Elle voulut le quitter mais celui-ci devint violent et la reteint de force. Ma mère se mit alors à devenir méchante avec lui, cela se transforma en cercle vicieux, mon père devint alcoolique, ma mère lui crachait son venin sur le dos, mon père la battait et ainsi de suite. C'est à ce moment là que tout partit en vrille dans ma vie. Je me suis totalement renfermée sur moi-même et ne parlait plus à personne. Toutes mes années collèges se déroulèrent de cette façon. Ce fut l'été de mon passage au lycée où ma mère se décida à quitter mon père et me laissa seul avec lui. Mon père fut tellement malheureux qu'il se mit à boire encore plus, ne pouvant plus assumer son travail il fut licencié, il me laissa me débrouiller toute seule et ne s'occupait plus de moi. Alors, je rentrais au lycée, je me rendis compte que j'avais désormais un corps de femme et que celui-ci attirait l'oeil des garçons alors je pris confiance en moi. Je devins amie avec une bande du lycée qui fumaient des joints et séchaient les cours. Grâce à eux j'allais à des concerts de rock et de métal. Je décidais d'arrêter les cours m'enfonçant de plus en plus dans cette culture. Je me mis à me décalquer la tête tous les soirs, ne sachant plus rien de ma vie, ne la contrôlant plus du tout, je prenais également de la coke et de l'extasy. Je n'ai jamais touché à l'héroïne, heureusement. Finalement j'étais bien comme ça, constamment à l'ouest, je ne pensais plus à tous mes problèmes, au bordel qui régnait dans ma vie de merde. Je vivais toujours chez moi , de toute façon même si je quittais l'appartement mon père ne s'en serait même pas rendu compte tellement nous ne nous parlions plus. Ma mère avait refait sa vie, elle avait emménagé avec son nouveau mec qui avait deux enfants plus jeunes et elle les considérait comme les siens, s'occupant beaucoup plus d'eux que de moi. Je vivais donc comme ça, avec le peu d'argent qu'on avait à la maison et je passais mon temps à dix milles années lumières de la terre, la tête dans les nuages. J'avais seulement 19 ans lorsque dans un bar un soir je finis dans le lit d'un mec. Oh ça c'était habituel, j'avais de nombreuses conquêtes à mon actif. Il me plut bien, il était gentil. On se revoyait de temps en temps. On était pas officiellement ensemble, mais je me sentais bien avec lui. Mais ce qui fit réellement la différence c'est lorsque je me rendis compte que j'étais enceinte. Le problème c'est qu'il était trop tard pour avorter lorsque je m'en rendis compte et pour cause j'avais fait un dénis de grosses. J'étais donc dans l'obligation de le garder, mais j'avais seulement 19 ans et je n'avais rien, je ne savais plus quoi faire j'étais paniquée. Ken me proposa de nous mettre ensemble réellement et d'élever notre enfant. J'acceptais, j'en avais envie. Notre enfant naquit, que nous appelions Ezreal, un prénom unique que nous avions inventé tous les deux. Mais j'étais mal, très mal, je ne me sentais pas bien dans cette petite vie bien rangée, je n'avais pas confiance en Ken, je devais faire foirer tout ça, ou j'allais vivre la même chose que ma mère. Alors je l'ai trompé, avec son pote, ou un truc dans le genre. Il décidait de me mettre dehors et je ne refusais pas, je l'avais cherché tout ça. Je lui laissais Ezreal, je n'étais pas prête de toute façon... Je ne les ai jamais revu depuis. J'ai arrêté la drogue après ça et j'ai trouvé du travail en tant que journaliste dans un petit magasine de musique. Cet épisode fut comme un déclencheur et j'ai voulut avoir une vie meilleure, mais je ne me sens toujours pas prête à revoir mon fils. Je veux être quelqu'un de bien sous tout rapport avant cela. J'ai décidé de faire secret story pour me faire connaitre dans le milieu du journalisme et pouvoir intégrer un plus grand magasine.
Caractère du personnage : Je suis une rebelle, je n'aime pas les règles, je n'aime pas qu'on me dise quoi faire. J'ai une grande gueule et je n'ai pas ma langue dans ma poche, je dis toujours ce que je pense au moment où je le pense même si ça peut blesser certains. Je suis assez lunatique, je peux être adorable et la seconde d'après il suffit que quelque chose me chiffonne un peu pour que j'envois chier tout le monde. Je suis très sensible ce qui fait que je suis très impulsive en fait j'ai du mal à contrôler mes émotions, je suis toujours noyée sous mes émotions qu'elles soient positives ou négatives. A part ça je pense être quelqu'un de très tolérant et de compréhensive, j'écoute beaucoup les autres, je me met à leurs places et essaye de les comprendre. Je suis quelqu'un d'énergique et j'ai le sens de l'humour, j'aime taquiner les gens. Je suis sociable et je me fais facilement des potes, en général on m'apprécie pour ma franchise et mon humour, je suis également fidèle en amitié et généreuse, je donne beaucoup à mes proches. Niveau amour, je suis bisexuelle et je suis plutôt du genre à ne pas m'attacher, je ne fais plus confiance au "couple" depuis mes parents... Je suis encore une gamine et on me qualifie souvent d'immature car je suis restée en quelque sorte bloquée dans l'univers des enfants, je suis fan de disney, j'aime les couleurs, tout ce qui est mignon. Enfin je suis une fêtarde et j'ai bien l'intention de m'éclater dans la maison !
Description physique du personnage : Je fais attention à mon physique. J'aime me sentir jolie et propre. Je ne cherche pas à rentrer dans des cases ou à plaire à tout le monde. Grâce à mon physique j'impose mon style particulier qui reflète ma personnalité. Je veux montrer qui je suis. Et pour cela, je change de couleur de cheveux comme de chemise. Rose, bleu, violet, orange, rouge, jaune, vert, avec moi vous allez en voir de toutes les couleurs ! Mes cheveux c'est ce qu'on voit en premier chez moi. Ensuite on remarque souvent ma peau très pâle et mes grands yeux bleus. Ils sont souvent cernés à cause de mon passé de droguée. Autant je suis très excentrique autant je met très peu de maquillage, à part de l'anti-cerne pour cacher tout ça... Au niveau des fringues j'ai un style à moi, des éléments plutôt rock, gothiques, punks, avec des éléments plutôt hippies, vintage voir hipster ! Vous allez être surpris par mes fringues. Je dois mesurer dans les 1m70 et je suis fine, je ne me suis pas pesée depuis un bon moment mais je dirais dans les 50kg ! Je plais facilement aux mecs, j'ai une silhouette parfaite et un jolie visage, mes cheveux sont mon petit plus qui fait qu'on a envie de me connaitre. J'ai un grand sourire enfantin qui ne quitte jamais mes lèvres.
Vos disponibilités : Comme l'année dernière je fais 8h-18h la journée mais je serais là tous les soirs sauf peut être certains week ends ou je verrais mes amis.
Eléments buzz : J'ai été droguée. Mon père a trompé ma mère et l'a battu. Je me suis prostituée une fois pour de la drogue. J'ai déjà fait une sextape avec un de mes ex petit amis. Je suis déjà allée en garde à vue pour bagarre.
Secret du personnage : Nous avons eu un enfant ensemble. (avec Ken)
Un bon RP : Hé bien tous les rps de Priam ! Very Happy
Dotty
Petite poupée deviendra grande
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Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Mar 27 Aoû - 16:16
Ma vie. Que dire exactement ? Sincèrement je ne sais pas. Je me nomme Baptiste, Baptiste Fontanelle et j'ai 20 ans. J'habite dans la banlieue de Lyon, plus précisément à Vaux-en-Velin et suis pour le moment étudiant en game design dans une école spécialisée à Genève en Suisse.
Mon père exerce le job de marionnettiste dans un petit bout de ruelle miteux en plein cœur d'un bouchon lyonnais Il y passe sa vie, dans son petit théâtre au point d'oublier des fois qu'il possède une famille. Mais, moi je le pardonne, je suis comme tous les fils, mon père je l'aime avec ses défauts, même si ceux-ci sont nombreux.
Ma mère, elle, elle est documentaliste dans un collège. Un métier certes pas très brillant, mais qui permet de boucler les fins de mois. Elle m'a confié un jour qu'elle aurait rêvé d'être une romancière à succès, malheureusement pour elle son génie ne fut jamais réellement considéré à sa juste valeur.
Je pourrais ainsi vous décrire, l'intégralité de mon entourage de mes quatre grands-parents à ma meilleure amie, en parlant de ma voisine de pallier. Je vous ferais ainsi passer le temps, sans jamais me dévoiler. Je resterais ainsi à vos yeux mystérieux, intriguant et continuerais à conserver votre attention si difficile à obtenir.
Il est ainsi venu le moment de détailler ma petite personne. Je vous préviens, cela sera court, très court même. À l'image d'Amélie Poulain, j'adore décrire, mais déteste dresser un portrait de mon être, de ma propre existence. Afin de ne pas vous faire perdre votre temps, je peux ainsi vous dire que j'ai ainsi vécu une enfance des plus conventionnels. Fils unique, j'étais aimé, protégé plus que de raison. En même temps mes parents avaient mis tellement de temps à m'avoir, qu'une fois le miracle présent, ils ne désiraient plus le laisser filer. C'est ainsi entouré, des jouets de mon père et des livres de ma mère que je grandissais, étoffais ma soif de connaissance et devenais rapidement un bon élève. Premier de classe durant le primaire, puis une mention très bien avec félicitation au brevet et une mention bien au bac. Un parcours des plus classiques, sans vagues, ni véritable fioritures. Enfin, il y avait bien un petit détail qui, durant cette époque bénite de l'adolescence me distinguait des autres. À l'inverse de mes comparses humanoïdes, je n'étais attirés par personne, ni par les femmes, ni par les hommes. Le sexe et tout ce qui tourne autour ne m'intéressaient, et ne m'intéressent à l'heure actuelle, toujours pas. Ainsi, lors de mon passage à la majorité, j'étais et je le suis encore aujourd'hui loin du puceau.
Je vois à votre mine amusée que vous ne vous attendiez pas à cela. Restez restez, le spectacle est loin d'être terminé. Je réserve encore pas mal de belles surprises, il vous faudra juste prendre le temps de les découvrir.
Caractère du personnage :
Pour me décrire, je serais assez brefs. Je suis un rêveur, joueur invétéré et opportuniste avertis. Je croque ma vie à peine dent et aime tel un caricaturiste dresser le portrait des gens que je croise. Je suis franc, honnête, moqueur, parfois un peu trop même. Je suis un bon vivant, qui n'aime pas tellement la lumière,. Je préfère nettement rester dans l'ombre et ainsi de loin observer mon petit monde, afin de réussir à en tirer les ficelles. Je n'hésiterais, ainsi pas, à manipuler les autres candidats afin de me permettre d'aller un peu loin. Mais attention, je ne suis pas comme tout le monde, j'ai mes secrets, mes mystères cachés au fond de mon être.
Derrière la fenêtre de mon appartement, je me sens protégé, loin des autres et de leur brouhaha quotidien. Je préfère de loin le virtuel à la réalité. J'ai même décidé d'en faire mon métier. J'adore jouer des rôles, changer de peau, d'identité, être un autre quelques instants. Le mensonge ne me fait pas peur, je le pratique au quotidien. Cette facette de ma complexe personnalité, mes amis la connaissent bien et en ont même souvent fait les frais. C'est surement pour cette raison qu'on m'a poussé à m'inscrire, il parait que cela me sera utile dans le jeu.
Physique du personnage
Sans vouloir me vanter, je peux dire que j'ai été gâté par mère nature. J'ai un charmant visage, un air assez doux et inoffensif qui peut en piéger plus d'un. Par exemple, de nombreuses femmes se retournent sur mon passage dans la rue. Certaines ont eu même le courage de m'aborder. Les pauvres, elles ne savaient pas à quoi elles se frottaient. Ainsi, froidement tout en gardant, malgré tout, une certaine classe, je les envoyais draguer ailleurs. Beaucoup ont pleurées, certaines m'ont giflées, mais il en faut bien plus pour m'arrêter.
Ce petit jeu, je le cultive, je fais en sorte qu'il existe en préservant mon corps. J'aime mon corps, c'est un outil très utile pour jouer, pour manipuler. Avec lui, je me sens assez à l'aise, mais attention pas au point de me dévêtir en public. Je garde tout de me^me au fond de moi une certaine pudeur, une certaine gêne qui m'empêche de m'offrir complètement aux regards des autres.
Cela mit à part, j'aime porter des vêtements chics et élégants, avec tout de même une petite pointe de décontraction, de provocation : ma marque de fabrique. Ne dit-on pas que le corps est la vitrine de l'âme et qu'ainsi, en ce nom il nous faut l'entretenir afin d'offrir aux autres la meilleure première impression de notre personne.
Vos disponibilités :
Je serai présent tous les jours durant les vacances scolaires, postant entre minimum 3 rps par jour. Bien évidemment je pars du 4 au 11 aout en vacances. J'essayerais de me connecter, mais cela sera tous sauf sûr. Cette semaine, mis à part j'arriverais sans problème à être actif tout le long du jeu.
Éléments buzz :
- J'ai essuyé quelques plaintes restées sans suites, suite à la parution dans une revue spécialisée de certaines de mes caricatures.
Vous le savez, j'adore joueur, c'est un de mes plus grands vices. Ainsi pour rester dans ce thème, une idée m'est venue. Dans le jeu, je ne serais plus Matthieu, je n'habiterais plus à Lyon et aurais, ainsi une vie différente et un caractère à l'opposé du mien. Pour ce qui est de ma nouvelle identité, je compte sur vous pour me l'inventer. Enfin, si cela ne vous dérange pas. Mon secret, si celui-ci vous convient sera donc : je suis un personnage crée par la production HORS JEU : Comme définit par mp, j'inventerais moi-même, ma nouvelle identité. L'intitulé c'est juste une question de réalisme.
Un bon rp :
Clac, clac, clac, dans ma tête résonne comme un écho le claquement de mes pas sur le carrelage, aujourd'hui glaciale de mon appartement. J'ai reçu un coup de fil ce matin, j'ai été sélectionné pour participer à cette nouvelle télé-réalité. Je m'y étais présenté pour m'affirmer aux yeux de tous, pour montrer que l'androgyne que je suis n'avait pas peur du regard des autres, qu'il était même prêt à les affronter. En vitesse, mes avaient été faites, l'appartement récuré, le chat laissé au soin du voisin. J'avais jeté un dernier regard sur tout cela avant de partir. Je savais dans quel état je m'en allais, mais pas dans quel état j'allais revenir. Auréolé de gloire suite à ma victoire, ou alors lapidé sous les regards avides des reporters du monde magique. J'imaginais même les gros titres : "Un monstre sous les feux de la rampe", "Une nouvelle race est né". Je connais parfaitement les risques et étais prêt. C'était ainsi déterminé que je montais dans le taxi m'emmenant vers ma destinée. On m'installa dans un fauteuil au soin de stylistes, coiffeurs et autres maquilleurs, dont le rôle étaient de me rendre un tant soit peu agréable à regarder. Après plusieurs heures de réflexion sur l'image que je devrais donner, le look que je devrais avoir. Le choix unanimes des professionnelles se portaient sur une tenue des plus provocantes. Cela dans l'unique de laisser une empreinte dans l'esprit de l'assistance, afin que je sois dès le début du show distingué des autres.
Dans le carrosse, mon coeur battait la chamade. J'osais à peine regardé les autres, je n'avais pas pour habitude d'être timide, mais là c'était plus fort que moi. J'avais tous fait pour paraître sur et fière de moi au casting, afin d'être sélectionné. Maintenant que je l'étais, voilà que je m'effondrais, l'Ange des décennies tentait de reprendre sa place. Le carrosse s'arrêtait, je sortais, levais la tête et tentais malgré moi d'affronter la foule, les autres candidats. Un timide sourire se dessinait à la commissure de mes lèvres et dans un faible filet de voix je dis .
Ange
Je soufflais un bon coup, avant de reprendre :
Ravie.
Je reprenais place parmi les autres candidats, attendant patiemment la suite des événements.
Owen
Pizza en pleine croissance !
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Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Mar 27 Aoû - 19:18
A mon grand étonnement j'ai encore le casting de willow Donc le voici :
Nom : Lefebvre
Prénom : Willow
Âge : 19
Histoire : Avant de raconter l’histoire de Willow, débutons par expliquer la rencontre et l’histoire de ses parents, car sinon vous pourriez être perdus ou pas. Son père, Aaron, est d’origine anglaise. Il a 21 ans lorsqu’il décide d’aller un an en France pour améliorer son curriculum vitae. C’est là-bas qu’il rencontra Eleonore, alors âgée de 20 ans, dont il tomba très vite amoureux. Son voyage sensé duré qu’un an se retrouva finalement prolongé de plusieurs années après qu’il l’eut demandé en mariage. C’est deux ans après cette rencontre qu’ils eurent la merveilleuse surprise de voir le petit ventre de Eleonore commencer à s’arrondir. Ils habitaient toujours à Paris, mais plus pour très longtemps. Aaron et Eleonore avaient tous les deux prit la décision de déménager dans un autre pays. Oui, mais laquelle ? Le choix avait été vite trouvé. Ayant tous les deux le rêve d'habiter dans une grande ville, aux Etats-Unis leur décision avait été de s'installer près de New York. Ils déménagèrent donc, tous les deux, deux mois avant la naissance de Willow, et partirent vivre à Manhattan, commencer une nouvelle vie, si on peut dire.
Six mois et quatre semaines après, une jolie petite fille était née, qu’ils prénommèrent Willow. . Willow est une petite fille plutôt obéissante en général, curieuse tout, essayant toujours d’en apprendre un peu plus. Elle était avide de découverte, dans tous les domaines. Elle avait apprit à parler l'anglais et français grâce à ses parents. La jeune blonde vivait une existence heureuse. Elle ne manquait de rien, ses parents faisaient particulièrement attention à elle. Étant fille unique, on peut dire qu'elle était très gâtée.
Tout se chamboula lorsqu’elle avait neuf ans. Un soir elle fit une crise parce que elle voulait un animal de compagnie, un chat plus précisément. Mais ses parents refusèrent ce que Willow ne digéra pas alors elle leur dit qu'elle les détestaient. Le lendemain matin regrettant ses propos, elle voulut s'excuser auprès d'eux mais ils étaient déjà partis au travail. La jeune blonde attendit que sa nourrice ai un moment d'inattention pour filer en direction des locaux où travaillaient Aaron et Eleonore, qui fort heureusement n'étaient pas très loin d'où ils habitaient. Le World Trade Center l'avait toujours impressionnée, elle se disais toujours que ses parents avaient de la chance d'y travailler parce que c'est super grand et on n'a l'impression d'atteindre les nuages. Après ces moments de rêveries, Willow entra dans les locaux et c'est à ce moment là que toute sa vie bascula, tout se passa vite, elle n'avait rien vu arriver. Elle a juste eu le temps d'entendre un grand bruit, les murs s'affaissés puis elle fut plonger dans le noir total, elle s'évanouit et entendit des cris et des pleurs au lointain.
Lorsqu'elle se réveilla, elle était à l'hôpital, on lui expliqua avec de simple mots, que le World Trade Center eu un attentat, qu'elle fut sauvée par un pompier mais que par contre ses parents n'ont pas survécu. Willow était en pleurs, elle n'arrivait pas à arrêter de pleurer, même si les mois s'accumulaient la douleur ne partait pas. Elle vivait désormais avec sa tante qui était en France. Ce qui d'un côté était mieux pour elle, comme cela elle avait moins d'éléments qui pourrait lui rappeler ce qu'il s'est passer.
Plus elle grandissait et plus elle culpabilisait par rapport à la mort de ses parent, le fait que ses derniers mots étaient : je vous déteste ! Willow a essayer diverses méthodes pour noyer son chagrin des bonnes comme des mauvaises. Au commencement de l'adolescence, elle se réfugia dans la drogue, l'alcool.. Mais au bout d'un certain temps elle réussit à se reprendre et employa d'autres méthodes plus " légales ", elle s'est inscrite dans un club de natation, c'est d'ailleurs la meilleure du groupe et désormais elle chante quand elle est triste.
Caractère : Réservée et calme, Willow est une petite fille tranquille et sage. Très peu de personnes cherchent vraiment à la connaitre et s'en tienne à la jeune fille timide, renfermée sur elle, qui parai facile à manipuler et très influençable. Malgré ce que l'on peut croire cela peut s'avérer être un atout pour cette nouvelle aventure. Elle sera attentive aux paroles des candidats sans que ceux-ci s'en aperçoivent.
Elle possède cependant un caractère bien trempé derrière cette apparence discrète. En effet, Willow sait ce qu'elle veut et sait user de toutes ses qualités pour arriver à ses fins. Ambitieuse et persévérante, elle n'a pas pour habitude de baisser les bras devant la difficulté. Son coté optimiste et joyeux fait d'elle une amie prisée.
La jeune blonde déteste quand les gens disent disent du mal de leurs parents parce qu'elle se dit que même si ces gens là n'ont pas les meilleurs parents du monde, au moins eux ils en ont. Alors que Willow, elle a perdus les siens. Elle a aussi une phobie, la phobie des avions, elle n'est jamais monter dans aucun d'eux et elle le fera jamais. Cette phobie est en rapport avec son secret.
Elle adore être avec des personnes proches, ça la rend heureuse, ce n'est que à leur côté qu'elle prend confiance en elle, qu'elle se sent en sécurité.
Willow aimerai à tout prix changée ce côté renfermée et elle est sure qu'avec cette aventure, elle y arrivera. Et aussi ce tout petit côté capricieux.
Physique : Willow est le genre de personne à prêter assez attention à son style sans pour autant en faire une obsession. Il y a des jours ou certains n'hésiteraient pas à dire qu'elle est habillée comme un sac et elle leur donnerait raison. Heureusement, ces jours là son assez rare, il s'agit simplement de ceux ou elle n'a envie de rien faire, ou elle enfile un jogging sans se prendre la tête. Vous ne la verrez jamais dans la vie de tout les jours vêtue d'une robe avec de magnifiques talons et un chignon parfait, elle n'aime pas perdre trois heures chaque matin à la salle de bain à part quand c'est pour des soirées spéciales. Même si elle apprécie qu'on la complimente sur son physique, elle n'est pas du genre à vouloir à tout prix être originale, avec le dernier sac en vogue. Elle n'a que rarement touché à ses cheveux blonds. Elle s'est déjà fait quelques mèches roses mais rien de plus, de peur de les abîmer. Ses yeux sont marron clairs et c'est d'ailleurs la partie qu'elle préfère chez elle. Niveau physique, elle est de taille moyenne et assez mince. Avant, certaines personnes lui reprochait parfois de paraître anorexique, ce qu'elle est loin d'être. Au contraire, miss Lefebvre mange tout le temps, mais elle ne prend jamais un gramme! A présent, elle a un poids normal, sans faire spécialement attention à tout ce qu'elle avale. On va dire que ses cours de natations la maintient en forme et puis, elle n'en est pas au point de se goinfrer toute la journée.
Disponibilités : Je peux venir sur le forum tout les jours mais je ne serai pas là pendant une certaine periode au mois d'Aout, je vous donnerai les dates precises prochainement.
Elements Buzz : - A fait une cure de dexintoxication - Est sortie avec un ex finaliste de Secret Story - Est toujours vierge - A été mannequin pour une marque de vêtements - Est assez aisée
Secret du personnage : Orpheline, ses parents ont été tués lors de l'attentat du World Trade Center, elle a failli y passer elle aussi ( voire histoire )
Un bon RP : - Han', dépêche-toi on va rater l'ouverture !! - Oui, oui, j'arrive !!
Ce n'est que dix minutes après que je descendais les escaliers, enfin prête. C'est qu'elles étaient bien cachées les boucles d'oreilles que je cherchais depuis tout à l'heure ! Je pris mon sac à main vite fait pour pouvoir partir avec Mona, elle qui n'était pas très patiente. Alors que je déposais ma main sur la poignet de la porte, ma mère arriva. Celle-ci m'avertissait que tant que je ne mangerais pas quelque chose, je ne pourrais pas sortir. Après quelques plaintes et soupirs, vaincue, je m'assis et mange mes céréales rapidement tandis que mon amie prenant son mal en patience buvais une tasse de café, je lui adressait un sourire d'excuse. Quelques temps après nous pûmes enfin partir. Il était temps ! Une fois dans la voiture j’expliquais à Mona pourquoi j'avais mis autant de temps à me préparer. Au moins elle me comprenais !
Mince le magasin a déjà ouvert ! Et les bonnes affaires sont presque toutes parties ! Par chance, il reste des bottes Chanel ! Enfin une paire de bottes. Je n'étais pas la seule à avoir flashée dessus, il y avais aussi une autre fille. Mais c'est moi la première à avoir mis les mains dessus. Du coup l'autre fille était dégoutée. Elle a essayer de me les échanger contre des autres trucs, mais rien à faire je ne laisserai les bottes pour rien au monde. Le pire c'est qu'elle s'acharnait ! Heureusement, Mona arrive à ce moment là et fait fuir la fille. Elle est vraiment efficace pour se débarrasser des personnes encombrantes.
- Alors on va faire quel magasin, maintenant ? - Aucun ! Je viens de me rappeler que j'ai encore des choses importantes à faire.. Je suis désolée.. Une prochaine fois, ok ? - Ok..
Nous partîmes chacune de notre côté, moi préférant rentrer à pieds. J'avais un peu de remords d'avoir mentis à Mona, mais je ne pouvais pas lui dire qu'en ce moment, je ne roulais pas sur l'or. Déjà, ces chaussures étaient quand même chère même si elles étaient en soldes. Mais bon ça valait le coup ! C'est important d'avoir de belles chaussures. Les chaussures apprennent quelques trucs sur les personnes qui les portent.
Perdue dans mes pensées, je bouscule quelqu'un sans faire exprès. Je m'excuse, puis en relevant mon visage pour voir qui j'avais bousculer, je remarque que c'est.... Aurélieee !!! Cela faisait trop longtemps que je ne l'avais pas vue ! Avec l'accident de ses parents, elle avait prit ses distances du coup, on s'étaient perdues de vue.. Je l'enlaçais.
- Aurélie ! Je suis heureuse de te revoir ! Comment vas-tu ?
Barbara
Pizza en pleine croissance !
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Feuille de personnage Âge du Perso: 26 ans Côté coeur: inconnu Etat du secret: Non dévoilé
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Mar 27 Aoû - 21:47
Bon et bien je pense que maintenant que je suis éliminé, je peux vous faire part de ma fiche de casting ^^
Citation: I felt you in my legs before I ever met you Nom du personnage : Todorov
Histoire du personnage : Je suis née en espagne, dans un petit village bordant la frontière entre l'espagne et le portugale. A l'origine, je m'appelais Margarida, mais ma mère n'a pas eu le dernier mot. Elle ne pouvait pas, elle n'en avait pas le droit. En effet, on avait fait appel à ses services et c'est ainsi que je vins au monde. Elle n'était qu'une mère porteuse, une femme payé pour jouer le cadi. Je fus appelé Margarida deux jours, puis l'ont me confia à ma nouvelle famille, un homme et une femme qui allaient être mes parents. Je parcourus presque l'ensemble du globe pour atterrir en Russie, pays d'origine où vivait mes nouveaux parents, les Todorov. Ma nouvelle mère était femme au foyer bien que je ne la vie que très peu, passant le plus clair de mes jeunes années avec ma nourrice. En effet, si ma mère n'avait pas de travail à proprement parlé, elle était toujours occupé et pour cause mon père était un membre important dans le système politique russe. Il assistait à de nombreuses réunis, apparaissait en public lors d'évènements politiques etc. Ma mère était interviewé, fasciné, détesté. Tout comme mon père. Puis un jour, alors que je n'avais que huit ans, une sombre nouvelle nous parvint. Quelqu'un avait essayé de tuer mon père suite à une lois qu'il avait refusé de faire passer car elle autorisé bon nombre de choses immorales tel que le proxénétisme. Mon père a toujours été le genre d'homme à se battre pour la cause des femmes, à refuser que les salaires soient inégaux, qu'une femme n'est pas le droit de faire telle ou telle chose juste parce qu'elle n'a pas le sexe d'un homme. Tout s'est alors déroulé très vite. Nous avons déménagés, mon père a demandé l'asile politique en France et c'est comme ça que je me suis retrouvé française. Mon père taisait son identité, il m'inscrivit dans une école publique et je devenais une petite fille comme les autres avec les mêmes problèmes que les autres petites filles. Durant ma scolarité je n'ai jamais été le genre de fille à courir après les garçons, à me pomponner, à chercher la popularité. Non. Loin de la même. J'étais la fille au fond de la classe, a qui on ne fait pas attention, qu'on charrie pour son poids et ses difficultés en math. Je n'avais pas beaucoup d'amis et je suis sorti avec un garçon, pour la première fois, à seize ans. Mais ces plusieurs années auparavant, a mes douze ans, que j'ai découvert la danse, cette passion qui me faisait vibrer. Je me fis remarquer, on ne me bousculait plus dans les couloirs et je devint vite la meilleure dans mes cours de danse. On me détecta plusieurs carences musculaires qui auraient dû me faire arrêter la danse. Mais je continuais, je ne pouvais pas m'arrêter, c'était impossible pour moi, in-envisageable. C'est lors de mes années collèges que je rencontrais celle qui deviendra ma meilleure amie. Nous nous racontions tout, passions nos journées ensemble ainsi que nos week-end. On finit même par nous appeler "les siamoises". Elle me fit découvrir le monde de la fête, de la popularité et m'apprit à prendre soin de moi, me maquiller, mieux me coiffer, m'habiller par mon propre style. Mais un soir, alors que je fêtais l'anniversaire de ma meilleure amie, je me fis bousculer et je tombais. Ma tête se cogna contre le coin d'une table et je perdis connaissance. A mon réveil, j'étais aveugle. Les médecins m'annoncèrent que le choc avait endommagé sérieusement les nerfs de mon cortex, en particulier dans les aires visuelles. Il me serait donc impossible de revoir un jour, c'était définitif. J'en ai pleuré, et pleuré. Je croyais à une blague, le soleil me manquait, je ne pouvais même plus voir mes mains. Rien, juste le noir, le néant infini et cruel. Je cru alors pouvoir me reposer sur ma meilleure amie. Je me fis avoir. Le désastre de sa fête l'ayant fait tomber bien bas dans la hiérarchie du lycée, elle en vint à me transformer en véritable âne. Elle commença à fréquenter des drogués, des dealers. Elle ne m'en parla jamais et sans le savoir je participais à ses actions, à ses deals. Elle m'offrait des bracelets, des bijoux ou d'autres petits objets que j'avais pour mission d'apporter à certaines personnes. Dedans, de la cocaïne, de l'ecstasy et je ne sais plus quoi d'autre. Je ne me rendais compte de rien. Elle gagna de l'argent, beaucoup d'argent. Un jour, elle se fit prendre et m'accusa. Devant les tribunaux je réussis à plaider ma cause, à leur prouver que je n'y étais pour rien, que je ne savais pas, qu'elle avait profité de mon handicap. Handicap avec lequel j'avais toujours du mal à vivre, que j'avais du mal à accepter. Je me remis à danser, à l'aveugle, dans ce noir toujours plus grandissant. Ma cécité me permis de donner une nouvelle dimension à ma danse, mes mouvements et leurs significations. Je me fis repéré par un agent qui me pris sous son aile. Il me fit apparaitre dans plusieurs clips vidéos. Des clips que je ne vis jamais. Mais peu importe, mon talent me faisait gagner de l'argent. C'est d'ailleurs sur un de ces tournages que je rencontrais celui qui deviendrait mon mari. Jeune et fou, nous nous sommes mariés. Il se fichait de ma cécité, voulait vivre avec moi aussi longtemps que possible. Un temps qui fut court car stoppé par un accident de voiture qui lui ôta la vie. Je ne m'en suis jamais vraiment remise. Et il y a un an, un matin le soleil me réveilla. Un miracle. Je retrouvais la vue, je cru rêver. Mais c'était bien réel. Je pouvais à nouveau voir. Je me rendis compte d'à quel point j'avais grandis, j'étais devenue une femme. La dernière image que j'avais de moi, c'était celle d'une ado de seize ans mal dans sa peau. Je me retrouvais une jeune adulte de 22 ans avec un physique plutôt flatteur. J'en remerciais le soleil, j'en remerciais dieu. C'était un miracle. La science n'avait rien pu faire pour moi. J'étais alors persuadé que ca ne pouvait être qu'une opération divine, un geste du seigneur. Alors je me mis à vivre à fond, à redécouvrir les choses de la vie. Secret Story se profila comme un objectif, un moyen de prouver que les miracles existent. Gagner ? Pourquoi pas.
Caractère du personnage : Fauve a un pouvoir : le pouvoir de se foutre dans des situations embarrassantes, et pourtant ce n’est pas ce qui la dérange « ça pimente notre vie » dit-elle bien souvent pour justifier certaines choses. Elle n’est pas sédentaire, et est très difficile à canaliser. C’est comme une pile électrique qui a une énergie… Infinie. Je ne vous laisse pas imaginer. Fauve est un être drôle autant pour sa repartie que pour ses gestes. En effet, elle n’aime pas laisser le pathétique prendre le dessus et il est très rare de ne pas la voir sourire. Pour elle, rire et sourire c’est la vie. Elle se sent bien quand elle est entouré et qu’elle peut pleinement s’exprimer ce qui embête bien souvent bon nombre de personnes, et pourtant, on la trouve attachante. Attachante car elle n’est pas insolente, ni même trop hautaine. Elle sait où sont ses limites et où elles s’arrêtent. Un peu arrogante par moment, elle ne le fait pas exprès et nie même ce côté-ci de sa personnalité. En amitié, c’est une personne de confiance, loyale et fidèle et qui fera tout pour ses amis même si elle n’aime pas forcément. Par contre, elle ne donne sa confiance que très rarement, et reste discret sur sa vie intime et privée. Pas de vanité de sa part, ni même d’égocentrisme tout ce qu'elle souhaite c’est s’amuser. « Si le rire se vendait, je serais sûrement riche ! » c’est ce qu’elle dit souvent. Elle sait être charmante, et user de son charme. Elle plaît aux hommes, et jamais personne n’a su pourquoi. Son physique ? Sa personnalité agrèable mais totalement imprévisible ? Cependant, elle ne veut pas s’engager, un petit coup par-ci et un autre par là, ça s’arrête là. Ce qui ne veut pas dire qu’elle ne peut pas tomber sous le charme d’un homme, mais je dirais qu’elle en a peur et qu’elle l’évitera à l’avenir. Mais ce que l’on doit absolument retenir d'elle, c’est qu’elle est une fille imprévisible. Définir son caractère est bien difficile puisqu’elle change selon les situations, les personnes et bien d’autres critères en jeu… Peut-être qu’elle est tout simplement l’incarnation de la bonne humeur et de la joie de vivre avec en fond l'envie d'être une leadeuse.
Description physique du personnage : Inutile de dire que c’est une belle femme cela semble assez évidant. Fauve a toujours été une jolie jeune fille, même étant petite elle était mignonne. Elle dispose d’un visage ni trop fin ni trop épais et son corps n'a rien a envier aux tops model du fait qu'elle n'est ni maigre, ni grosse. Mince, c'est cela. Même si elle s'est souvent faite charriée sur ses formes, elle n'a jamais prêtée attention à ces dires. Sa peau est plutôt claire sans être trop blanche non plus, elle a des cheveux d’un blond frais, c’est sa couleur naturelle, elle a déjà changé de couleur de cheveux plusieurs fois mais à toujours préférer les cheveux blonds et longs. Ses yeux sont tantôt bleu tantôt vert, c’est une de ses particularités, ils changent en fonction de son humeur mais aussi de la lumière ambiante. Son nez est assez droit et pas trop long, sa bouche est assez pulpeuse, certains la qualifie même de sexy mais elle ne pense pas vraiment que ce soit son meilleur atout physique. Fauve est une personne assez grande, elle mesure environ 1.70 et pour une fille c’est déjà pas mal, surtout qu’elle aime bien mettre des talons. Fauve aime bien porter des robes le plus souvent avec des collants de couleurs, ce qui rend sont look assez original. Ses vêtements sont tout de même bien choisit et elle accorde le tout avec style et finesse. Même si son style est plutôt haut en couleur le tout est assorti et rend toujours très bien.
Vos disponibilités : Je serais là tout le long de l'émission? Je n'ai rien de prévu et suit même très libre donc n'hésitez pas avec les animations !
Eléments buzz : - Elle a fait des apparitions dans plusieurs clips dans lesquels elle danse - Elle est issue d'une mère porteuse - Sa meilleure amie a tenté de se faire de l'argent sur son dos - Elle est veuve - Elle a été chroniqueuse sur le net et des milliers de personnes la suivaient.
Secret du personnage : J'ai été aveugle pendant six ans
Un bon RP :
Les doigts posés sont sur mes tempes, je masse doucement la peau sous mes mains pour faire passer le mal de tête qui me taraude depuis huit heure du matin. En fait, il a duré toute la nuit, ce n'est que maintenant que je le remarque. Car ce n'est que maintenant que je commence à revoir net. Hier soir, j'ai fait la fête. Plus que d'habitude, je ne sais pas pourquoi, c'est arrivé comme ça, je me suis laissé emporter, peut importe. Il ne faudra simplement pas que cela se reproduise. Ou bien que j'ai l'intelligence de réfléchir avant à ce que j'ai à faire le lendemain. Ca m'évitera d'avoir la gueule de bois à un rendez-vous. Enfin, rendez-vous...je ne sais même pas comment appeler la rencontre que j'ai cette après-midi. J'avais reçu le hiboux de Chelsea il y a de cela trois jours, m'invitant à la rejoindre chez Madame Pieddodu dans l'après-midi. Madame Pieddodu, je n'y avais jamais mis les pieds, je n'en avais jamais trouvé l'envie pour être honnête. Ce genre d'endroit, je n'y vais pas de mon propre chef, trop distingué, clos, proche, réservé pour une clientèle qui aime la promiscuité. Moi, je ne suis pas fait pour être avec les gens. Et encore moins depuis que je me suis fait mordre par ce chien de Geybrack. Ce n'est pas que je n'aime pas les gens, ou que je sois foncièrement dangereux. Non, c'est que j'ai peur d'eux. J'ai peur de leur influence sur moi, de la façon dont je pourrais trop m'attacher à eux, trop pour que ce soit encore inoffensif. Je suis anxieux à l'idée d'être entouré de gens, j'ai peur de moi, de mes réactions, de la façon dont je pourrais être trop intéressé par eux, de trop m'attacher. Parce qu'à la fin de l'histoire, je fini toujours par me faire avoir. Je suis pessimiste mais c'est comme ça. Les gens me donnent l'impression d'être plus en vie que je ne le suis et c'est dangereux.
J'enfile un jean foncé, un T-shirt blanc avec des inscription en latin dessus ainsi qu'un blazer noir que je boutonnais avant de sortir par la porte de derrière, celle qui menait aux écuries. Je passe rapidement voir si les chevaux vont bien. Je remarque que l'un des pouliche arrive bientôt à terme, je me note qu'il faudra que j'appelle un vétérinaire. Si j'en trouve un...Je flatte le museau d'un étalon au regard sombre, en cela il me ressemble un peu, et sors de ma propriété. Je sors ma baguette, lance un sort ôtant les dernière traces d'odeur animales et transplane jusqu'à Pré-Au-Lard. Une fois que je sens le sol sous mes pieds, je regarde ma montre et me rend compte que j'ai déjà cinq minutes de retard. Je jure dans ma tête et me met en quête de ce salon de thé chez Madame Pieddodu. Quel nom de salon...pourquoi ne pas l'appeler Madame Cheveuxlongs, ou Madame onglesvernis, je n'en sait rien moi ! Mais Pieddodu...c'est...non en fait c'est original. Je me demande comment est la décoration, l'ambiance. Le genre de question que je ne devrais pas me poser, parce qu'elles entraînent inlassablement la curiosité mal placée. Je n'ai pas le temps de me poser plus de questions que j'entre dans le dit salon. Le parquet ne craque pas sous mes pieds et l'odeur de cannelle emplie mes poumons, calmant un peu mon esprit. L'esprit y est doux, c'est reposant. Je m'avance, passe ma main dans mes cheveux pour libérer mon regard et part en quête de Chelsea. Je la retrouve facilement, c'est comme si elle happait mon regard. Même habillé de façon normal, quotidienne, elle était magnifique. Le genre de jeune femme sur qui les hommes se retournent dans la rue. En avait-elle conscience ? Je n'en sais rien. Je m'avance vers elle, de sorte à ne pas déranger les autres clients. Je ne me savais pas cette inquiétude et ce respect des autres. Comme quoi, on en apprend tout les jours. Je me penchais vers Chelsea et lui déposait un baiser sur la tempe, ce que j'avais l'habitude de faire aux gens que j'appréciais. "Désolé du retard" lui dis-je doucement. J'allais ensuite m'asseoir en face d'elle. Je remarquais les angelots et un sourire amusé vint s'afficher sur mon visage. Je posais mes mains sur la table et croisait mes doigts entre eux. "Hum...tu vas bien ?" 'spèce d'empoté des relations humaines ! Mais j'ai pas l'habitude d'avoir quelque chose d'aussi..normal, dans ma vie. C'est vrai, soit je m'exclue, soit je rencontre des hybrides. J'ai plus l'habitude des gens dits normaux.
Malia
Pizza Adulte
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Feuille de personnage Âge du Perso: 20 ans Côté coeur: Etat du secret: trouvé par charlie
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Mar 27 Aoû - 23:00
Histoire du personnage : Quand j'étais toute petite, mes parents m'achetaient tout ce que je souhaitais et c’est ainsi dans la vie de tous les jours. Je n’étais pas malheureuse c’était le moins que l’on puisse dire. J’adorais mes parents et possédait un très grand lien avec eux. Depuis, nous vivons dans le luxe, tous nos besoins sont comblés. J'ai toujours été pleine de vie, même si comme chaque enfant j'ai été parfois capricieuse. J'ai toujours été la petite princesse et enfant, j'aimais jouer.
Être la petite dernière, je connais ça. En effet, Selena ( Selly ) m'a précédé. Mais contrairement à beaucoup de fratries, d'un côté, j'ai eu pas mal de chance; ma sœur a toujours été très présente pour moi. Elle me soutenait quoi qu'il arrive, et je savais que je pouvais compter sur elle. Malheureusement, il y a forcément un revers de médaille. Là, il était bien plus important que l'autre côté.
Je suis née à Paris. Ville magnifique, que je ne le regretterais à jamais. Je suis née dans un luxueux hôpital de Paris. J'ai donc vu le jour dans la grande capitale de France qui reste encore aujourd’hui l’une de mes villes favorites. Ma mère était une jeune et belle infirmière, mais elle a dû changer de travail. J'avais de la chance de vivre avec des parents aimant et présent quoi de mieux ? Depuis toute jeune, la danse me passionne, que ce soit les danses de salons, ou les danses de rues. Toutes, sauf la danse classique, ce n'est pas mon genre les tutus roses. Mon père étant un très grand homme d'affaire, d'où notre grande richesse, il n'était pas souvent à la maison. Selly me racontait qu'avant, il était un peu plus présent, mais maintenant, nous ne le voyons presque pas. Je ne vous raconte pas mon estime de moi après ça ... Je lui ai toujours reproché de nous laisser de côté. J'aidais Selly dans les tâches qu'elle avait à accomplir, et je passais énormément de temps avec elle, à lui raconter des histoires, à l'écouter chantonner. Petite, j'aimais m'évader, non pas dans les jeux, mais dans le chant. Je chante beaucoup, je danse également, mais ce que je préfère par-dessus tout, c'est la danse. J'ai eu mon premier cours de danse à l'âge de 9 ans. Un cadeau de maman. Je prends plus de cours de danse parce que je deviens comme même une pro à la danse. J’ai arrêté les cours de danse à 14 ans.
Caractère du personnage : Avalon est très courageuse, elle ne se laisse pas faire, elle est attentionnée, intelligente. Elle est calme, c'est une jeune femme aimante et qui a plein d'amour à donner. Elle aime en recevoir. Avalon ne se soucie que des autres et pas beaucoup de elle; elle pourrait donner sa vie pour les personnes qu'elle aime. Elle est très brillante. C'est une petite gourmande. Elle est agréable, sauf avec ses ennemis. Elle aime bien défiler. On la voit souvent sourire. C’est une fille respectable. Elle n'est ni une jeune fleur bleue, ni une grande rebelle, (bon peut-être un peu) elle est seulement elle-même c'est-à-dire un petit bout de femme possédant le sourire aux lèvres au quotidien. L'amitié est quelque chose de très important pour elle. D'après la directrice de son ancien Lycée : Avalon est une fille très gentille quand on la connait bien. Je veux dire elle parait fougueuse, et rebelle, certes, mais en elle se cache une personne très timide et fragile. Du moins, c'est ce que j'ai pu constater après ses plusieurs visites dans mon bureau. Elle a une idéologie bien à elle. Brave et déterminée elle sait vraiment ce qu'elle veut de la vie et l'obtient jusqu'à même devenir agressive. Elle peut rester douce et calme comme elle peut exploser et détruire tout sur son passage. D'après le professeur de Sciences de son ancien Lycée : Cette jeune fille est l'élève parfaite ! Son apparence de jeune adolescente rebellée est vraiment trompeuse en ce qui concerne les cours. Elle est minutieuse et très intelligente. Bon j'ai eu des échos de couloirs, vous savez, comme quoi en dehors de mes leçons c'était une jeune fille très...comment dire...libertine...Mais bon tant que cela n'empiète pas sur mon cours, je suis heureux. Pour moi, c'est un vrai plaisir de l'accueillir chaque matin dans ma classe.
PHYSIQUE DU PERSONNAGE :
Elle possède une grande intelligence de quoi attirer les mauvais yeux. Elle a un style vestimentaire classique très féminin et très stylé. Elle adore s’habiller de façon Fashion, elle adore le style, la mode c’est beaucoup pour elle. Avalon est belle, celui qui ose dire le contraire à de la m*rde dans les yeux, certes ce n'est peut-être pas une méga bombe non plus mais elle est belle. Elle a la peau douce. Elle a de beaux cheveux doux roux et aime changer souvent de coiffure lors des soirées, évènements, préfèrent aussi bien les cheveux longs que couper court. Elle a des yeux magnifiques marron chocolat. Elle n'est pas très grande, mais cela lui permet d'être discrète et de pouvoir passer inaperçus quand elle le désire. Elle est dans la normalité, comme n’importe qu’elle fille de 19 ans. Cependant ne vous fiez pas aux apparences, elle a bien 19 ans, prenez-vous en a sa famille ou à ses amis et vous aurez affaire à une vrai furie. Elle a un sourire très joli. Elle prend soin de son visage, se maquille souvent pour les soirées. Avalon a toujours sa trousse de maquillage avec elle. Elle a un corps mince mais pas maigre.
Vos disponibilités : Je pourrais être sur le forum 7j/7 je pense. Y aura peut-être des périodes où je ne pourrais pas me connecter en août j’aurais accès à internet. Ma connexion sera seulement réduite.
Elements buzz : Durant son enfance, Avalon était dyslexique. Elle a été mannequin pour une ligne de vêtements. Elle a gagné au loto. Elle a tourné dans un clip où elle dansait. J’ai déjà poser avec une star. Secret du personnage : J’imite à perfection le Moonwalk de Micheal Jackson.
Un bon RP : J'étais dans mon lit bien au chaud, je n'allais comme ne même pas dormir toute la matinée. Je me levais et m'étirais. Je descendais en pyjama. J'ouvrais le frigo et prit un jus de fruit. J'allais chercher le pain et le nutella et posa sur la table. Je me fis une tartine de nutella puis la dégusta tranquillement. Après, je débarrassai puis monta. J’allai jusqu'à la salle de bain, je pris un bain chaud, me brossa puis je me lavai les dents. Je me séchai les cheveux. Quand j'étais toute prête, je redescendu pour aller regarder un bon film. Il n'y avait plus beaucoup de films de son genre... J’éteins alors la télé. Vers 15h je m’habillai pour sortir en rue. Une fois habillé, je sortis de chez moi. Je traînais dans les rues. Vous voulez savoir mon humeur ? Gentille. Donc si je faisais une bonne rencontre tant mieux. Par contre si c'est une mauvaise...
J’allai alors au Mystic Grill et prit un bon café. Ensuite, je sortis. Cette ville était belle, aujourd'hui il n'y avait pas beaucoup de monde. Ils ont autre chose à faire que sortir... J’avançai vers la poubelle puis jeta mon café vide. Je me retournai et sursauta. Une jeune femme apparut d'un coup. Mon humeur avait changé...
« Nan mais ça va pas ? » dis-je.
Les gens n'ont pas d'autres choses à faire ?
--------------------------------------------------------------------------------- Nom du personnage : Castelli
Histoire du personnage : 6 avril 1993. Le jour où je suis née. C'était un jour merveilleux, mes parents étaient heureux, j'étais heureuse. Et c'était important pour eux, de m'avoir. J'étais leur petite chouchoute. 26 mai 2001. Mais vous vous en doutez les bons moments ont toujours une fin... Une fin terrible pour moi. C’était un jour comme les autres, seulement un tragique événement pour moi et mes parents. Un incendie, qui peut se qualifier comme explosion m’avait fait perdre la vue. J’étais allée visiter un musée avec mes parents, et j’entendis d’un seul coup l’alarme incendie. Je me disais c’était un entraînement du genre, mais non c’était des explosions, autour de moi. Mes parents me prenaient la main, mais je la lâchai, raison : une explosion surgit devant moi, et je ne voyais plus rien, je me sentais mal. Quelques heures passées, on m’a emmené à l’hôpital. Je me suis réveillée, ne comprenant pas pourquoi je ne voyais rien. J’avais tellement mal à la tête… Le docteur m’annonça que j’étais aveugle. Pourquoi moi ? J’étais en pleurs. Je savais même pas comment j’allais faire maintenant, ne plus rien voir… C’était comme être endormie pour toujours. Qu’est-ce que j’allais faire de ma vie ? Je me posais pleins de questions. Vivre sa vie sans voir… Qu’y a-t-il de pire ? J’étais désespérée à l’idée de vivre ma vie comme cela. En plus je pourrais plus faire mon boulot, que j’adore… Le mannequinat. 6 mai 2012. Toujours aveugle, le téléphone sonna. Ma mère décrochai, c’était le docteur/chirurgien, il annonçait que je pouvais faire des opérations pour arranger mon état. Alors, ma mère acceptait et m’emmena le lendemain à la clinique. On décidait de m’opérer. Je souris à cette idée mais j’avais peur. 29 aout 2012. On m’opéra. Je voyais flou, mais c’était mieux que de rien voir. Après plusieurs opérations, je retrouvais la vue. J’étais toute contente, surexcitée, hyperactive tout ce que vous voulez. C’est tellement bon de voir à nouveau, de continuer mon boulot, de faire les activités que je faisais d’habitude. 4 juillet 2013. Je croque la vie à pleine dent, et en profite au maximum, après ce que j’ai vécu. Je vivais plus avec mes parents, j’avais un appartement et je faisais attention à chaque chose que je faisais. Dire que j’ai eu vraiment de la chance pour retrouver la vue… Mais aussi avoir de la chance pour que ma mère ait accepté car c’était assez cher.
Caractère du personnage : Cara est vraiment libre, « folle » depuis qu’elle a retrouvé la vue, elle en profite au maximum. Elle exprime sa liberté. A part cela, Cara est drôle, elle est aussi courageuse, elle ne se laisse pas faire. Elle est une petite gourmande, enfin grosse. Elle aime bien défiler. Cara est une fille respectable. Elle est ni une jeune fleur bleue, ni une grande rebelle, elle est seulement elle-même c'est-à-dire un petit bout de femme possédant le sourire aux lèvres au quotidien. Elle est créative, pleine de vie. Cara peut être aussi maladroite, méfiante puis franche pour découvrir les secrets. Elle adore manger, par contre elle déteste les moustiques. L’horreur ça, quand ça nous pique ! Cara aime comme elle est et ne veut changer pour rien au monde. Elle est fière de son caractère et l’assume totalement. C’est une vraie bête sauvage, elle saute de partout, bouge de partout. Bon elle a peut-être des défauts mais c’est une femme complète. Et tout le monde a des défauts. On n’est pas tous parfaits. Sauf Cara. Non je rigole. Cara n’est pas parfaite non plus. On ne peut pas dire qu’elle est comme les autres car ils n’ont pas vécu ce qu’elle a vécu. Elle est originale.
Description physique du personnage : Cara est une belle femme, aux cheveux blonds assez longs, et aux yeux magnifiques bleus. Blonde aux yeux bleus. C’est vrai que c’est assez commun, mais son visage est unique. Elle a des sourcils épais et on se moquait d’elle quand elle était plus petite. Cara s’en foutait complètement. Elle met souvent une petite touche de mascara ou de crayon. Mais pas plus. Sauf aux soirées. C’est une femme simple. Elle mesure cent soixante-treize centimètres. Elle a un teint bronzé, assez particulier qui fait ressortir ses yeux. Elle ne fait pas très attention à son physique mais s’en occupe quand même. Mangeant de tout et de rien et appréciant particulièrement la nourriture de Fast-Food elle arrive à garder à la gymnastique. Elle a l’habitude de remettre sa mèche en arrière quand ça la gêne. Elle a l’air un peu fragile à cause de sa maigreur. Cara est assez grande pour son âge et très mince. Son nez est droit, ses traits marqués mais beaux. Sa bouche est fine et joliment teinté de rose ou de rouge selon son humeur. Son visage est encadré par de longs cheveux blonds. Elle garde ceci lâché mais lors de grandes occasions elle n’hésite pas à les attacher en des coiffures compliquées et très étudiées. Cependant, il lui arrive dans la vie de tous les jours, de faire deux fines nattes de ses mèches de devant et de les ramener vers l’arrière à l’aide d’une pince en forme de papillon. A l’image de ses traits, ses mains sont finement jolies et elle a de longs doigts.
Vos disponibilités : 7/7, par contre je pars en vacances bientôt donc ça va réduire mon temps de connexion.
Elements buzz : Cara a défilé pour la Fashion Week. Elle a déjà eu un accident de voiture mais rien de grave. Elle a déjà rencontré Karl Lagerfeld. Elle était chanteuse dans un bar. Cara a participé à un tournoi de roller agressif.
Secret du personnage : J’ai retrouvé la vue.
Un bon rp :
Spoiler:
Une soirée se déroulait ce soir, et bien sûr je n'allais pas manquer cela. 22h, je me prépare pour aller cette soirée de malade, robe de soirée, chaussures... Enfin habillée, je prends mon appareil photo Nikon dans une pochette, et sort de chez moi. Arrivé devant la soirée, il est 22h30. Je vois pleins de lumières qui clignotent, on entend la musique de dehors. J'avais bien raison, c'était vraiment une soirée de malade. Et bah ! Ils ont fait fort ce soir. Je pousse la porte, sourire aux lèvres. J'étais époustouflée de voir la foule qu'il y avait. Oh my god ! Mais c'est quoi ça ? Mannequins, photographes, stylistes... Toutes sortes de métiers ! Une géante scène pour défiler. Je me dirigeai vers le buffet et prit une limonade, ce qui fut difficile à prendre vu que j'étais toute serrée avec tous ces gens-là. J'étouffais presque. Je faisais bien attention à pas renverser mon verre, et le but vite fait. Regardant autour de moi, je reconnus quelques photographes. Je m'approchai de la scène, et prit des photos des mannequins qui défilaient. C'était pas évident car j'étais assez petite. En plus les vêtements que portent les mannequins étaient vraiment originaux. C'est fou, comment les stylistes peuvent avoir de l'imagination. C'était la première fois que j'assistais à un défilé célèbre, et cette première fois ne m'était pas désagréable, au contraire elle m'était superbe. C'était une soirée où il y avait toutes sortes de styles : chics, vintage, hippie... C'est pas tout le monde qui va à une soirée pareille. Je me mis dans un coin où il y avait personne et admira les photos que j'avais prise. J'en supprimais quelques-unes.
Stanley
STAN - Nothing suits me like a suit
Messages : 485 Date d'inscription : 01/07/2013 Age : 28 Localisation : Paris
Feuille de personnage Âge du Perso: 29 ans Côté coeur: Célibataire Etat du secret: J'ai couché avec plus de 150 femmes différentes - Trouvé par Ely
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Mer 28 Aoû - 9:19
Nom du personnage : Obi
Prénom du personnage : Ken
Âge du personnage : 23 ans
Avatar : "Nekfeu"
Photos de votre personnage : Spoiler:
Histoire du personnage : Encore un joint, cette fumée me monte au cerveau, et le THC commence déjà à faire son effet sur mon crâne, déjà bien rempli d'alcool. Comme je le dis souvent, j'ai un peu de sang dans mon alcoolémie, et je suis là, avec des trous dans la tête, à me vider une infinité de bouteilles de vodka dans un bar de débauchés comme moi. C'est là que je la vois. Belle, avec ses cheveux arcs-en-ciel, entrain de danser comme une déjantée. Je l'accoste au bar, et malgré mes trous de mémoire, je me rappelle encore de ce regard de braise qui se posait sur moi. Très vite, malgré mon alcoolémie qui dépassait aisément le gramme, je réussissais à obtenir un numéro, et même plus, elle pouvait dormir chez moi.
C'est là qu'on est passé à l'acte elle et moi, et c'est là que la galère à commencé.
Depuis tout petit, les soucis s'enchaînent, petits et grands, né dans la province de Caen, j'était pourtant voué à une existence commune à beaucoup d'humains parfaitement normaux. Mon père était directeur de collège, et ma mère enseignante d'Anglais. Avec une famille comme ça, qui aurait cru que le petit Obi Ken allait vivre comme un débauché toute sa vie? Qui l'aurait cru?
J'avais fait une seconde hôtellerie, dans un lycée commun, à Caen, et m'en sortant avec une mention assez bien à mon bac, j'entrepris de faire le tour du monde, en compagnie de mon père, qui était alors parti à la retraite. Malheureusement, et c'est à ce moment là que la galère à commencé, lorsque nous étions en Somalie, une horde de pirates à attaqué mon père, et j'y ait survécu. Mon père non. Rapatrié de force en France, ma mère n'a jamais vraiment supporté l'absence de mon père et s'est mise à boire. J'avais 19 ans, et je buvais avec ma mère. J'avais trouvé un petit boulot dans un hôtel piteux de Caen, et tout les Lundis et Mardis, jours de congés, j'allais me droguer, m'alcooliser au bar à côté.
9 mois après cette rencontre avec cette fille, - j'étais resté en contact avec elle, et continuait mes débauches-, un gamin est né. Nous l'avons appelé Ezreal. Un nom original, qui ne voulait rien dire et qui n'était surtout porté par personnes d'autre. Nous avions promis de le chérir jusqu'à la fin de nos jours. J'avais donc arrêté les débauches et décidé de devenir un père de famille, stable financièrement, sans que tout son salaire ne parte dans la drogue et l'alcool.
Aarya -c'est comme ça qu'elle s’appelait- en décida autrement. Un matin, alors que je rentrais de mon boulot de veilleur de nuit, je la trouvais au lit avec Micka, mon meilleur ami d'époque. Enervé, je la balança dehors et obtenu peu après la garde de l'enfant, car j'étais le plus stable des deux selon la justice, malgré mes antécédents judiciaires à cause de trafics de drogue ou autres petits délits.
Ezreal était mon bout de chou, mon ange et ma raison de vivre. Je ne pouvais pas exister sans lui, mais lorsque j'ai vu qu'une saison de Secret Story allait commencer, et que l'argent commençait à se faire rare pour nourrir deux personnes dont un enfant de 2 ans, j'ai décidé de rappeler Aarya et de participer à Secret Story. Notre secret? "Nous avons eu un enfant ensemble". Je confie alors Ezreal à une nourrice qualifiée, et partit donc à l'aventure Secret Story...
Caractère du personnage :
Avant toute chose, je suis gentil, mais m'attache beaucoup trop aux choses sans trop d'importance. En effet, je suis devenu sensible au moindre petit détail et chaque petite embrouille, petit truc de travers qui ne va pas, peut me faire péter un plomb. Etant encore en sevrage de drogue, je peut bien évidemment être en manque, me faisant devenir très aigri, et à ces moments de "crises", il ne faut pas venir me chercher des noises. Je peut-être insultant voir offensant lorsque je suis dans ces moments là.
Mon fils est celui qui m'a sauvé la vie, je lui dois tout, et si je participe à Secret Story, c'est uniquement pour Ezreal et personne d'autre. Mon but est de gagner, rien d'autre et je serais prêt à tout pour ça. Salir, Trahir, Hair, Bannir. Aucun choix, aucun dilemme ne me détournera de cet objectif, je suis déterminé. Je déteste les gens hypocrites, malgré qu'on soit à Secret Story, et qu'il n'y aura que ça, celui qui parlera dans mon dos, je lui ferais vite comprendre à qui il a à faire.
Malgré tout ça, je suis très sociable, et arrive facilement à me faire des amis, j'ai un don pour attirer l'attention sur moi, et ça me convient. Depuis Aarya, je suis moins fleur bleue, je cherche moins à me faire de copine. Peut-être est-ce un acte de protectionnisme? Car je veux protéger mon fils, et le garder juste pour moi. Je n'en sais rien, trop de femmes m'ont déçues jusqu'à présent.
J'ai un rapport assez particulier avec la vie et la mort, donc je peux de temps en temps lancer des débats d'une intense philosophie là dessus. Il n'y a aucun tabou, on peut parler de tout.
Ce que j'aimerais changer? Mon passé. Même si celui-ci m'a permis d'avoir un fils que je chéris plus que tout au monde, je sais que j'aurais pu acquérir à de grandes choses étant donné mon QI élevé et le métier de mes parents, mais bon, j'ai tout gâché en me lançant dans cet intense cercle vicieux qu'est la drogue.
Description physique du personnage : Minimum 200 mots pour décrire le physique de votre personnage et l'importance qu'il lui accorde.
Je suis quelqu'un d'assez séduisant malgré mes problèmes avec la drogue. C'est d'ailleurs le premier adjectif par lequel les gens me qualifient. Non, non, pas séduisant : "Drogué". Avec mes grosses cernes, et mon regard qui se pose intensément dans le vide, oui, j'ai encore beaucoup de séquelles de la drogue. Mes dents du fond sont pourries, mais ça, personne ne le remarque malgré que cela me gène. Je ne fais pas attention à mon apparence, j'aime bien m'habiller comme je veux. Que ce soit en Sweat-Shirt et jogging ou en Costard Cravate Pantalon, je m'en fout, je prend ce que je trouve dans mon armoire. Un truc que je kiffe porter par contre, c'est un bonnet ou une casquette, accompagné de temps en temps par des petites lunettes de soleil. Je trouve personnellement que j'ai un gros nez. C'est une grosse tâche sur mon visage. Il n'y à que moi qui le remarque, mais je trouve ça moche. Je suis petit et trapu, et les gens ne se doutent pas que j'ai des beaux abdos (à force de me saouler la gueule, vomir ça aide !) et une assez belle musculature.
J'ai des cheveux noirs et longs, parsemés à quelques endroits par quelques cheveux blancs, mais rien de très grave, étant donnés qu'ils sont cachés par la casquette. J'ai des yeux bruns et pétillants qui en ont fait chavirer plus d'une.
Vos disponibilités : Je suis là absolument tout les jours. Même si je bosse, j'ai toujours un moment pour me connecter et pour répondre aux rp's en attente, participer aux primes ou encore accomplir mes missions.
Elements buzz : Spoiler:
Spoiler: - De la drogue trouvée chez Ken - Un proche de Ken parle : "Ken était un débauché qui ne faisait que trainer dans les bars" - Article sur le père de Ken, ancien Directeur d'un lycée de Caen avant de se faire assassiner par des pirates en Somalie - Une femme se revendique être la mère d'Ezreal - Une femme revendisque être enceinte de Ken
Secret du personnage : Nous avons eu un enfant ensemble (Avec Aarya)
Un bon RP : Ici, où j'incarnais Rin, le fils de Majin vegeta sur un forum Dragon Ball Z
Messages : 3267 Date d'inscription : 14/07/2009 Age : 32
Feuille de personnage Âge du Perso: 22 ans Côté coeur: F. ♥ Etat du secret: souviens-toi d'oublier
Sujet: Re: Casting des saisons précédentes Dim 15 Sep - 20:09
Close your eyes but keep your mind wide open.
Ana
nom: Delacour prénom: Anastasia âge: 22 ans (17 février 1991) secret: j'ai le gène d'Alzheimer éléments buzz: j’ai volé une tortue dans un zoo quand j’avais 12 ans, et je l’ai toujours elle s’appelle Crush + j’ai été serveuse dans un club de strip tease + j’ai passé un casting pour jouer dans Plus Belle La Vie + j’ai aidé un vieux monsieur à mourir pendant mon premier stage à l’hôpital + un jour j’ai suivi un mec dans la rue qui s’était moqué d’une fille en passant à côté d’elle, j’ai repéré son adresse et j’y suis retournée un jour où il n’était pas là pour remplir sa chambre de papier toilette avatar: Emilia Clarke photos: lien 1lien 2lien 3lien 4lien 5lien 6lien 7lien 8lien 9disponibilités: tout l'été, tous les jours (sauf exception). un bon rp: do not disturb, birth in progress
HISTOIRE
Je me suis toujours dit qu’un jour j’écrirais mon autobiographie. Je ne l’ai jamais dit à personne bien sûr, ils penseraient que je me prends pour la reine d’Angleterre. Mais ce n’est pas pour qu’elle soit lue par des millions de personnes que je veux l’écrire, c’est pour moi. Pour me souvenir, ou espérer me souvenir, un jour. Si un jour je ne me souviens plus de rien, si je deviens quelqu’un d’autre, si je ne reconnais plus les gens que j’aime depuis toujours… Parce que nous savons tous que ça arrivera. On espère que le gène restera silencieux, mais la science a parlé, les chances sont infimes. Je finirais dans un hôpital, ou un établissement Alzheimer. Au début certaines personnes viendront me voir, de temps en temps, et puis tout le monde sera lassé de venir voir la vieille Ana qui ne les reconnaît même pas. Tout le monde, sauf toi. Toi Noah, s’il te plait, ne m’abandonne jamais. Même quand j’oublierais ton nom, s’il te plait ne me laisse pas. Et chaque fois que tu pourras, viens me voir pour me lire ce cahier. Et alors peut-être, je te reviendrais.
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Je m’appelle Anastasia, mais j’entends rarement ce prénom, pour tout le monde je suis Ana. Aujourd’hui j’ai 22 ans, c’est mon anniversaire, nous sommes le 17 février 2013. Noah m’a offert ce nouveau cahier, car il sait que j’aime écrire. Ecrire ce que personne n’entend. C’est lui qui m’a offert le premier cahier, pour mes 18 ans. Et puis chaque fois que j’en termine un, il m’en offre un nouveau. Il m’en a offert un autre pour mes 19 ans, puis pour mes 20 ans. Mais cette année là, j’ai eu besoin d’écrire plus que d’habitude. Alors il m’en a offert un en plus, en octobre. Et c’est devenu une de nos habitudes. Ces habitudes qu’il ne faut pas perturber. Ces habitudes sur lesquelles on fonde notre quotidien. Ces cahiers sont devenus en quelque sort mon « journal intime ». J’ai l’impression d’avoir 14 ans en écrivant ça. Il n'est pas vraiment intime en fait. Disons que personne ne le lit. J’écris quand je suis triste, j’écris quand je suis heureuse. Du moins, quand j’étais heureuse.
J’aurais peut-être dû commencer cette biographie plus tôt. J’aurais pu demander des souvenirs à maman. Mais elle n’a plus vraiment de souvenirs. Et mes souvenirs d’enfance sont flous. Je crois qu’elle a été plus ou moins banale. Je me souviens que ma sœur jouait avec moi à une époque. Avant qu’elle ne devienne une ado révoltée contre le monde entier. Elle avait 7 ans quand je suis née. Elle m’a fait découvrir les playmobils et les lego. Elle m’a aidé à inventer les histoires les plus folles. On était bien ensemble, avant ses 13 ans. A partir de là, il n’y avait plus de grandes histoires entre Sam le pompier et son amie Ellie. Je la dérangeais tout le temps, à chaque moment de la journée, tous les jours. Je suppose que c’est comme ça que ça doit se passer. Mais je ne lui en ai pas voulu, c’était ma sœur, c’est ma sœur, et tant pis si ce n’était plus ma meilleure amie. Tant pis parce qu’à l’école, une nouvelle était arrivée. Elle s’appelait Joanna, et elle souriait tout le temps. Et c’est elle qui est devenue tout ce que ma sœur ne voulait plus être. Je crois qu’elle passait plus de temps chez moi que chez elle. Elle vivait dans un petit appartement avec sa mère et ses deux petits frères jumeaux qui pleuraient à longueur de journée. Alors après l’école, maman nous attendait avec notre goûter et on le mangeait dans la voiture en rentrant à la maison. Jo trouvait drôle de me voler mon jus de pomme. Et moi je me vengeais en lui arrachant son pain au chocolat des mains. Maman nous engueulait toujours parce qu’on salissait la voiture et que papa allait crier. Et nous on riait à chaque fois. Aujourd’hui j’en ris encore plus, parce que papa ne criait jamais. Parce qu’il n’était jamais là. Parce qu’il préférait rester dans sa concession, à vendre ses grosses voitures à ses petits bourges.
On ne s’est plus jamais quitté. Nous ne formions plus qu’une personne, Jo-Ana. Elle dormait presque tous les soirs à la maison, on partageait mon lit. Et puis mon lit est devenu trop petit pour nous deux. Alors maman m’a acheté un plus grand lit. Je crois qu’elle l’aimait bien Jo, ma maman. Et tant mieux, parce que Jo c’était devenue toute ma vie. On a grandi, et les profs du collège adoraient nous dire qu’avec la crise d’adolescence, on finirait par ne plus se parler, par se quitter. Parce que les gens finissent toujours par partir. Mais ils se sont tous trompés, parce que nous on est restée ensemble, tout le temps. Même quand on a rencontré Noah. On venait d’arriver au lycée, toujours ensemble. Et puis il y a eu ce mec, perdu dans ce couloir, et nous qui passions par là. Et puis voilà, d’un mot à l’autre, une conversation en entraînant une autre, une sortie, puis une autre, et encore. On avait toujours envie de se revoir, et un jour on est devenu le triangle JAN.
Une fois le bac en poche, tout le monde pensait encore qu’on finirait par se séparer. Une nouvelle vie commence pour vous, des nouvelles rencontres, les chemins se séparent… Toujours le même baratin. Si seulement ils avaient su tous les projets qu’on faisait. On a décidé de s’installer ensemble, dans une petite maison à Bordeaux. On quittait pour la première fois Cahors, tous les trois, ensemble. Jo est entrée dans son école d’arts, Noah dans son école de commerce, et moi à l’école d’infirmière. Et effectivement, une nouvelle vie commençait. Mais contrairement à ce que les gens pensaient, notre triangle persistait encore dans cette vie. Et cette vie nous plaisait. Qu’on était bien chez nous, ensemble. Je ne demandais rien d’autre que de passer ma vie entière avec mes deux amours. On nous reprochait souvent d’être enfermé dans notre monde, de ne pas laisser entrer de nouvelles personnes dans nos vies. Mais chacun de nous avait son petit groupe d’amis pour les cours, même si c’est vrai que l’on sortait rarement chacun de notre côté. Et alors ? J’avais trouvé mes indispensables, je ne vois pas en quoi ça pouvait nous nuire. Personne ne pouvait vraiment comprendre ce lien qui nous unissait tous les trois. Et moi je pensais le comprendre, jusqu’à ce jour…
Ce jour-là, Jo est partie de la maison en claquant la porte. Après que je lui ai avoué que Noah m’avait embrassé. J’avais envisagé toute sorte de réactions, mais pas celle-là. Je suis restée assise là sur le canapé, les yeux fixés sur la porte. Je n’ai pas bougé, j’ai attendu son retour. Jusqu’au lendemain matin. J’ai attendu sur ce canapé pendant plus de dix heures. Noah m’avait rejoint vers 3h, je lui ai expliqué ce qu’il s’était passé. J’aurais dû voir dans son regard que lui avait compris la réaction de Joanna. J’aurais dû le comprendre bien avant. A 8h du matin, quelqu’un a frappé à la porte. Jo n’aurait pas frappé avant d'entrer. Personne n’était censé venir frapper à notre porte à 8h un vendredi matin. Rien n’aurait dû se passer comme ça. Je me suis levée, Noah a été ouvrir la porte, et deux gendarmes étaient là. Je crois qu’à ce moment là, mon corps a compris plus vite que moi. C’est comme si tout mon sang avait fait le tour de mon corps entier en moins d’une seconde, pour venir se stocker entièrement dans mon crâne. J’ai senti ma tête cogner contre le coin de la table basse, et puis plus rien.
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Jeudi 1er septembre 2011
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Samedi 10 septembre 2011
Vide.
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Mercredi 21 septembre 2011
Noir.
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Dimanche 25 septembre 2011
Un mois.
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Lundi 26 septembre 2011
J’ai récupéré ton pc Jo. J’ai trouvé un dossier de photos. Oh ma Jo… Tout ça ne rime à rien. Jamais on a passé un mois sans se voir. Reviens Jo, reviens-moi.
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Vendredi 7 octobre 2011
Noah est parti. Il a passé plus d’un mois avec moi, ici, chez nous, mais il a craqué, et il est parti. Après avoir hurlé tout ce qu’il avait besoin de dire. Il m’a dit « ça fait plus d’un mois, plus d’un mois que tu ne parles pas. Réveille-toi, réagis, fais quelque chose. » Il ne sait pas. Il ne comprend rien. Il est triste, c’est tout. Mais moi je ne suis pas triste. Je suis vide.
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Mardi 25 octobre 2011
Tout le monde est d’accord avec Noah. Ils me répètent tous la même chose. Je ne veux plus les voir. Ils m’énervent tous tellement. Si tu savais Jo. Mais tu ne sais plus rien. TU NE SAIS PLUS RIEN PARCE QUE TU ES PARTIE. Tu es partie, tu m’as abandonné, alors que tu avais promis. Tu avais promis de rester pour toujours, de jamais m’abandonner. Tu m’as laissée toute seule ici, dans un monde trop grand pour moi. Tu m’as laissée ici, tu es partie avec mon cœur.
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Mercredi 23 novembre 2011
Oh Jo. Pardonne-moi de tout ça. Je ne contrôle plus rien tu sais, plus rien. Mais comment pourrais-je t’en vouloir. Je ne suis plus vraiment là, il ne reste qu’un corps vide. Le vide. Voilà tout ce que tu as laissé. Un vide immense. Un vide que jamais rien ni personne ne pourra combler. Ma vie sera vide à jamais. Parce que ce soir-là, ce mec avait trop bu dans son camion. Et toi tu t’es retrouvée sous ses roues. Il t’a arraché à moi. Il m’a tout pris, en une seconde. Tu es partie en une seconde. En une seconde mon monde s’est écroulé. Je ne peux pas y croire. Je ne veux pas y croire. Et eux qui me disent d’avancer, de rester forte. Ils ne savent rien de tout ça. Il ne savent pas. Même Noah ne sait pas. Il ne connaît pas le dossier ‘My love’.
C’est notre secret Jo. Notre secret. Si seulement j’avais compris tout ça avant. Tout est de ma faute. Si j’avais ouvert les yeux. Oh Jo si tu savais, on aurait pu être si heureuses ensemble, si seulement l’une de nous avait osé. Bien sûr que tout ça n’était pas que de l’amitié. On a été tellement stupides de croire qu’il n’y avait rien de plus. Mais toi tu avais compris. Pourquoi tu ne me l’a pas dit ? Merde Jo, on avait toute une histoire à écrire. Notre histoire. Pas de playmobil. Pas de lego. Juste toi et moi.
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Noah a fini par revenir chez nous. Et moi aussi, bien que je ne sois jamais partie de cette maison. Je lui ai montré ton pc. J’avais mal, mal à en crever. Noah ne sera jamais Jo, mais il est la seule personne à être là, et même s’il ne peut pas tout comprendre, il nous connaissait, il nous voyait. Il n’y a qu’avec lui que je pouvais rester, parce que lorsqu’on était ensemble, Jo était un peu avec nous. Parce que c’était toujours nous. Tous les trois dans cette maison. C’était Jo-Ana et Noah.
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Un an après, le vide était toujours le même. Non, il s’était agrandi. Toujours plus grand. Parce que le manque ne s’estompe pas avec le temps, contrairement à toutes les conneries que tous ces gens osaient me dire. Le manque ne fait que grandir, chaque jour. Et jour après jour, le vide s’installe partout, il nous envahit, jusqu’à ce qu’on devienne ce vide. L’absence éternelle d’une personne que l’on aime sincèrement ne fait pas moins mal avec le temps. On continue de vivre, comme on peut. On continue avec les gens qui sont toujours là. J’ai continué avec Noah. Et j’avais pris une nouvelle habitude, une habitude qui allait avec les cahiers que Noah continuait de m’offrir, plusieurs fois par an désormais. Parce que dans ces cahiers, c’est à Joanna que je m’adresse.
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Mardi 27 novembre 2012
J’ai tellement ri aujourd’hui, si tu me voyais Jo, c’était pathétique. Le docteur ne savait plus quoi dire. Il parait que ça arrive, ce genre de réaction, un rire nerveux suite à ce genre de nouvelles. Mais pour toi et moi, ce n’était pas une vraie nouvelle. Parce qu’on le savait. C’était une évidence, ça ne pouvait pas se passer autrement. Et tout se passera comme prévu. Un jour, je serai comme ma mère. Je mangerai les bonbons avec leur emballage. Et je t’oublierai. Au fond, c’est ce qui me fait le plus mal. Je ne veux pas t’oublier. Cette idée m’est insupportable. Noah me dit que ça ne pourra pas arriver, qu’il fera tout pour que je me souvienne, même pendant cinq minutes. Mais je sais que ça arrivera. Je t’oublierai. J’oublierai tout. J’oublierai tout de nous. De moi.
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Note à moi-même. Départ pour La maison des secrets dans quelques jours. Noah a du mal à comprendre ce qui m’a poussé à participer à cette émission. Et je suppose qu’il a raison de ne pas comprendre. Il parait que la télé-réalité peut faire évoluer les choses pour certaines maladies. Alors je me suis dit que peut-être, en participant à cette aventure, je pourrais en parler, et faire prendre conscience aux gens qu’Alzheimer, ce n’est pas seulement ne pas se souvenir de l’endroit où on a posé ses clés de voiture. Peut-être que les dons afflueront pour la recherche. Et peut-être qu’un jour, personne ne devra se regarder oublier la seule personne qui ait vraiment compté dans sa vie. Et puis, j’avais envie d’essayer quelque chose de nouveau. De léger… Du moins c’est ce que j’espère. Je ressors mon plus beau sourire pour l’occasion.
Je tâcherai de reprendre ces écrits, que j’ai délaissé depuis quelques mois, en rentrant. Je devrais avoir de nouveaux souvenirs à raconter, des souvenirs tout frais à poser sur ce papier. Parce qu’au moins ici, ça ne s’efface pas.
CARACTERE/PHYSIQUE
Je me souviens. J’aime écrire ces trois mots tant qu’ils sont encore vrais. Je me souviens. Je me souviens de ce jour où Noah avait réussi à nous embarquer dans ce speed dating stupide. Mais comment avait-il pu nous convaincre ? Je n’en ai pas retenu grand-chose, ce n’était pas vraiment une soirée mémorable. Comme toutes celles qu’on ne passait pas ensemble d’ailleurs. Enfin je veux dire ensemble, juste nous. Joanna, Noah et moi. Mais je me souviens…
- Ana ! Qu’est ce que tu fais dans la salle de bain, faut qu’on y aille !
J’ouvre la porte et je me retrouve face à un Noah désespéré. En réalité ça ne faisait que quinze minutes que j’étais dans la salle de bain (parce que je déteste y rester des heures contrairement au cliché de la femme parfaite), mais… j’avais un peu tardé à aller me préparer. Jo avait dû me pousser jusqu’ici, après avoir tenté de me motiver par des paroles vaines. Au final, c’est plutôt moi qui avais fini par la démotiver. On n’avait vraiment rien à faire dans cette soirée. Un SPEED DATING. Mais elle s’était vite reprise et son dernier argument avait eu raison de moi. Noah en avait envie. Je crois qu’il en avait surtout envie pour l’expérience, la nouveauté. Parce qu’il est loin d’avoir besoin de ce genre de soirée pour faire de nouvelles rencontres. Alors bon, s’il en avait envie, je devais faire un effort. Et peut-être même que j’allais passer une bonne soirée après tout.
Je lui claque un bisou sur la joue et je me dirige vers le salon, direction le meuble à chaussures (rempli pour la moitié de mes chaussures, l’autre moitié de celles de Jo). J’attrape mes bottines noires et je les enfile rapidement avant de me poster devant le grand miroir fixé sur la porte d’entrée. Je vois le regard de Noah posé sur moi, derrière, qui essaye clairement de me presser. Je checke rapidement ma tenue et mon maquillage express. Jean slim noir, chemisier blanc cintré par une fine ceinture noire à la boucle dorée, veste en cuir. Trait d'eye liner pour souligner le regard, mascara. Tout est ok. J’attrape mon sac sur le canapé, mon téléphone sur la table basse et j’ouvre la porte.
- Bah alors, je vous attends moi.
Noah déteste quand je fais ça, mais j’aperçois chaque fois un petit sourire en coin. Jo ferme la porte et m’attrape le bras, et nous voilà partis. J’aime ces petits moments simples, j’aime nous voir tous les trois marcher en direction du centre-ville, dans la nuit. J’aime tout ça, parce que j’aime cette vie, avec eux. Je l’aime et j’en profite.
A peine dix minutes plus tard, on arrive dans le bar qui organisait ce speed dating, mixte. On entre, on s’inscrit, et puis quelques minutes plus tard je me retrouve assise à une table face à un mec. Brun, les yeux verts à travers ses lunettes, plutôt musclé. Je lis sur son badge « Matthieu ».
- Bonsoir .. euh .. - il regarde mon badge - Ana.
Je jette un coup d’œil furtif à Jo qui est à deux tables à droite de la mienne, face à une fille. Et Noah, à la table devant moi, a l’air d’apprécier ce premier tour. Je reporte rapidement mon regard sur Matthieu, et je lui offre mon plus beau sourire. Le sourire qui donne confiance. Il me le rend, et je me dis que je pourrais vraiment passer une bonne soirée.
- Alors... si tu devais te décrire là maintenant, tu dirais quoi ?
Oh. Alors c’est ça le speed dating ? C’est trouvé les mots pour se décrire en faisant en sorte de plaire à la personne en face en moins de 7 minutes ? J’ai l’impression de descendre d’un niveau dans mon estime là. D’habitude, je n’ai presque pas besoin de parler pour qu’une personne vienne vers moi. Je suis comme ça, j’ai un charme naturel, je charme sans vraiment le vouloir. Mais maintenant que je suis là, autant jouer le jeu.
- Hm. J’ai jamais été quelqu’un de vraiment extraverti, sans pour autant rester dans mon coin. J’aime découvrir, de nouveaux endroits ou de nouvelles personnalités. Close your eyes but keep your mind wide open. Je déteste les critiques faciles et gratuites, parce que j’aime la différence, et je veux que chaque personne accepte d’être ce qu’elle est. Alors je déteste les gens qui s’amusent à rabaisser tous ceux qu’ils croisent, ça peut me mettre hors de moi, vraiment, même si je suis toujours la première à vouloir éviter les conflits. Mais ça, je peux pas accepter, parce que personne ne devrait se permettre de juger quelqu’un d’autre que soi-même. On se construit tous différemment, avec des rencontres, des évènements. Et moi je prends tout, sans en avoir peur. Quand ma sœur s’est mariée avec ce connard qui lui a interdit de me voir à peine quelques mois plus tard, et qu’elle, elle a accepté ça, j’ai pas voulu l’en empêcher. Parce que ça, ça fait partie de moi maintenant. Chaque rencontre, chaque évènement nous apporte quelque chose. Nos choix, nos actes, c’est nous. Ok tout ce que je dis là, ça fait tellement sérieux que tu dois te dire que je suis la fille la plus ennuyeuse de la salle, et évidemment pas de chance il fallait que ça tombe sur toi dès le début. Mais c’est faux, je peux être super fun je t’assure. Quand je dis que je prends tout, sans avoir peur, c’est vraiment ce que je fais. Je vis tout, tout ce qui vient vers moi. Je peux passer une soirée à jouer au monopoly, comme je peux la passer à boire et fumer dans un garage, à raconter des trucs incohérents. Et je passerai une bonne soirée dans les deux cas. J’aime le rock mais j’aime aussi jouer Chopin sur mon piano. J’aime passer la journée devant la télé à manger n’importe quoi, et le lendemain je passe des heures à la salle de sport. Et puis j’aime commencer par le dessert lorsque je vais au restau. Et tant pis si c’est soi-disant incompatible, si « c’est pas normal », « c’est pas comme ça qu’on doit faire ». On ne devrait pas avoir à se priver de quelque chose qu’on aime seulement parce que le monde pense que « ça ne se fait pas ».
Apparemment ça ne lui a pas déplu, on a continué à discuter, et on a même rigolé. J’étais presque déçue d’entendre la sonnette qui annonçait le changement. Et puis la soirée a continué sur cette lancée. J’ai rencontré des gens très sympas, on s’est amusé, on a ri, on a joué, et lorsque la dernière sonnerie a retenti, je pouvais officiellement dire que la soirée n’avait pas été si mauvaise.
Oui, je me souviens de cette soirée. C’était bizarre de se retrouver tous les trois au même endroit, et pourtant passer la soirée chacun de son coté. Ce genre de situations ne se produisait que très rarement. Et heureusement, parce que j’avais besoin d’eux pour être vraiment moi.
Aujourd’hui, les choses sont un peu différentes. Je ne suis plus tout à fait la même. Parce que justement, j’avais besoin d’eux pour être moi. Je ne suis peut-être que la moitié de moi désormais. Pendant un an, j’ai disparu. Tout ce qu’il restait de moi, du vrai moi, se trouvait en Noah. Et heureusement, il ne l’a pas abandonné. Il aurait pu, tout lâcher, jeter ce qu’il restait sur le bord d’une route. Mais il ne l’a pas fait. Et il a su me faire revenir.
Alors aujourd’hui, je ne suis plus tout à fait la même, mais je suis. Mes rires sont toujours un peu empreints de mélancolie, mais je n’ai pas envie que tout s’arrête. Je me lève chaque matin sans mauvaise pensée. Je peux me regarder dans le miroir, j’aime choisir ma tenue, j’aime aller chez le coiffeur. J’ai de nouveau envie. J’ai retrouvé l’ambition, j’ai repris les cours. J’ai tout fait pour vivre à nouveau. Et je suis toujours cette personne qui fait ce qu’elle veut, et non pas ce qu’elle devrait faire. Je suis ce genre de personne, qui est tombée amoureuse d’elle. Pas d’une fille, mais d’elle, de Joanna. Je suis ce genre de personne, qui ferme les yeux mais qui garde son esprit ouvert, sur un monde fantastique.
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Lun 15 Juil - 17:19
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Donc le voici :
